Théorie quantitative de la monnaie

l’objet est d’aborder certains problèmes économiques de nature globale et qui concerne la collectivité nationale tel le chômage, l’inflation ou encore le taux de change. Ainsi pour John Maynard Keynes « Nous avons donné à notre économie le nom de « théorie générale » par là nous avons imaginé que nous avions principalement un fonctionnement du système économique pris dans son ensemble que nous envisagions, l’emploi global, l’investissement global, l’épargne globale bien plus que les revenus, profit

objectifs pédagogiques et budget horaire détaillé 31. Chap I/ Eléments de comptabilité nationale 32. Chap II/ Répartition des revenus 33. Chap III/ Consommation des ménages 34. Chap IV/ Epargne des ménages 35. Chap V/ L’investissement 36. Chap VI/ Monnaie et Crédit 37. Méthodologie : Le commentaire dirigé d’un tableau statistique 2 1. BUDGET HORAIRE GLOBAL ACTIVITES PEDAGOGIQUES COURS ET TRAVAUX DIRIGES EVALUATIONS FINALES (contrôles des connaissances et corrections en classe) ENSEMBLE (à raison

pas a des analyses économiques. Les grecs sous l’antiquité s’occupaient deja d’économie. Ethymologiquement économie signifie question de la gestion de la maison donc bien loin des questions politiques. Aristote premier a definir l’utilisation de la monnaie. Au moyen-age les questions écos sont soumises a la morale chrétienne avec la perception de la richesse, la recherche du gain comme étant quelque chose de mal ce qui fait que le prêt d’argent était condamné par l’église chretienne ce qui limtait fortemment

passé. Les illuminés du pouvoir qui se prétendent inspirés par des voies célestes distillent en fait des utopies nées quelques années plus tôt dans le cerveau de quelque écrivailleur de Faculté[1]. » John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, chapitre 24, 1936 Sommaire [masquer] 1 Les précurseurs de l'économie 1.1 Le Code d'Hammurabi 1.2 La pensée économique de l'Antiquité orientale et grecque 1.2.1 Thalès 1.2.2 Xénophon 1.2.3 Platon 1.2.4 Aristote

caractéristiques fondamentales de la monnaie avant de présenter les différentes modalités du financement de l’économie et e fonctionnement des marchés financiers. Cette question est d’autant plus intéressante que la crise financière de 2007-08 qui s’est étendue à l’économie réelle pose de manière accrue la relation entre sphère financière et sphère réelle. Première partie : L’économie monétaire Toutes les opérations économiques nous confrontent à l’usage de la monnaie et en tant qu’instrument de

négatif). La diminution de l’investissement suite à un déficit budgétaire se fait alors avant tout aux dépends de l’investissement *involontaire* (stocks et invendus), ce qui est le but de l’opération. En revanche, si on gonfle la masse monétaire, la monnaie créée se contente de remplacer les actifs achetés par la banque centrale et est thésaurisée car perçue comme aussi rentable (voire plus) que les actis achetés. La taille de la base monétaire augmente d’ailleurs de façon spectaculaire durant ces périodes

monétaire est le processus par lequel de la monnaie nouvelle est introduite dans le circuit des échanges économiques. Au plan matériel, cela se traduit par la récolte de biens ayant une valeur reconnue (coquillages, métaux précieux, ...) ou leur fabrication (frappe de pièces, impression de billets), ou même par un jeu d'écriture dans un livre comptable (inscription d'un montant au crédit d'un client par un établissement financier). Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire

temps inutile, comme nous avons tant à faire avec la théorie économique moderne. Certains auteurs s’amusent ainsi de cette « promenade au cimetière », comme F-R MAHIEU, qui n’aurait d’autre intérêt que d’exhumer les erreurs du passé sans que l’on s’intéresse aux 13 enjeux économiques de notre temps. Pour d’autres au contraire, s’intéresser aux théories économiques contemporaines modernes sans comprendre les fondements historiques de ces théories, c’est-à-dire leurs antécédents intellectuels, les influences

dans le sens où elle renoue avec les fondements de l’analyse néoclassique pour examiner les comportements d’optimisation des hommes politiques des fonctionnaires ou des électeurs elle utilise les outils mathématique de la microéconomie et de la théorie des jeux par exemple. On entend donc par l’économie politique au sens large une analyse économique qui intègre les réalités politiques dans sons champs de recherche et qui plus précisément considère les variables politique non plus comme

Sommaire chapitre 2 – la monnaie 1 I. La monnaie dans l’échange 1 A. La monnaie dans l’économie de marché 1 II. Les qualités attendues d’une bonne monnaie 3 III. Le rôle des autorités monétaires 5 IV. L’impact de la variation de la masse monétaire sur l’activité économique 6 A. Un excès de liquidité favorise l’activité 6 B. Un excès de liquidité peut conduire à la crise 7 chapitre 2 – la monnaie I. La monnaie dans l’échange A. La monnaie dans l’économie de marché 1) La monnaie, un actif liquide Un