Thermidor

va donc abolir le Comité du Salut Public et en faire exécuter ses membres. A partir de la une nouvelle Constitution doit être rédiger au mois de Thermidor. 2- La Constitution du 22 Août 1795. C'est la Constitution de Thermidor. La constitution montagnard est un échec, le corps législatif qualifié d'une Assemblée dictatoriale. Les thermidors rédacteurs de la nouvelle Constitution, avait qualifié la Constitution montagnard d'anarchie. La nouvelle Constitution est rédigé pendant l'an III

jusqu’au 26 octobre 1795, décret sur la laïcisation de l’état civil et divorce, la convention est dominée par les girondins, victoire de Valmy. Septembre 1792-Novembre 1799 : période républicaine Septembre 1792-27 juillet 1794 (9 thermidor An II) : la république (convention) est entre les mains des Jacobins 3 Avril 1793 : les montagnards en s’alliant aux sans culottes renverse la mouvance girondine 2 juin 1793-27 juillet 1794 : la Convention est dominé par les montagnards

plus controversés de cette période, surnommé « l'Incorruptible » par ses partisans, « la chandelle d’Arras » par Rivarol, l'un de ses adversaires, et qualifié de « tyran » ou de « dictateur sanguinaire » par ses ennemis pendant la Terreur et après Thermidor. Nous allons donc, dans une première partie poser le contexte historique dans lequel évolua Robespierre, puis nous mettrons en évidence l’impact de la pensée de Robespierre sur la Constitution I- La Révolution Française a- Le Processus de

de son arche de cèdre pour être appliquée. Et nul n'en douta tant que Maximilien Robespierre fut de fait l'organe officiel du Comité de Salut Public. La guerre intérieure, extérieure et surtout le renversement de la convention montagnarde le 10 thermidor an II sonnèrent le glas de son application. Malgré sa non-application, la Constitution de l'an I garda un grand prestige auprès des forces politiques de la gauche démocratique française sous le Directoire, l'Empire et la Restauration. Pourtant

pourraient favoriser l’action de l’ennemi. Le 10 août, la foule attaque les Tuileries, résidence du roi. Réfugié à la Législative qui décide de convoquer une Convention nationale, Louis XVI se voit déchu de ses pouvoirs. III – La Convention jusqu’au 9 thermidor an II A Paris, la Commune, formée de révolutionnaires radicaux prend le pouvoir. La Fayette émigre. Les girondins sont de plus en plus débordés. Les affrontements se multiplient dans le pays, alors qu’avancent les armées ennemies. Le 4 septembre

de la ligne 3 et de l'ancienne ligne 14 aujourd'hui ligne 13,nous avons subi de grands changement de réseau tels que: le 3 se dirige aujourd'hui jusqua la Mayanelle et dessert de nouveaux quartiers trés habités tels que grande thumine le defens thermidor bois de l'aulne etc.... et la est le hic si je puis dire, si ce n'est plutot à notre avis, une catastrophe.En effet entre 6h 45 du matin et 7h45 le 3 ne fait que passer sous nos yeux à 7h12 et 7h25 ainsi que le 13 (qui aujourdhui dessert aussi la

l'arrestation, le jugement par un Tribunal révolutionnaire et l'exécution (par la guillotine) de tous ceux qui menaceraient la République. Les ennemis sont vaincus mais les républicains modérés veulent cesser la Terreur et reprennent le pouvoir Le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) en faisant arrêter puis exécuter Robespierre.  

limité par des droits. a) Les libéraux du début du XIXème vont aller plus loin, en s'inspirant de la Révolution Française tout en la craignant. Après la révolution, c'est-à-dire après la chute de Robespierre marquée par la date du 9 thermidor, l'heure est à la critique. Les excès de la Terreur et le retour d'un pouvoir étatique trop grand poussent les libéraux à reprendre à leur compte le besoin de droits fondamentaux.

sa liberté que le 3 décembre 1794 et utilisa de suite ses relations pour obtenir un poste bien payé dans l’administration. Il se fait ensuite oublier quelques temps ; il continua l’ouvrage de Vilate sur les Causes secrètes de la révolution du 9 thermidor (1795), encore un argument pour ceux qui voient dans cet intrigant littérateur un des machinistes cachés du grand drame révolutionnaire. En 1800, il est nommé général de brigade dans l’artillerie, par décision personnelle de Bonaparte, qui entend

Rentrée au service en 92, comme maréchal de camp. Nommé gouverneur des Indes françaises, où il ne va pas. À la chute de Philippe, enfermé à Picpus. (Plans de réforme, expériences sur les projectiles.) Arrêté de nouveau, relâché le 9 Thermidor. Nommé secrétaire général de l’administration des hypothèques. Il revient à ses expériences militaires et rentre au service, général de brigade d’artillerie. Campagnes du Rhin et d’Italie, mort à Tarente, 5 octobre 1803. Homme vertueux,