Thylakoïde

Transforme l’énergie lumineuse en énergie chimique + autotrophie au carbone, fixation de l’azote et biosynthèse des lipides - D’origine bactérienne (cyanobactérie), elle s’est engouffrée dans la cellule eucaryote après la mitochondrie - Bourré de thylakoïdes = siège de la photosynthèse - Génome des chloro = ADN double brin circulaire  ADNct, taille variable, taille sup à l’ADN mitoch : 100-300Kpb homme : 16Kpb - Plusieurs copies de l’ADN chloroplastique par chloroplaste (20-100) - ADNct du tabac

absorbé au niveau des feuilles par les stomates. Lors de la phase photochimique de la photosynthèse, les cellules chlorophylliennes vont capter la lumière. Une succession de réactions d’oxydoréduction vont alors se dérouler dans la membrane des thylakoïdes (dont la photolyse de l’eau). Ces réactions permettent la libération de l’énergie sous forme d’ATP. Arrive ensuite la phase non photochimique durant laquelle le CO2 entre dans le cycle de Calvin pour être transformé en glucose. Enfin, que

absorbe la lumière. Cette pluie de photons est une source d’énergie pour les êtres vivants capables de faire la photosynthèse. Ces pigments, ce sont les chlorophylles (pigment vert) et caroténoïdes (pigment rouge). La chlorophylle se trouve dans les thylakoïdes (ensemble de membranes dans lesquelles se déroule la photosynthèse) des chloroplastes. Elle a pour rôle de capter l’énergie lumineuse et de la canaliser. Les pigments sont organisés en antennes collectrices d’énergie comportant 250 molécules de

dans les tissus animaux : en premier lieu (Skou, 1957) le système ATPasique transportant les ions Na+ et K+, et en second lieu le système de transport intracellulaire des ions Ca2+. Les ATP-synthétases des membranes plasmiques bactériennes, des thylakoïdes des chloroplastes ou de la membrane interne des mitochondries apparaissent en microscopie électronique (après « coloration négative » à l'acide phosphotungstique) sous forme de sphères protubérantes de 8,5 nm de diamètre, rattachées à la membrane

isoprèniques. La structure isoprène se répète Cholestérol H 2C H 3C un certain nombre de fois, éventuellement en formant des cycles. C C CH 2 H isoprène HO ß carotène : pigment important des végétaux, inclus dans les membranes des thylakoïdes du fait de son caractère hydrophobe fort. Stérides : esters d'acides gras et de stérol. Entrent dans le métabolisme des stéroïdes (hormones). Ph. Collas – UCO Bretagne Nord 17 Biochimie structurale Lipides Méthodes d'analyse. Extraction

dissipation des gradients de pH. Le côté gauche représente le stroma, la matrice ou le cyto-plasme, où le pH est élevé ; le côté droit représente le lumen, l'espace intermembranaire ou la vacuole, où le pH est bas ; et la membrane représente le thylakoïde, la mitochondrie interne ou la membrane du tonoplaste pour un chloroplaste, une mitochondrie ou une cellule racinaire, respectivement. Le résultat net de la réaction illustrée est que la concentration en OH - du côté gauche et la concentration en

Chapitre 1 : Bioénergétiquemétabolisme : ens des réactions, transformations qui ont lieu dans la cellule · production d’éléments nécessaires à un instant donné/ dégradation-élimination· transformation/ stockage/ utilisation de l’énergie Les enzymes assurent et catalysent les réactions, ce sont des éléments clés qui permettent de réguler le flux à travers une réaction, elles sont indispensables aux réactions du métabolisme – catalyseur- régulation.A chaque réaction, on a une protéine spécifique qui

La structure isoprène se répète Cholestérol H 2C H 3C C C CH 2 H un certain nombre de fois, éventuellement en formant des cycles. isoprène HO ß carotène : pigment important des végétaux, inclus dans les membranes des thylakoïdes du fait de son caractère hydrophobe fort. Stérides : esters d'acides gras et de stérol. Entrent dans le métabolisme des stéroïdes (hormones). Ph. Collas – UCO Bretagne Nord 17 Biochimie structurale Lipides Méthodes d'analyse.

tétrapyrrolique). On les rencontre dans les cytochromes et dans les peroxydases. On distingue : 2.4.1 - CYTOCHROMES Ce sont des chromoprotéines présentes dans toutes les cellules, dans la membrane interne des mitochondries, dans la membrane thylakoide des chloroplastes, et dans le cytoplasme. Le groupement prosthétique ferroprotoporphyrinique est le même (Voir figure 4). Seules les apoenzymes qui leur sont solidement accrochées par liaisons covalentes sont différentes (avec des masses moléculaires

les chloroplastes (organites Cr ovoides qui au µ électro ont la particularité d’être des organites limités par une double mb séparée par un espace mbr (sac) présentant à l’intérieur une substance fondamentale avec des sacs +/- longs qui sont les thylakoïdes ou thylacoïdes dont les plus courts sont empilés les uns sur les autres pour cté des grana(pluriel de granum). Dans le stroma (substance fondamentale), la µ et les techniques immuno-histochimiques ont permis de mee la présence de ribosomes libres