Thessalonique

chrétiens, le concile de Nicée (325), au cours duquel est défini avec précision le dogme chrétien. A partir de ce moment là, un lien ténu se crée. Si on écarte le cas de Julien Lacréta, les empereurs sont des empereurs chrétiens. En 380, par l’Edit de Thessalonique, l’empereur Théodose impose la foi chrétienne à tout l’empire. Autrement dit, le christianisme devient la religion de l’empire romain. AU cours des années suivantes, les restes de l’ancienne religion progressivement sont abandonnés. L’empereur

apparaissent générales au III e s (empereur veut éliminer les chrétiens) 311 édit de la tolérance 312 conversion de Constantin 313 édit de milan qui proclame la liberté de culte (les chrétien ne peuvent plus être pourchasser) 380 édit de Thessalonique. La religion chrétienne est religion d’état. (Elle s’impose et doit écarter les autres) Cela a des répercutions sur le droit. B- Le christianisme dans l ‘empire La religion chrétienne permet de réaffirmer la puissance d’état,, tout pouvoir

don de divination et une vie longue de sept générations. D'après la Bibliothèque du Pseudo-Apollodore, Hésiode rapporte un récit semblable. La jeune fille et Apollon La dernière version est rapportée par l’évêque du XIIe siècle Eustathe de Thessalonique  : dans son commentaire de l’Odyssée, il rapporte un récit attribué à Sostratos. Ce récit, qui aurait son origine dans une élégie hellénistique, raconte que Tirésias naquit de sexe féminin. Toute jeune fille, elle suscita le désir d’Apollon, et

officiel mais elle est reconnue. A partir de là en quelques année va s’installer dans tt les élites et va dépasser le polythéisme et en 380 l’empereur Théodose 1er impose la foie chrétienne a l’empire et les autres se voient condamné. (Edit de Thessalonique) tt les Romains doivent être chrétiens ; plus de liberté de conscience. La société devient exclusive et le catéchisme est obligatoire. Ceci va être marquant jusqu’à la révolution française. Le christianisme sera plus influent en Orient. Statut

(Rm 16, 14), évêque de Pouzzoles [5 nov.] ; PHILÉMON, évêque de Gaza [22 nov.] ; PUDENS (2 Tim 4, 21) [14 avr.] ; RUFUS, évêque de Thèbes (Rm 16, 13) [8 avr.] ; SILAS (Act 15), évêque de Corinthe et SILVAIN (2 Cor 1, 19 ; 1 Th 1, 1), évêque de Thessalonique [30 juil.] ; STACHYS, disciple de Paul et d’André (Rm 16, 9), évêque de Byzance [31 oct.] ; STÉPHANAS (1 Cor 1, 16) [15 juin] ; SOSTHÈNE (1 Cor 1, 1), évêque de Colophon [8 déc.] ; SOSIPATER (Rm 16, 21), évêque d’Iconium [10 nov. et 29 avr.] ;

des romaines. Le mot paganisme a changé de sens, après le développement du christianisme, le paganisme fait référence à la population qui n’a pas encore été évangélisée. En 313 on tolère officiellement le christianisme et en 380 c’est l’Edit de Thessalonique (Empereur Théodose 1er), le christianisme devient la religion officielle de l’Etat romain. C’est ce baptême qui marque l’essor de la religion catho en France et c’est par rapport à ce baptême de Clovis qu’on va dire que la France est la fille

renaquit pendant un temps sous Julien, Valentinien Ier et Valens. Mais sous Gratien (375-383) des mesures décisives furent prisent contre la religion païenne. En 379, l'Etat impérial se sépara officiellement du paganisme et, à travers l'édit de Théssalonique (28 février 380), les sujets de l'Empire sont obligés de « se rallier à la foi transmise aux Romains par l'apôtre Pierre. » Vers 382, le Grand Pontificat disparut de la titulature impériale et une série de décret dont l'instigateur fut Saint Ambroise

palais du Latran qui passe à l’évêque de Rome. 2) L'édit de Thessalonique : En 390 l'édit de Thessalonique va rendre le christianisme qui était déjà autorisé, obligatoire. Édit fait par Théodose 1er. Dans cet édit, l'empereur Théodose 1er, il donne un nom a cette église, il dit que cette église s'appellera l'église catholique. C'est a partir de cet édit que l'église devient universelle. B) L'ecclesia catholica : Cet édit Thessalonique va reprendre la prétention romaine à l'universalité. 1)

tard de « l’édit de Milan » par lequel Constantin posait comme principe la liberté religieuse. Suivront « de nombreuses constitutions impériales instaurant un régime de faveur à l’égard du christianisme »[3]. Le 28 février 380, avec l’édit de Thessalonique, Théodose Ier instaure le catholicisme religion d’Etat. La collaboration de l’Eglise et de l’Etat va alors croître jusqu’au césaropapisme de Justinien Ier, où l’empereur règle lui-même nombre de questions religieuses. Ce trait se retrouvera

(le code Théodosien en 380 qui fait de l’Église l’instance instituante) : l’Église prend l’autorité sur l’Empereur ; Ambroise, l’évêque de Milan, contraint l’Empereur Théodose à se repentir d’avoir fait exterminer 7000 révoltés dans le cirque de Thessalonique (« Tu as imité David dans son crime, imite-le dans son repentir ! »). En contrepartie, l’Église se calque sur l’Institution Impériale, avec ses épiscopes, ses circonscriptions, la centralisation sur Rome, avec ses temples reconvertis en églises