Thermes De Caracalla

firent passer jusqu'au XVIIIe siècle pour un édifice antique.  C'est à Rome qu'ils étudièrent les monuments antiques : le Panthéon, le Colisée, le théâtre de Marcellus, les vestiges du forum, les arcs de Septime Sévère et de Titus, les thermes de Dioclétien et de Caracalla, la basilique de Maxence et celle de Constantin (l'antique Saint-Pierre démolie au début du XVIe siècle).  De nouveaux principes       En revenant au style de l'Antiquité, la Renaissance se soumettait implicitement

source. Cela nécessite une pente légère car l’eau doit circuler lentement. Les aqueducs sont très solides et ont besoin de peu de matériaux puisqu’ils comportent des endroits vides. Les Romains utilisent pour cela une sorte de béton. Les thermes Les thermes sont un endroit où on peut prendre des bains, faire du sport,… Il sont accessibles à tous mais ne sont pas mixtes, il y a des heures pour les femmes et des heures pour les hommes. On chauffe grâce à un système d’hypocauste. C'est-à-dire que

l'empire seul les constructions de Rome sont entretenues. L'état dépenses pour entretenir l'armée professionnelle après la réforme marianique, ou encore à offrir des services, qui pourraient s'apparenter à nos services publics, pour par exemple certains thermes, l'approvisionnement en eau, les cultes religieux publiques, la médecine, les spectacles subventionnés (théâtre, Cirque, Jeux, festivals religieux) et surtout des distributions de nourriture gratuite à Rome, voir d'argent annone. -------------------------------------------------

et leur province. L’intégration culturelle va favoriser la diffuser progressive de la citoyenneté romaine. Ce mouvement d’intégration par la citoyenneté romaine se confirme par la suite et va de pair avec la romanisation des régions. L’édit de Caracalla (212) Il octroie la citoyenneté à tous les hommes libres de l’Empire : la citoyenneté n’est pas réservée à des élites locales. Il n’y a plus de distinction juridique entre les hommes libres, tous sont citoyens. Objectifs : fiscaux, religieux et

sur la photocopie de la photographie (utilisation de flèches). Les monuments aux noms peu évocateur sont expliqués et font l’objet d’une trace écrite sous forme de définition. Aqueduc : canal permettant de conduire l’eau d’un lieu à un autre. Thermes : bains publics. Amphithéâtre : bâtiment de forme ovale où se déroulent de grands spectacles : combats de gladiateurs ou d’animaux… (ex. : Colisée) Arc de triomphe : monument construit pour célébrer une victoire militaire ou un événement important

devoir, ainsi que les lettres gréco-latines. Ces élites vivent dans des villes qui ressemblent aux villes romaines et dont l’administration ressemble à l’administration romaine ; les Oppida sont parfois reconstruits comme des villes ouvertes, avec des thermes, des temples, des théâtres, des écoles… La ville, au sens strict, s’appelle désormais du nom latin de municipium (= le territoire urbain), lequel est dirigé par un Sénat local, qu’on appelle la Curia (à l’origine des mots français curie et cour),

collectif). C’est ce dernier moyen qui va, à partir du 1er siècle, beaucoup faire pour élargir la citoyenneté : en 48, l’empereur Claude permet ainsi aux notables romanisés de la gaule chevelue l’accès au sénat romain3. Mais c’est en 212 que l’empereur Caracalla, dans un édit, fait de tous les hommes libres de l’empire des citoyens romains. La citoyenneté est donc étroitement liée à l’idée de romanisation : « L’empire de Rome ne doit-il pas sa naissance à un exilé, à un fugitif traînant avec lui quelques

entre autres, par l'arc de Constantin, érigé en 315 pour commémorer la victoire de l’Empereur Constantin sur Maxence, l'arc de Titus, l'arc de Septime Sévère. Les Forums impériaux, le Capitole et les musées capitolins, le Panthéon, les thermes de Dioclétien et de Caracalla et les onze Aqueducs de Rome, les catacombes sont autant d'autres monuments célèbres. Le Forum romain était, au temps de l'Antiquité, une grande place où les Romains se rassemblaient pour discuter d'affaires. C'était là que siégeait

à trois: l'Hispania ulterior Batica, l'Hispania ulterior Lusitania et l'Hipania citerior. On situe cette partition entre 16 et 13 avant J.C., à l'occasion du second voyage d'Auguste empereur en Occident. Ce découpage resta en vigueur jusqu'à Caracalla et au-delà sous Dioclétien, à l'exception de quelques réaménagements temporaires en temps de crise : ainsi, quand, sous Marc-Aurèle, l'Hispanie citérieure et la Bétique passèrent sous le commandement d'un seul légat impérial, ce sont les incursions

des plus grands du monde romain. ------------------------------------------------- L’aqueduc de Gorze à Metz long de 22 km traversant la Moselle et dont on voit les arches à Jouy-aux-Arches alimentait la ville en eau. Les vestiges de plusieurs thermes — dont l’un sur le site de l’actuel musée — ont été trouvés. Par ailleurs, une vaste nécropole s’étend au sud de la ville de part et d’autre de la voie vers Lyon. Les nombreuses stèles funéraires exposées au musée gallo-romain de Metz ainsi que de