Théophraste Renaudot

coureur de jupons, voire arriviste et un peu escroc. Jusqu’à la fin du Second Empire, les journalistes ne sont pas des hommes faisant profession d’informer, mais des hommes politiques, des écrivains ou des artistes et des hommes d’affaires. Théophraste Renaudot, le père de la presse française, est tout dévoué à Richelieu et à Louis XIII, tandis que les premiers journaux sont écrits par des savants, des philosophes ou des poètes. Sous la Révolution française, les journalistes sont avant tout des hommes

devient un métier, qui se donne des règles, des syndicats et bientôt des écoles. Des entreprises de presse se créent, qui emploient des salariés. »[2] Le premier journal en France, la Gazette de France, a été créé en 1632 par le médecin du roi Théophraste Renaudot (1586-1653), sous le patronage de Louis XIII. Tous les journaux étaient soumis à la censure avant publication, et a servi comme instruments de propagande en faveur de la monarchie. Jean Loret est considéré comme l'un des premiers journalistes

cette période là, la presse était soutenue et contrôlée par le pouvoir. C'est en 1631 que naît la première publication périodique, La Gazette, créée par Théophraste Renaudot. Cet homme a pour particularité d'être bon ami avec un certain Richelieu, ce qui lui permettra de publier la Gazette avec des conditions particulières : Richelieu propose à Renaudot l'exclusivité à perpétuité d'imprimer et de vendre sa publication. Par ailleurs, il bénéficie d'aides financières accordées par le même Richelieu ; ajoutons

l’ordre et la tranquillité des États » sont sanctionnés de peines allant jusqu’à la mort10. Quand les périodiques font leur apparition, il est hors de question qu’ils soient dispensés d’autorisation. Premier hebdomadaire, La Gazette de Théophraste Renaudot est l’objet d’un privilège royal ( le sien est même accordé à perpétuité). En 1620, 1656, 1658, divers arrêts interdisent les «nouvelles à la main ». Leurs auteurs, ancêtres des journalistes, sont passibles de fustigation sur le Pont Neuf

publicitaires, français ou étrangers (des années 1930 à aujourd’hui) • des annonces de presse (plus de 30.000), des spots radio, des objets promotionnels… Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site du musée, ci-dessous. Ce n'est qu'en 1628 que Théophraste Renaudot crée "Le bureau de rencontre et d'adresse", un service chargé de diffuser diverses annonces. Jusqu'en 1745, la seule forme de publicité est la distribution de tracts et l'affichage mural. Au XIXe siècle,lors de la Révolution industrielle, les

d’outil de propagande au pouvoir royal. En effet, aucune liberté d’imprimer n’existait dans une époque où les monarchies absolues imposaient leur autorité. Richelieu soutient ainsi en 1631 un premier périodique édité par Théophraste Renaudot appelé la « gazette de nouvelles, publications royales, édits ». Il faut attendre la Révolution française et l’article IX de la DDHC du 26 août 1789 pour que la liberté de la presse soit instituée. PPT 4

l'individu est devenu un créateur potentiel voir même devient un média . Un individu peut devenir lui même son propre média . Histoire de la presse: 1.origine origine symbolique de la presse °1631: création de la gazette par Théophraste Renaudot (père du journalisme) °Louis XIII :accorde le privilège exclusif de faire imprimer et vendre les gazettes ,nouvelles et récits de tout ce qui s'est passé et se passe dans et au dehors du royaume. °Gazette :8 feuillets ,1200 exemplaires

transports et des voies de communication physiques et le développement du service postal qui allait permettre de fournir à la presse de l’infrastructure idéale d’une diffusion stable. Le premier journal régulier d’importance fut « la Gazette » de Théophraste Renaudot dont le premier numéro date du 30 mai 1631. Le premier journal américain fut publié bien après à Boston par Benjamin Harris le 25 septembre 1690 et devait paraître mensuellement. Pour la France, il faudra attendre un siècle et demi pour voir

Belgique[1]. Ce nouvel organisme se nomme Pôle emploi. Avant la création de l'ANPE existaient déjà des systèmes facilitant la transmission d'informations entre employeurs de demandeurs de travail. En 1628 ou 1629, est créé le Bureau d'adresses par Théophraste Renaudot, destiné à recevoir les annonces proposant des emplois pour permettre aux pauvres de retrouver du travail[réf. nécessaire]. La JOC a toujours voulu se situer du côté des jeunes chômeurs et travailleurs dont les conditions de vie sont parfois

substituer à l’époque Romaine. La pub va prendre un tour plus contemporain au moyen-âge avec l’apparition de l’imprimerie en 1447. forme de pub de ce qui se rapproche aujourd’hui Première pub : achat de la Bible 1631 : création de La Gazette par Théophraste Renaudot : médecin qui soignait Louis XIV mais aussi les petites gens. 1630 : « La société de secours mutuels » (ancêtre de Pôle emploi) La Gazette : journal de petites annonces Brand-content : marque qui créée du média. Jusqu’au milieu du 19ème