Thomas d'Aquin

concevoir une organisation caractérisé par une démocratie populaire et décentralisée. Machiavel (1469-1527), théoricien italien spécialiste de la stratégie de la guerre. Il propose d'utiliser la force et la ruse pour gagner la guerre. Saint Thomas d'Aquin (1227-1274), philosophie et théologien italien, défend la réconciliation entre la religion et la raison. Platon (antiquité), le livre qui traite de la République, inspiration de la démocratie. Empires, armées, églises, Cours des Royaumes. II

produisant des biens utiles aux autres et même aujourd'hui nous vivons sur ce schéma de travail qui occupe la majorité de la vie humaine. La propriété, ici on voit l'influence d'Aristote, les penseurs du moyen age notamment Thomas d'Aquin défendent la propriété privée. St Thomas l'a défend avec les mêmes arguments d'Aristote, on gère bien ce qui nous appartient en propre (facteur d'ordre) parce qu'on subit les conséquences de sa gestion, la propriété est aussi un facteur de paix car on peut faire reconnaître

l'acte est fait librement cad en connaissance de cause . Puis le droit cannonique medivale va prolondgé cette analyse de la responsabilité , la l'auteur d'une infraction ne pourra etre punit que s'il est moralement responsable de sont actes , St Thomas d'Aquin , qui va s'efforcé de precisé ce constate de responsabilité pénale , l'établissant en moraliste , il insiste sur la liberté fondammentale de l'homme et affirme ce n'est que si l'acte est volontaire que son auteur est coupable et engage sa responsabilité

Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche des Docteurs de l’Eglise – – Augustin : le libre arbitre est nécessaire pour comprendre le péché tout en dédouanant Dieu Thomas d’Aquin : le libre arbitre est nécessaire pour sauvegarder la responsabilité morale Les libertés Le problème du libre arbitre ● L’approche moderne de Descartes ● La raison et la volonté est la cause du libre arbitre. L’action libre est une action autogérée. Le pouvoir de juger suppose que le sujet

peuvent être vraies ou fausses, elles sont ou elles ne sont pas. Ainsi, la chaise que je vois devant moi est vraie puisqu’elle est présente, que je peux la toucher et que sa présence s’accorde avec l’idée que j’ai (celle de bien la voir). En effet, Thomas d’Aquin démontre que « La vérité est l’adéquation de l’esprit et de la chose ». Par conséquent, toute chose que mon esprit conçoit et qui est bien présent en tant que chose est indéniablement vrai puisque mon esprit s’accorde à la chose ce qui rend le

système juridique actuel de l’Europe continentale trouve son origine dans le développement du droit civil et du droit canon aux XIIe et XIIIe siècles. En théologie, les traditions médiévales de la scolastique — notamment la pensée de saint Thomas d’Aquin (mort en 1274), de Jean Scot (mort vers 877) et de Guillaume d’Occam (mort vers 1350) — se poursuivent à la Renaissance!; le platonisme et l’aristotélisme médiévaux inspirent également la pensée philosophique. Les progrès dans les disciplines

Pouvons-nous juger si l’usage de la raison suffit à l’atteinte du vrai sans définir ce qu’est vrai ? Tout d’abord être dans le vrai signifie ne pas être dans l’erreur : or comme nous venons de le voir la raison mène parfois à l’erreur. Saint Thomas d'Aquin a le premier défini la vérité comme l'adéquation de la chose et de l’intelect . Mais pour que cette définition soit valide, nous faudrais-il encore pouvoir comparer nos idées aux choses ; le problème étant que nous n’avons jamais affaire aux

volonté. Il y a volonté dès lors que l'acte est fait librement cad en connaissance de cause. Le droit canonique médiéval prolonge cette analyse et ériger une doctrine pénale. L'auteur ne peut-être puni que si moralement responsable de son acte. St thomas d'aquin va s'efforcer de préciser ce concept de responsabilité pénale. Il affirme que ce n'est que si l'acte est volontaire que son auteur est coupable et engage sa responsabilité. Dans cette conception la responsabilité pénale de l'homme est liée à sa

vérité : la vérité est l'adéquation de la chose et de l'esprit (Saint Thomas d'Aquin). Thomas ne dit pas qu'on puisse atteindre cette équation, mais ) la conviction qu'on peut en saisir des fragments (chose = l'ensemble de la nature). Cette phrase suppose qu'il y a une sorte de language commun entre notre esprit et la nature. L'esprit humain serait apte à déchiffrer la structure de la matière. Il va de soi que pour Saint Thomas, les choses ne sont pas réductibles à du matériel car avec une telle définition

droit conçue comme recherche du juste est reprise par Saint Thomas d’Aquin (1225- 1274 ; Somme théologique), dont le génie est de combiner la philosophie grecque et la religion chrétienne. Saint thomas distingue plusieurs sortes de lois : la lex humana, correspondant au droit positif ; la lex naturalis, universelle et intemporelle, susceptible d’être découverte par la raison ; et la lex divina, révélé aux hommes par Dieu. Saint thomas s’est surtout penché sur la loi positive injuste. Si la loi