Theatre Illusion Et Vérité

en Juin 2009 au théâtre de Gennevilliers dans le cadre du festival TJCC organisé par Laurent Goumarre et Pascal Rainbert. Il a pour producteur le collectif lui-même, et le Grand Gardon Blanc. La coproduction est assurée par le théâtre « La rose des vents » de Villeneuve d’Ascq. Il à également reçu le soutien du théâtre de Vanves et de La Ménagerie de verre à Paris Pour défendre leur théâtre le collectif a écrit un Manifeste où il revendique un nouveau théâtre en réaction au théâtre conventionnel.

de comprendre que la force de la religion tient à la force des intérêts humains qu'elle a pour mission de satisfaire. La religion est au service des besoins, des affects des hommes. Elle a une dimension utilitaire. L'immensité de son rôle sur le théâtre des affaires humaines est proportionnelle à l'immensité des services qu'elle rend. Freud montre qu'ils sont de trois ordres : Une religion propose une conception du monde. En ce sens elle remplit une fonction théorique par où elle entre

l’infante Marie-Thérèse 1663 : Canada devient une province royale 1667-1668 : Guerre de Dévolution (première guerre du Roi-Soleil) 1670 : Déclin du théâtre, les gens préfèrent l’opéra 1672-1678 : Guerre de Hollande 1672 : Première opéra française « Cadmus et Hermione » de Lully et Quinault 1678-1684 : la Galerie des glaces 1680 : L’ouverture du théâtre « Comédie – Française » 1682 : Les conquêtes française en Amérique du Nord (Louisiane), la cour s’installe à Versailles 1685 : Révocation de l’Edit

comme vécue à l'instant de son expression ) Carac abstraites : * Exagération de l’imagination et du style formant un contraste énorme contre la raison classique * Marqué par l’inconstance, la fragilité de la limite réel-imaginaire / rêve-illusion, l’instabilité et une quête d’espace et de mouvement. * L’homme n’est plus le centre du monde, et l’univers est désormais infini et même « corruptible » (citation de Galilée : « La Lune n’est pas parfaite, elle présente des taches). Œuvres

Raymond Queneau, on trouve un article de Jean Rousset (Tome II) : « le baroque », qui fait état de cet emploi du mot. On peut également prendre appui sur un article de Marcel Raymond, « Le baroque littéraire français. Etat de la question. » tiré de Vérité et poésie (1964). Il faut avant tout prendre conscience que le mot baroque est un terme critique fondé a posteriori par rapport à la réalité artistique qu’il désigne. Dès lors, l’emploi du mot ne peut renvoyer qu’à un contexte historique passé.

celle-ci peut aveugler : paradoxe puisqu'elle est censée éclairer le monde, aider à le comprendre ! Sa vision de la foi s'apparente plus à la superstition qu'à la religion : il évoque « le moine bourru » grâce à un présent de vérité générale + superlatif associé à l'idée de vérité (« il n'y a rien de plus vrai que le moine bourru »). Les adversaires de molière ont bien vu la malice de Molière ici : la foi est défendue par un valet ignorant, ridicule et superstitieux   c) parce que sa gesticulation

sur plusieurs points de vues pour créer une illusion du réel. Pour que le romancier représente le réel il doit éviter toute idéalisation romanesque. (comme dans « Pierre et Jean » où Maupassant crée une réalité ennuyeuse mais qui se rapproche le plus de la réalité). Avec le point de vue omniscient, on a une indication de lieu dans « Le Colonel Chabert » : « rue Vivienne » qui se situe à Paris, Balzac a utilisé cette rue existante pour créer une illusion du réel. Et avec le point de vue externe (Germinal)

civiles, le baroque est une réponse multiforme (art, littérature) à l'angoisse de cette période. Le baroque aborde très souvent des thèmes ou motifs récurrents, comme par exemple, la mort (représentée de manière allégorique mais réaliste), les illusions (représentées par Dieu, qui est à la fois mis en scène comme spectateur, juge, metteur en scène et auteur), les amours malheureux (représentés par la représentation d'une femme cruelle), l'inconstance (représentée par l'inconstance amoureuse, les

RUNEL professeur à la Sorbonne SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE Le théâtre d’aujourd’hui dans la liberté de la modernité 3 Remarques pour une interprétation ................................................. 3 Des textes pour approfondir certains aspects de l’œuvre 5 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Étape 8 Un théâtre dans tous ses états ................................ Un nouvel avatar du mythe

utilisant ses mains. Ils existaient 7 arts mécaniques (=Toutes les actions opératives qui exigent l’usage de la main) : - L’art de la navigation - L’agriculture et la chasse - L’armement - L’architecture - La peinture et la sculpture - Le théâtre Ils étaient mal vus, car tout ce qui était servile était attaché à la malédiction de l’esclavage. Ils existaient aussi 7 arts libéraux (=Travail sur tout ce qui est abstrait, conceptuel, ne faisant pas directement appel à un savoir-faire.) :