Theme De Brulee Vive

Poussée de fièvre dans les quartiers Nord », « Plongée dans le chaudron de Seine Saint-Denis », « Beur, la peur de l'étincelle », les thématiques de la chaleur et du feu sont un répertoire essentiel de la représentation des « cités », la voiture qui brûle en constituant le cliché. Ces stigmates jouent sur la peur mais ils appellent aussi un imaginaire particulier, celui de la guerre, de la « guerre civile »; et au travers de l'explosion, l'ombre du terrorisme, qui semble planer sur « les cités ». 

de l’entreprise et du service dont lequel j’ai passé mon stage. La troisième et dernière partie est celle qui présente le fruit de ce présent rapport. Alaa OUAZZANI Remerciement Avant d’entamer le présent rapport, je tiens à exprimer ma vive reconnaissance et adresser mes sincères remerciements à toute personne ayant participée à mon aide durant la période de mon stage et plus spécialement : Service Approvisionnement Mme Jamila EOUKICH Mme Sofia ROUSTAQ M. Adil LEMRISS M. Tahar BOUAZZAIA

toujours le feu qui revient quand il s'agit de toi. La main aussi, mais c'est moins essentiel que le feu. Ce que je vois, c'est une flamme qui part du poignet, comme ceci (avec le geste de faire disparaître une carte) et qui fait qu'aussitôt la main brûle, et qu'elle disparaît en un clin d'œil. Tu trouveras un pseudonyme, latin ou arabe *. Promets. Il faut. » Elle se sert d'une nouvelle image pour me faire comprendre comment elle vit : c'est comme le matin quand elle se baigne et que son corps s'éloigne

le dérobe. Il s’endort dans sa voiture mais un violent orage le réveille, il reste, la route est inondée. Il se réveille, elle est asséchée, sa voiture détruite. Il enlève sa plaque d’immatriculation, comme s’il ne voulait pas laisser de trace et brûle ses billets, rejetant une nouvelle fois son indenté, fruit d’une éducation ayant pris racines dans le matérialisme aberrant et abondant de la société actuelle. Il laisse cela derrière lui, plus rien de faux ne l’encombre. Un peu plus loin, lors d’une

aurait un peu plus de proximité ou de rapports avec les études de langue. J’ai finalement décidé qu’un aspect de mon mémoire serait d’essayer de voir si la rhétorique peut aider à comprendre Paroles, mais sans que cela implique de ne pas étudier un thème, une question de ce livre. Pourquoi la rhétorique? Parce que la rhétorique était (est?) revenue à la mode et était (est?) parfois présentée comme une clef qui ouvre l’accès aux oeuvres. Je ne suis pas parti d’une certitude, mais d’une ignorance

me rendormis. 3 Chapitre « Comment m’y prendre pour faire leur connaissance ? » Telle fut ma première pensée en me réveillant. Je descendis au jardin avant le thé, mais évitai de m’approcher trop près de la palissade et n’aperçus âme qui vive. Après le thé, je passai et repassai plusieurs fois devant leur pavillon et essayai de percer de loin le secret des croisées… À un moment donné, je crus deviner un visage derrière le rideau et m’éloignai précipitamment. « Il faut tout de même

a trouvé pour ses trois filles, Phélise, Pigranelle et Bélusine, les gendres «les plus cloches parmi les cloches» : le sire de Ciry, le comte de Torves et le vidame de Malplaquet. Comme il a tiré l’oreille de l’abbé Biroton, celui-ci, indigné, lui brûle la main, le menace d’excommunication, exige et obtient qu’il lui demande pardon. Cidrolin, après s’être assuré que «clôture et portillon sont vierges de tout graffite», prend l’autobus «qui le mène vers le centre de la ville capitale». Il y entre au

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .......... Le thème et le propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... L’emphase : mise en valeur du thème et du propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

s’accomplir Leur malédiction ! Hamadoun Ibrahima Issébéré, Les Boutures du soleil, Éditions Saint-Germain-des-Prés, 1981 Texte 7 L'AUBERGE Murs blancs, toit rouge, c'est l'auberge fraîche au bord Du grand chemin poudreux où le pied brûle et saigne, L'auberge gaie avec le bonheur pour enseigne Vin bleu tendre, et pas besoin de passeport Ici, l'on fume, ici l'on chante, ici l'on dort L'hôte est un vieux soldat, et l'hôtesse, qui peigne Et lave dix marmots rosés et pleins de teigne

dormir, tant que les vrilles de la vigne pousseraient. Dès la nuit suivante, il chanta, pour se tenir éveillé : Tant que la vigne pousse, pousse, pousse… Je ne dormirai plus ! Tant que la vigne pousse, pousse, pousse… Il varia son thème, l’enguirlanda de vocalises, s’éprit de sa voix, devint ce chanteur éperdu, enivré et haletant, qu’on écoute avec le désir insupportable de le voir chanter. J’ai vu chanter un rossignol sous la lune, un rossignol libre et qui ne se savait pas