Thou

Macbeth, he is «Belladona’s bridegroom»[6]. He is «the son and heir of Mars» (4.5.197), the god he serves and whose name, Martius, he bears. Even his greatest enemy, Tullus Aufidius, recognizes his military prowess when he addresses Coriolanus as «thou Mars» (4.5.119). Coriolanus is the archetypal war hero. His fighting unaided against Corioles is a powerful heroic image. He boasts that he can fight alone against a multitude of adversaries: On fair ground I could beat forty of them

actions when, on his way to kill the current king Duncan, he starts having hallucinations: “Is this a dagger which I see before me, The handle toward my hand? Come, let me clutch thee. ( Art thou not, fatal vision, sensible To feeling as to sight? Or art thou but A dagger of the mind, a false creation,” (II. i. 33-34, 36-38). It is a relevant sign that Macbeth cannot handle his actions and that even before actually proceeding in the murder, his soul is not clear

"the best laid schemes o' mice an' men," begin to go awry. The Robert Burns poem To a Mouse Wee, sleeket, cowrin, tim'rous beastie,... ... But, Mousie, thou art no thy lane In proving foresight may be vain: The best laid schemes o' mice an' men     Gang aft agley, An' lea'e us nought but grief an' pain     For promis'd joy. Still thou art blest, compar'd wi' me! The present only toucheth thee: But, och! I backward cast my e'e     On prospects drear! An' forward, tho' I canna see,  

says: Lady Macbeth, par exemple, écrit: What thou wouldst highly, Qu'est-ce tu veux fortement, That wouldst thou holily; wouldst not play false Que tu veuilles saintement; aurais pas jouer faux And yet wouldst wrongly win. Et pourtant aurais tort gagner. Thou'd'st have, great Glamis, Thou'd'st ont, Glamis grande, That which cries "Thus thou must do," if thou have it, Ce qui crie: «Ainsi tu dois faire, si tu l'avoir, And that which rather thou dost fear to do, Et ce qui la peur plutôt tu as

the beloved to nature. Why to start with such a question? Probably the author wants to show the reader the importance of his relation with the beloved, the perfection of this last or, at least, the degree of his feelings for him. The second verse “Thou art more lovely and more temperate:” indicates that the poet made a mistake by comparing her/ him to “a summer’s day” and wants to correct it. In fact, the beloved has something that the summer does not have: a constant temper and a personality which

» (l.18), l' « ardente ferveur » (l.18)→ on retrouve le vocabulaire religieux mais convertit. _______♠ Il cherche à inspirer chez les autres le « saint respect » (l.39), l' « enthousiasme » (l.40) (de ________.« thou » (comme dans « théologie » = étude de Dieu) → moment où Dieu (« thou ») entre en ________.(« en ») nous). _______♠ l.18 : référence à Dieu (donc la religion) _______♠ V. est qualifié de « saint » (l.21), est conduit par un « bon ange » (l.58) M. est la « patronne » (l.20) ♠_______

tour à tour un rôle d'incitation, extérieur, à la mise en place de la rédaction des coutumes, c'était en réalité les assemblées qui travaillaient sur les textes. La coutume subira au XVIe siècle une véritable réformation, avec notamment Christofle de Thou comme acteur principal. Les différents problèmes que posaient les coutumes non-écrites ont incité la mise en place progressive de la rédaction des coutumes. Il faut voir maintenant quel a été l'impact de cette rédaction sur le royaume. II.

Mémoires, ainsi que le tome VII intitulé "L’Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut". En 1731 paraissent en outre à Utrecht quatre tomes de son roman "Histoire de Cleveland, fils naturel de Cromwell", et en 1733 les mémoires de François de Thou, conspirateur contre Richelieu. À Londres, il rédige des articles pour sa revue Le Pour et le Contre, publiée à Paris. Un an plus tard, il est brièvement emprisonné pour escroquerie puis expulsé. De retour en France, caché, l’Abbé Prévost reprend

Mémoires, ainsi que le tome VII intitulé "L’Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut". En 1731 paraissent en outre à Utrecht quatre tomes de son roman "Histoire de Cleveland, fils naturel de Cromwell", et en 1733 les mémoires de François de Thou, conspirateur contre Richelieu. Un an plus tard, il est brièvement emprisonné pour escroquerie puis expulsé.  De retour en France, caché, l’Abbé Prévost reprend contact avec les Bénédictins et obtient le pardon du pape.. Ainsi, il écrit en 1735 le

Mémoires d’un homme de qualité, qui font aussitôt l’objet d’une traduction en anglais. Entre-temps, ayant pris le nom de Prévost « d’Exiles » par allusion à ses propres périples, il se plonge dans la traduction de la Historia mei temporis du président de Thou et publie la suite en trois volumes des Mémoires et aventures d’un homme de qualité dont le dernier relate l’Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, peut-être inspirée d’une de ses propres aventures et que le parlement de Paris condamnera