Théorie des miasmes

populaire de sa porte-parole. section, la section des Piques. Il en fut souvent le Le marquis de Sade était un vrai républicain, admirateur de Marat, mais ennemi de la peine de mort et ayant en politique des idées qui lui appartenaient. Il a exposé ses théories dans plusieurs de ses ouvrages. Dans son Idée sur le mode de la sanclion des lois, il indique comment il entend que la loi, proposée par les députés, soit votée par le peuple, parce qu'il faut admettre « à la sanction des lois cette partie du peuple

s'être roulés dans des amas de luzerne fauchée, éprouvent souvent de singuliers vertiges, on sait que, lorsque se fait la moisson du chanvre, les travailleurs mâles et femelles subissent des effets analogues; on dirait que de la moisson s'élève un miasme qui trouble malicieusement leur cerveau. La tête du moissonneur est pleine de tourbillons, quelquefois chargée de rêveries. A. de certains moments, les membres s'affaiblissent et refusent le service. Nous avons entendu parler de crises somnambuliques

passeront doucement et sans bruit, comme celles déjà écoulées» (Erz. 83), car le désir d’amour est une loi inéluctable pour tous − et ici, bien que l’attention de Thomas Mann ne se fût pas encore tournée vers la psychanalyse15 −, nous retrouvons la théorie freudienne du refoulement : il suffit, en effet, que le destin frappe à sa porte, que Gerda von Rinnlingen franchisse le seuil de sa retraite, pour que la passion se réveille et que son équilibre intérieur soit compromis ! Le «Jamais plus » de l’épicurien

apprendre sur le tas, en situation réelle, là tous les cas sont différents (…). Un gars qui a cinq ou six ans d’expérience est compétent, on a tout vu en PS (…) […] Cinq mois d’école au CAPU : je n’ai rien appris, mais vraiment rien, seulement de la théorie et du matraquage de crâne (…), j’ai appris par les collègues, avec leur aide, en me liant à eux […] ceux qui sortent de l’école ne savent rien … la technique, il y aura toujours quelqu’un qui saura (…) il n’y a pas de qualification ici, si j’avais

ses laques d’or opaque avec la poudre de charbon, c’était comme si toute l’âme ancienne et actuelle du Japon se fût suspendue en son âme pour guider sa main. Il avait le pouvoir de saisir dans la vie qui passe – quelques moineaux sur la neige, une théorie de tortues, un vol de canards sauvages, une touffe de roseaux, – l’imperceptible instant qui la rattache à la vie éternelle. Une tache, une ombre, et l’absolu le traversait. Il paraissait abandonner brusquement sa couleur et sa forme à peine ébauchées

médecine kinésithérapique. – Cet animal-là, disait quelquefois M. Bouldu, a plus vite fait d’écrire quatre volumes in-quarto que de guérir un seul malade !… Ses livres sont excellents, mais ses consultations pitoyables… Il devrait se borner à la théorie. Quand il entre dans le domaine de la pratique, tout est perdu. Par une anomalie assez étrange, Van der Schoppen et M. Bouldu s’entendaient admirablement. Ils étaient inséparables. Concession que le météorologiste n’eût faite à personne, il feignait

constitutionnelle. Comme s’il venait de Dieu. C’est d’ailleurs l’idée originelle. Lorsque les premiers pèlerins débarquèrent en Amérique, ils s’identifiaient au peuple d’Israël de l’Ancien Testament entrant en Terre promise après avoir fui les miasmes corrupteurs de l’Europe des rois, leur Égypte des pharaons à eux. En Terre promise, les juges régentaient la vie du peuple élu au nom de la loi divine. Même quand les premiers rois, les Saul, David et Salomon, furent imposés par le peuple, les

question porte sur le krach boursier : comment expliquer la spéculation  ? Pourquoi s’est-il produit en octobre 1929 ? L’école libérale fait du krach un accident économique qui aurait été déclenché par les autorités monétaires elles-mêmes. C’est la théorie de Galbraith (La Crise économique de 1929, 1955). À partir de 1927, la Réserve fédérale diminue ses taux de 4 à 3,5 % et rachète les fonds d’État pour relancer la circulation monétaire et entretenir la croissance et décourager le flux vers les États-Unis

question porte sur le krach boursier : comment expliquer la spéculation  ? Pourquoi s’est-il produit en octobre 1929 ? L’école libérale fait du krach un accident économique qui aurait été déclenché par les autorités monétaires elles-mêmes. C’est la théorie de Galbraith (La Crise économique de 1929, 1955). À partir de 1927, la Réserve fédérale diminue ses taux de 4 à 3,5 % et rachète les fonds d’État pour relancer la circulation monétaire et entretenir la croissance et décourager le flux vers les États-Unis

l’entassement se produisait. Et contre ce fléau, rien à frire, car le germe du mal était dans la profondeur du sol, nulle force humaine n’étant capable de supprimer les pluies, d’arrêter les infiltrations du fleuve. Sans port, sans banlieue, entourée de miasmes mortels, Rome, enfermée, bloquée, devra construire de longues routes pour mettre ce qu’elle exploitera à sa portée. L’erreur vint sans doute de l’admirable tableau dont furent frappés les yeux des premiers arrivants : L’hémicycle des monts fermant