Théophraste Renaudot

hebdomadaire est né à Anvers en 1605 ! Aujd encore si on compare le nombre de journaux lus en France et dans les pays du nord, on constate qu’on lit bcp plus dans les pays du nord de l’Europe !En France le premier journal est lancé en 1631 ! par THEOPHRASTE RENAUDOT C’est un journal hebdomadaire LA GAZETTE qui présente des nouvelles sur la cour de France et un peu d’autre pays Les premiers journaux ne sont pas des quotidiens et ne dépassent pas les quelques milliers d’exemplaires. En 1777 apparait

ligne et donc plus agaçante, plus menacée. par les mouvements d'humeur et surtout par le coup de journal, arme singulièrement redoutée par toute l'espèce en France depuis 1631.», faisant ainsi une allusion à la fondation, cette année-là, par Théophraste Renaudot du premier journal, ‘’La gazette’’. Franck Chopin est un personnage d’un type nouveau : pas vraiment un raté, pas vraiment un «loser», pas vraiment non plus un type-désabusé-mais-honnête, à la Philip Marlowe. Non, insaisissable, il échappe

aux textes religieux et à la diffusion des écrits des savants de l’antiquité. Il faudra attendre le XVIIème siècle, pour voir naître les premiers journaux imprimés, qui, dans un premier temps étaient réservés à une élite. En France, Théophraste Renaudot est présenté comme le premier éditeur de journaux avec « La Gazette » et « Bureau d'adresse », qu'il a crée respectivement en 1630 et 1631. Nous avons de nouveau l'affichage qui prend véritablement corps au milieu du XIXème siècle

périodique en 1605 intitulé Les Nouvelles récentes. Ce dernier ne paraît cependant qu’à intervalle irrégulier. Le premier hebdomadaire apparaît en 1622 à Londres. En France, le premier périodique paraît en 1631 : La Gazette, dont le rédacteur est Théophraste Renaudot (il a laissé son nom à un prix littéraire prestigieux), est, dès son origine, un organe à vocation politique. Soutenu par le Cardinal de Richelieu, cet hebdomadaire bénéficie d’un monopole royal et a largement pour mission de diffuser la parole

l'expression écrite: limitation du nombre des imprimeurs et censure, destruction des livres menaçants, amendes et prison pour leurs auteurs, surveillance des spectacles. La presse fit son apparition en 1631, avec "La Gazette de France",  de Théophraste Renaudot et non seulement contrôlée, mais inspirée par le gouvernement royal. Le roi fit entrer lui-même dans le système des écrivains et des penseurs. En 1634 fut crée l'Académie française qui devait servir la gloire du roi et donner à la langue française

philologie7. 2. Premières publications Son roman Le procès-verbal (1963) inaugure sa carrière de romancier à succès : ce récit à l’esthétique proche de L’étranger d’Albert Camus et des recherches narratives du Nouveau Roman est couronné par le prix Renaudot, et permet à l’auteur vivre de sa plume. Les nouvelles de La fièvre (1965), qui partent de l’expérience de la douleur, sont elles aussi écrites dans un style qui rappelle celui du Nouveau Roman (sur ce mouvement littéraire, voir plus bas). L’auteur

que l'on lit le plus de journaux que dans le Sud et pays latins. Pour la France il faut attendre 1631 pour voir diffuser le premier périodique français et celui qui crée ce journal s'appelle : Théophraste RENAUDOT qui diffuse : La Gazette (moment décisif de la presse en France) (cf. le prix Renaudot) . Pendant très logntemps on disait pour un journal : gazette (ceux qui écrivaient : les gazetiers) A l'époque il faut l'autorisation du roi (monarchie : roi contrôle) pour pouvoir diffuser et créer

familiaux, seigneuriaux ou corporatifs (Gaudemar, 1979). Dans les villes, les « bureaux des pauvres » distribuent des secours mais jouent aussi un rôle de contrôle et emploient les personnes valides à des travaux d’utilité publique. En 1628, Théophraste Renaudot, auteur du Traité des pauvres, crée, dans l’île de la Cité à Paris, un bureau d’adresses et de rencontre considéré comme le premier bureau de placement moderne (Balzani, 2001). Il est aussi le fondateur de La Gazette, dans laquelle paraissent

« Monte di Paschi di siena » est établi à Sienne avec le même objectif. Cet établissement propose alors un système de prêt sur gage à faible intérêt ou gratuit. En France et précisément à Paris, que le fondateur de la Gazette de France, Théophraste Renaudot, ouvre le premier mont de piété en 1637. Cinq ans plus tard, le roi Louis XIII autorise plusieurs autres villes du royaume à établir des monts de piété. Toujours en Europe, en 1849, un bourgmestre prussien Friedrich Wilhelm Raiffeisen, fonde

d’accroître la production et la circulation des connaissances par les livres. Parallèlement, les imprimeurs éditent à bon marché des feuilles occasionnelles, des libelles et des récits plus ou moins fantastiques, les « canards ». En mai 1631, Théophraste Renaudot, un médecin protestant converti, obtient de Richelieu le privilège d’éditer une Gazette – le nom provient de la petite pièce vénitienne qui permettait d’acheter les feuilles d’avis –, hebdomadaire de petit format et de quatre pages, qui tire