Theodore Levitt

goût pour le raffinement et l'irrationnel. L'influence de ce mouvement n'est pas à négliger : la densité et l'expressivité seront retenues par les poètes suivants et c'est d'ailleurs à Théophile Gautier que Baudelaire dédiera Les Fleurs du mal et à Théodore de Banville que le jeune Rimbaud, écrira en 1870. Le recueil tardif des Trophées de José-Maria de Heredia en 1893 témoigne aussi de la pérennité de l'approche parnassienne, symbolisée par la forme contraignante du sonnet. Charles Baudelaire (1821

Baudelaire Messieurs les jurés, Je m’en remets à votre objectif jugement pour délibérer quant à la suppression ou non du recueil de Monsieur Charles Baudelaire, Les Petits poèmes en prose. Tenez ! Observons ce titre : alors que l’ami de Baudelaire, Théodore de Banville, qualifie la parution de ce livre de « véritable évènement littéraire », je me permets de vous interpeller : peut-on appeler de la « poésie » de brèves histoires, sans vers, sans rimes, sans rythme ? Non, évidemment. Mais passons ; si

confié à ses grands-parents, sa sœur Maria 10 ans plus tard ce qui le marquera profondément. C'est à cette période qu'il rédige ses premiers poèmes d’adolescence, réunis dans le recueil Entre deux murs, encore fortement inspirés par Victor Hugo, Théodore de Banville ou Théophile Gautier. Mais c’est surtout la découverte des Fleurs du mal de Charles Baudelaire en 1860 qui fut marquante et influença ses premières œuvres. Plusieurs de ses poèmes sont publiés dans des revues en 1862. Il fait la connaissance

Critique de « tartuffe d’après tartuffe de Molière » de Gwenaël Morin Le théâtre veut dire : le lieu d’où l’on voit. Le théâtre met la parole dans la lumière. Avec Tartuffe d’après Tartuffe de Molière, j’ai voulu tenter de capter ses ombres. -Gwénaël Morin Une grande surface verte fluo au sol, une table et une représentation du tableau le radeau de la méduse de Géricault, tel était le décor pour la mise en scène de la pièce Tartuffe d’après Tartuffe de Molière. Un décor rudimentaire fait

L’Ange et l’Enfant et Jugurtha, qui lui vaut le premier prix du Concours Académique (1869). En 1870 Arthur Rimbaud fait paraître dans la Revue pour tous son premier recueil de poèmes en français, Les Etrennes des orphelins. Il fait parvenir à Théodore de Banville les poèmes Par les beaux soirs d’été (renommé par la suite Sensation), Ophélie, Credo in Unam (qui deviendra Soleil et Chair) puis Ce qu’on dit au poète à propos de fleurs. Ses lettres restent sans réponse. Un feu incontrôlable

lumière sert à dramatiser la scène représentée, plutôt qu’à expliciter les formes, ce qui rend les compositions aussi plus mouvementées.
Les artistes du romantisme sont : John Constable, Eugène Delacroix, Caspar David Friedrich, Johann Heinrich Füssli, Théodore Géricault, Philipp Otto Runge, William Turner. Le romantisme triomphe en France avec Lamartine, Hugo, Musset, Vigny,( Nodier, Gautier ou Nerval, entre autres…) qui prolongent un courant qui remonte à Rousseau en passant par Mme. de Saël et Chateaubriand

lune, Près de la Vénus blonde une autre Vénus brune. Vous fouleriez ces monts que le ciel étoilé Regarde, et sur le blanc tapis inviolé Qui brille, vierge encor de toute flétrissure, Les Grâces baiseraient votre belle chaussure ! Mai 1842. Théodore de Banville, Les Cariatides (1842) Léopold Sédar Senghor est née a Joal au Sénégal le 9 octobre 1906- Verson, France, 20 décembre 2001) était un poète, écrivain et homme politique sénégalais. Il a été le premier président du Sénégal (1960-1980)

THÉODORE DE BEZE ABRAHAM SACRIFIANT (1550) (Prolongation de l’œuvre : La Réforme, La Pléiade, Humanisme) L’auteur - Né à Vézelay en Bourgogne en 1519 - Fait des études littéraires et juridiques à Orléans et Paris - Il s'intéresse aux idées réformées tout en initiant une brillante carrière d'homme de lettres : Théodore de Bèze mène d'abord, après ses études une vie de dilettante et de poète. Sa conversion après une grave maladie et sa fuite à Genève (1548) lui permet de

TRAVAIL POUR LE PARTIEL LE CAUCHEMAR Johann Heinrich Füssli (1741-1825), Le Cauchemar de 1781. C'est une huile sur toile, 101,6 x 127 cm conservé à Détroit. Le tableau représente une dormeuse en position allongée sur le dos. Elle n'est pas en train de faire un rêve paisible mais plutôt un cauchemar comme l'expression le montre. Il y a des entités comme l'incube sur le ventre de la dormeuse. Incube est un personnage mythologique qui traduit le cauchemar. Dans le folklore, c'est un démon mâle

accueille Victor Richard de Laprade (1812-1883), Albert Glatigny (1839-1873), Léon Valade (1841-1884), Albert Mérat (1840-1909). Mais dès 1876, le troisième Parnasse contemporain n’a plus la moindre unité d’inspiration, et le comité de lecture, formé de Théodore de Banville, de Coppée et d’Anatole France, refuse les vers de Verlaine et l’Après-midi d’un faune de Mallarmé. Dès lors s’accentue le caractère disparate de l’ « école parnassiennes », qui n’existe que par la fidélité à une certaine facture et