Theodore Schultz

Le radeau de la méduse Le Radeau de la Méduse est un tableau de Théodore Géricault actuellement conservé au musée du Louvre, à Paris. Le tableau fut peint entre 1817 et 1819. L’histoire : A la Restauration, en 1816, l'Angleterre rend à la France le Sénégal. On y envoie un nouveau gouverneur, sa famille, des fonctionnaires, des soldats, du matériel et des finances. La Méduse est une frégate, un navire de guerre récent, dédiée avec 3 autres bateaux à cette expédition. La division est dirigée

"Et de l'amour et toi, la seule qui compte aujourd'hui pour moi", on voit que la personne à qui il s’adresse est la personne qu’il aime et il lui dit très clairement, il lui fait comprendre aussi qu’elle est celle qui comptes vraiment à ces yeux . Théodore de Banville fait de même "Tout me ravit; j'adore Tout ce qui vien de toi" Il arrive aussi que les poètes parlent de l’amour tout simplement.De leurs expériences heureuses ou pas et des sensations qu’elle peut provoquer. C’est ce que Marcelline

Charleville. Il mettra six jours à pied pour y parvenir. 17. Arthur se comporte en révolté. Il affronte sa mère et provoque ses concitoyens. Refusant de reprendre ses études ou d’exercer un métier, il continue d’écrire des poèmes. Il envoie des courriers à Théodore de Banville et à Paul Verlaine. 18. Une réponse de ce dernier arrive : il l’invite à Paris. Ses sœurs sont enthousiastes, sa mère contrariée. 19. La belle-mère et l’épouse de Verlaine s’étonnent de découvrir un adolescent gauche et frustre. Verlaine

Fiche Séquence de Français (Bac Pro) Objet d’étude : PARCOURS DE PERSONNAGE Titre de la séquence : Le Parcours de Gervaise dans le roman l’Assommoir de Zola Question(s) : Gervaise, un destin tracé ? Objectif général de la séquence  et/ou attitude(s) visé(es): Comprendre que le parcours de Gervaise porte le projet de son auteur Compétence (s) : Découvrir le naturalisme et être un lecteur critique Séances |Capacité (s) |Connaissance (s) et

ANTHOLOGIE POETIQUE Sommaire Préface p. 3 Le printemps, de Théodore de Banville p. 4 Villanelle, de Joachim du Bellay p. 5 Allégorie, de Paul Verlaine

tu le mérites» «Personne ne te connaît mieux que toi-même. Apprends à faire confiance à ton propre jugement» «Explore ton intérieur Fais confiance à ton authenticité Sois un pionnier» «Crois que tu y arriveras et tu seras à mi-chemin» – Theodore Roosevelt «Crois en tes rêves et ils se réaliseront peut-être. Crois en toi et ils se réaliseront sûrement» «Ne laisse personne te convaincre que tes rêves sont trop grands» «Si je ne suis pas moi, qui le sera ?» – Henry David Thoreau

Les Étoiles Théodore de BANVILLE Recueil : "Rondels" Les cieux resplendissants d’Étoiles Aux radieux frissonnements, Ressemblent à des flots dormants Que sillonnent de blanches voiles. Quand l’azur déchire ses voiles, Nous voyons les bleus firmaments, Les cieux resplendissants d’Étoiles Aux radieux frissonnements. Quel peintre mettra sur ses toiles, O Dieu! ces clairs fourmillements, Ces fournaises de diamants Qu’à mes yeux ravis tu dévoiles, Les cieux resplendissants d’Étoiles

chimères qu’on apprivoise : Miss Ellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise. Là, sous un ciel rouge irrité, Une dame fière et sournoise Montre en ses longs yeux de turquoise L’extase et la naïveté : Miss Ellen, versez-moi le Thé. Théodore de Banville Le Rondel : Très gracieux, le rondel, appelé aussi rondeau ancien, est construit tout entier sur deux rimes (A et B), la première pouvant être indifféremment masculine ou féminine. C’est un poème de treize vers le plus souvent

Dans l’Europe du début du XIX la tradition classique imposait toujours ses canons au monde de l’art. Les académies nationales, et en France l’Académie des Beaux-arts, enseignaient aux jeunes peintres à respecter l’idéal d’ordre et de discipline. Cela se traduisait notamment par l’imitation de l’antique et la clarté du trait. Cependant, dans la France de la restauration, Géricault va se démarquer du style académique et ouvrir la voie à une nouvelle peinture. Son tableau Le radeau de la méduse, exposé

taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crespelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce farouche, avait quelque chose à la fois de divin et de bestial. » C’est en ces termes que Théodore de Banville évoque la belle Jeanne dans ses Souvenirs.    Baudelaire fait sa connaissance en 1842, à son retour de voyage: sans doute lui rappelait-elle "l'idéal de la beauté noire". Elle habitait au 6,rue de la Femme-sans-tête, près de l'hôtel Pimodan