Théorème de Thévenin

Dipôles passifs 1-1- Dipôle passif non linéaire 1-2- Dipôle passif linéaire 1-2-1- Association de dipôles passifs linéaires 1-2-2- Diviseur de tension 1-2-3- Diviseur de courant 1-2-4- Théorème de Millman 2- Dipôles actifs 2-1- Dipôle actif non linéaire 2-2- Dipôle actif linéaire 3- Association de dipôles linéaires 4- Théorème de superposition 5- Association de dipôles non linéaires 6- Linéarisation de la caractéristique d’un dipôle non linéaire 2 Chapitre 2 Régime continu En régime continu, les courants

R2 | R3 | R4 R5 | Resistances(Ω) | 0 ,996=1 | 2,18 | 1,50 | 2,65 1,315 | Applications Numériques : I1 = 4,915 mA, I2 = 2,371mA, I3 = 4.731 mA, I4 = 2,598 mA I5 = 0,190ma, I=7,286ma III.THEOREME DE THEVENIN : Ce théorème permet de calculer l’intensité du courant dans une branche d’un réseau sans à calculer les intensités dans les autres branches. III. 1.Principe : Lorsqu’on intercale une résistance R(R=R5 dans le cas du montage proposé en figure 2) entre

sources de f.é.m., on préférera la méthode de superposition. VIII.5 : Le théorème de Thévenin Bien que les lois de Kirchhoff permettent de résoudre n'importe quel circuit, si compliqué soit-il, on peut souvent éviter la résolution du système d'équations auquel elles conduisent en utilisant le théorème de Thévenin, notamment lorsqu'on ne s'intéresse qu'au courant dans un seul élément du circuit. Le théorème de Thévenin stipule que : Tout circuit à deux bornes a et b, composé de plusieurs sources

établissait ce qui deviendrait plus tard le Théorème de Thevenin. Léon Thévenin, ingénieur français (1857 - 1926). Diplômé de l’Ecole Polytechnique de Paris en 1876 (l’année de l’invention du téléphone par Bell), il entra en 1878 à la compagnie française des Postes et Télégraphes, où il fit toute sa carrière. En 1883, alors qu’il enseignait un cours pour les inspecteurs de la compagnie, il proposa ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de théorème de Thévenin. Personne ne remarqua qu’il était

résistances impliquées. On dira alors: ( E2 / ETotal ) = R2 / ( R1+R2 ) 2.3.1.2 Les lois de Kirchoff sur les boucles et sur les noeuds. Voir encadré à la page précédente. 2.3.2 Les circuits équivalents de Thévenin et Norton Les définitions pertinentes se trouvent à l’encadré de la page 13 sur les théorèmes des circuits. Les circuits équivalents sont très utiles, car ils simplifient beaucoup la résolution de nombreux circuits réels. À titre d’exemple, la partie gauche du circuit de la figure 8.19 (Wildi

réalisé si la charge demande un courant plus important que celui délivré par une seule batterie. Pour le groupement de plusieurs sources de tension en parallèle avec des caractéristiques différentes, il est plus commode d’utiliser le théorème de Millman (voir la fin de ce chapitre). 8) Récepteurs a) Définition Un récepteur est un conducteur, non purement ohmique, capable d’emmagasiner ou de transformer l’énergie électrique qu’il reçoit en d’autres

d’éléments. 2.4 Loi d’Ohm généralisée. 2.5 Loi de Pouillet. 3 ETUDE DES CIRCUITS COMPLEXES EN COURANT CONTINU. 3.1 Introduction 3.2 Les lois de KIRCHHOFF. 3.3 Théorèmes qui découlent des propriétés des circuits résistifs. 4 4.1 4.2 4.3 REGIMES TRANSITOIRES Introduction Circuits RC, RL, RLC ; grandeurs caractéristiques Application des théorèmes. Electricité Page 2/56 2009 Module II : ETUDE DES CIRCUITS EN REGIME FORCE (ALTERNATIF SINUSOÏDAL) Electricité Page 3/56 2009 Circuits

courbes planes  L’ordre sur IR et ses propriétés : Borne supérieure et borne inférieure. Les suites réelles, critères de convergence. Théorème de Bolzano-Weiestrass. Limites d’une fonction numérique à variable réelle. Notion de continuité. Théorème des valeurs intermédiaires. Image d’un segment par une fonction continue. Dérivabilité. Théorème de Rolle et théorème des accroissements finis. Applications : Fonctions trigonométriques, fonctions hyperboliques et fonctions réciproques. Formule de Taylor

par la relation : [pic] (I-28) 2. Générateurs réels a. Modèle de Thévenin et modèle de Norton d'un générateur réel Beaucoup de générateurs ne peuvent pas être considérés comme des sources idéales. Ils sont alors modélisés (dans un certain domaine de fonctionnement et au prix de quelques approximations) par l'association d'une source idéale et d'un dipôle linéaire. Le modèle équivalent de Thévenin (ou M.E.T.) d'un générateur réel comporte une source de tension en série avec un

- Unités : ampère, volt, watt. - Générateur de tension et de courant ; récepteurs. - Lois de l’électrocinétique : • Loi de Joule, • Loi d’Ohm, • Lois de Kirchhoff (nœuds et mailles), • Théorème de superposition, • Théorème de Millman, • Règle du diviseur de potentiel. NOTA : les théorèmes de Thévenin et Norton ne sont pas au programme. - Utilisation pour le calcul de tensions et de courants dans un circuit électrique. Chapitre 3 : Régime transitoires. - charge et décharge d’un condensateur