Théorie quantitative de la monnaie

règlement entraîne des flux monétaires de sens inverse qui sont leur contrepartie. ● Les régimes de change : les échanges entre pays implique l’existence de mécanismes de change entre les monnaies des différents pays, qui varient en fonction des régimes de change. Dans un système de changes fixes, les parités des monnaies entre elles doivent rester quasi fixes, et les banques centrales sont chargées de veiller à cette quasi fixité. Dans un système de changes variables, au contraire, la fixation des taux

Chap.2 : La monnaie dans l’échange ECO I) Qu’est-ce que la monnaie ? A) La loi de l’offre et la demande La monnaie est un actif liquide accepté par tous à sa valeur nominale. La monnaie est un actif : comme les immeubles ou les actions, c’est un élément du patrimoine des agents économiques. La monnaie est un actif liquide : sa valeur nominale est stable et elle peut servir à régler des transactions sans délai et sans coût. A la différence de la monnaie, certains actifs financiers

Université Panthéon-Assas-Paris 2 MASTER 1 MONNAIE FINANCE BANQUE EXAMEN D’ ECONOMIE MONETAIRE APPROFONDIE Session de septembre 2012 Titulaire du cours : M. Sébastien LOTZ Les étudiants traiteront les deux exercices et répondront aux deux questions ci-dessous. Aucun document n’ autorisé pendant l’ est épreuve. L’ utilisation de la calculatrice est inutile et interdite. Exercice 1 : Soit un modèle à générations imbriquées ayant les hypothèses suivantes. Chaque individu i vit deux périodes. Il

n° 2 LES GRANDS THÈMES DE L’ITB > 2008 Les théories économiques INTÉRÊT DES THÉORIES ÉCONOMIQUES Les politiques économiques n’appliquent pas directement les théories économiques, mais elles les reflètent, et l'on y retrouve les grands clivages de la science économique, notamment l'opposition entre "classiques" et "keynésiens". L’ÉVOLUTION DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE L'essor économique qui prévaut à partir du XVIème siècle s'accompagne d'une réflexion sur les mécanismes de ce développement. ·

approche Ex : le rôle de l’état (état providence = interventionniste/état gendarme = libérale), l’équilibre de l’économie (marché est autorégulateur = libéraux/déséquilibre permanent du système capitaliste = interventionniste), le rôle de la monnaie (la monnaie est un voile = libéraux/impact sur l’économie réelle = interventionniste). Il apparaît nécessaire de présenter l’analyse économique sous forme historique. 1-Qu’est ce que l’analyse économique ? 1.1 l’émergence de

stratégies de différenciation. Déséquilibre entre offreurs et demandeurs. Information pas toujours claire ou complète. Autres déterminants de la consommation (facteurs psychologiques ou sociologiques). CHAPITRE 2 : LA MONNAIE A – L’OFFRE DE MONNAIE 1 - Les fonctions de la monnaie a – Intermédiaire dans les échanges Moyen de paiement lors de l'achat de biens et services. A remplacé le troc et facilite les transactions. b – Instrument de mesure Unité de compte commune à tous les biens

INTRODUCTION * I. LA RÉGULATION MONÉTAIRE CONTEMPORAINE * A. GÉNÉRALITÉS  * 1. Fondements théoriques et succession des objectifs de la politique monétaire * a) De la « monnaie voile » aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne * b) Le retour au monétarisme  * (1) Monétaristes et « Nouveaux classiques », * (2) Des banques centrales indépendantes visant principalement la stabilité

la terre - théorie de la valeur foncière - et que l'industrie et le commerce ne crée donc pas de richesse. Les physiocrates ne sont plus interventionnistes. Le travail n'ajoute pas de valeur aux choses, l'économie fonctionne dans un état stationnaire selon les lois naturelles. Quesnay observe trois classes sociales : les fermiers - producteurs - les propriétaires fonciers et les artisans - classe stérile. Deuxième section : le libéralisme. §1. Les classiques. 1. La théorie de la valeur

déséquilibres économiques. Les inconvénients sont mineurs. Entre 3 et 10 %, on a une inflation ouverte dans laquelle on a des inconvénients sur le pouvoir d’achat ou phénomène de fuite devant la monnaie. Seuil psychologique à 10 %, inflation à « deux chiffres » selon expression. Au-delà de 10 %, la fuite de la monnaie s’accélère et inconvénient majeur. Quand elle est gigantesque ; ie prix multipliés par des milliers voire des millions de fois, on parle de hyperinflation qu’on a connu dans l’histoire, notamment

monétaire à son époque. • Jean Bodin lui est persuadé que l’augmentation de la quantité de monnaie due à l’afflux de métaux précieux d’Amérique du Sud est l’une des causes de la hausse des prix. (avec la disette et les dépenses fastueuse de la noblesse française). C'est-à-dire que cette augmentation touche directement les moyens de paiement → multiplication des moyens de paiement. (Approche quantitative de la monnaie) ➢ Différence unité de compte vs moyen de paiement • Aujourd’hui unité de compte=