Théophile Obenga

des auteurs ; c’est le « mal du siècle » (Alfred de Musset). Auteurs : Victor Hugo/ Alfred de Musset/ Lamartine. Thèmes : lyrisme et expression du je et du moi. Le Parnasse : « L’art pour l’art » (Théophile Gautier) but est de soigner les rimes, les sonorités… Auteurs : Leconte de Lisle/Théophile Gautier. Thèmes : exotisme, description de la nature.

LES GALERIES LAFAYETTE Introduction : Les galeries Lafayette ont été créées en 1893 par deux cousins, Théophile Bader et Alphonse Kahn. Au départ, il s’agissait seulement d’une mercerie de 70m2 et ont par la suite évolués dans un atelier de mode où ils commercialisèrent leur produits fabriqués en copiant les grands couturiers. Mais alors, comment une petite mercerie de 70m2 a-t-elle réussi en un siècle à prendre une renommée d’ampleur internationale? Dans un premier temps, nous décrirons la photo

sur la violence des passions. La glorification de la passion amoureuse (d'ailleurs, le terme romantique au départ veut dire « amoureux ». Mais le romantisme évoque aussi le début du registre fantastique. En effet, dans La Morte amoureuse, Théophile Gautier met en scène un vampire. On peut aussi parlé des romans gothiques qui marient hallucination et fantastique. Pour les poètes et les artistes de l'époque, ces nouveaux thèmes leur permettaient d'atteindre le véritable noyau du romantisme:

regard, contraste du ciel obscur de leur couleur et des étincelles d’or fauve qui le traversent. Des souvenirs littéraires ont pu aussi influencer Baudelaire, car ces yeux aux reflets changeants rappellent ceux de Nyssia dans ‘’Le roi Candaule’’ de Théophile Gautier : «Ces prunelles, du saphir passaient à la turquoise, de la turquoise à l’aigue-marine, de l’aigue-marine à l’ambre jaune, et quelquefois, comme un lac limpide dont le fond serait semé de pierreries…» Baudelaire s’étend sur cet oeil : son

toucher (1842), vivant profusément, à la manière des dandys, dépensant des sommes indécentes pour ses tenues excentriques ou l'acquisition de coûteuses œuvres d'art. Esthète oisif, il continue à écrire de la poésie en dilettante, se met à fréquenter Théophile Gautier - avec lequel il partage notamment un attrait marqué pour le haschich et l'opium. Son train de vie ne tarde pas à écorner son héritage: pour éviter la dilapidation de sa fortune, son beau-père et sa mère le placent sous tutelle judiciaire

manifeste publiquement mais son impatience l'éloigne de cette cause. La période de 1849 à 1856 est menée par trois femmes : Jeane Duval, dont il se sépare, mais qui continueras toujours de le secourir, Mme Sabatier, amie rencontrée par l'entremise de Théophile Gauthier, et Marie Daubrun, la maîtresse de son ami Théodore Banville. Ses amours produiront de nombreux poèmes. Le succès des traductions de Poe, la publication de plusieurs poèmes et d’essais critiques dans plusieurs revues le mènera à ce qu'en

GAUTHIER Théophile, Carmen, Emaux et Camée, 1752. - Bizet, Meilhac et Halévy, Carmen, 1875. - GODARD Jean-Luc, Prénom Carmen, 1984. Exploitation du mythe dans d’autres arts : Carmen fut adaptée à l’opéra par Bizet en 1873-1874 et joué pour la première fois à Paris en 1875. Mais celui-ci fut mal accueilli par les critiques. C’est après sa mort que son œuvre eut du succès notamment à Paris. Carmen fut aussi reprit par différents artistes peintres (Juarez Medina) ou poètes (Théophile Gautier –Emaux

Saint-Antoine . Cette année-là est aussi marqué par le décès de son ami Bouilhet. Cette période est marquée par une série de deuils dans l'entourage de Flaubert : Mort de Sainte Beuve en octobre, de Jules de Goncourt en juin de l'année suivante, et de Théophile Gautier quelques mois après. En novembre 1869 c'est la publication de L'Education sentimentale qui est très mal accueilli par la critique. Le livre se vend très mal. (En 1873, soit quatre ans après sa parution, le tirage initial de 3000 exemplaires

« paria de l’histoire, synonyme de désordre et de décadence ». La première tentative de réhabilitation était venue des Romantiques. Les victimes de Boileau avaient trouvé en Théophile Gautier un fervent défenseur. L’édition de 1830 de ses Poésies est parsemée d’épigraphes tirées des poèmes de Desportes, Amadis Jamyn, Lingendes, Théophile de Viau, Saint- Amant ; ses Grotesques (1844), qui sont, selon ses propres termes, « une dizaine de médaillons littéraires » consacrés à de « pauvres diables dont la plupart

également une leçon sur la mort et le souvenir qui est la plus grande marque de respect que l’on peut faire à une personne décédée. II) L’art de Théophile Gautier Pendant la période du Parnasse, plusieurs auteurs se lancent dans la création de poèmes n’exprimant pas une idée politique ou sociale. Un poème représentatif de cette période est L’Art de Théophile Gautier qui est constitué de quatorze quatrains constitués de trois hexasyllabes et un trisyllabe. Il décrit par le biais de ce poème ce que