Thème De La Fatalité

(Le mythe de Sisyphe) et un roman (L’étranger). Parmi ses nombreuses œuvres, on retiendra également La peste (1947, allégorie de tous les maux de l’homme : violence, orgueil, égoïsme,…), Les justes (1949, pièce de théâtre) et L’homme révolté (1951, thème de la révolte très important pour Camus : selon lui, elle est le remède à l’absurdité de la vie et au non-sens de l’homme). Cet auteur humaniste, préconise la liberté et rejette la religion comme explication du monde. Il a reçu le prix Nobel de littérature

violence : II ) Caligula : A) Dédoublement du personnage : Dans ce passage, Caligula a fait le vide autour de lui et n’a plus que le miroir, cad lui-même comme spectateur et interlocuteur . La récurrence du mot « miroir » insiste sur le thème du double éclairant ainsi le sens des pronoms de première et deuxième personne. C’est un monologue introspectif : le personnage se parle à lui-même. Son dedoublement se retranscrit sous différentes manières : a) dédoublement en paroles :

l’amour, le mariage, la haine, la fatalité et la mort. L’amour parce qu’il unit Roméo et Juliette qui incarnent le mythe du couple amoureux, et que sans l’amour l’histoire n’aurait pas pu exister. Le mariage est présent parce qu’il va unir Roméo et Juliette, de plus c’est une convention sociale pour les parents de Juliette. Nous retrouvons ensuite le thème de la haine. Effectivement il règne une haine ancestrale entre les Capulet et les Montaigu. La fatalité est elle aussi présente. Roméo et Juliette

traduit par celle de la fatalité notamment par « ça vous laisse sans défense » puisque la définition de « fatalité » est « ce qui est inévitable » . Par ce témoignage, Camus nous rappelle le thème principal du roman, celui du sentiment de l'absurde. En effet, Meursault est la personnification du sentiment de l'absurde qui mène à se poser la question du sens de la vie,c’est une vision du monde marquée par la conscience de l’insignifiance de la vie quotidienne et de la fatalité de la mort. Pourquoi

dans la danse. 4. Thème du texte : Lors d'un bal à la cour, le duc de Nemours et la princesse de Clèves se rencontrent et tout semble se conjuguer pour les réunir. 5. Plan de la lecture méthodique : I Une société d'apparences (le jeu des regards) a. le champ lexical de la vue b. l'intérêt de la préparation c. le jeu des regards II La présence du destin a. des héros complémentaires b. l'événement c. le poids de la fatalité 6. Lecture méthodique

Commentaire L’esclave mourant est d’une grande passivité, il ne semble plus être maître de son corps de ses gestes. Il se laisse totalement porter, guider par son destin. Il est dans un état de servitude très profond, l’esclave semble accepter cette fatalité et sa condition. Ce sentiment semble conforté par l’esclave rebelle qui lui ,comme son nom le laisse présager, tente de se libérer de cet asservissement et ne semble pas se résoudre à sa condition. Les interprétations sont multiples et la symbolique

française. Cette pièce, qui se déroule dans l’Espagne de la fin du XVIIème siècle, est rempli d’amour, de tragédie, de drame, de fatalité, de jalousie… 1 suite intro : La scène étudiée ici est la scène 3 de l’acte I, il en ressort différents thèmes, tel que les dramatisations de l’aveu, l’expression d’un amour impossible et douloureux ou encore une incarnation de la fatalité sociale… Alors ? La condition sociale est-elle réellement indispensable à une possible relation amoureuse ? L’amour est-il vraiment

269 au 306 pour tenter de répondre à la problématique suivante: en quoi Phèdre est elle un personnage tragique ? Nous analyserons dans un premier temps, le tragique d'une passion impossible puis dans un second temps, nous verrons le destin, la fatalité tragique qui s'abat sur l’héroïne de cette œuvre. I. Le tragique d'une passion impossible A. Un amour coupable Dans un premier temps, l’amour de Phèdre est un amour coupable. Elle va nommer des responsables de ce mal : « à peine au fils d’Égée

Apollinaire vient donc dans ce poème exposer son amour pour Marie et sa souffrance due à cette rupture qui a été un épisode réel de sa vie. Le registre pathétique est donc réellement présent dans le poème: «mal»v10 , «peine»v23. Enfin on retrouve donc le thème classique de la nature en relation avec le lyrisme: «Les brebis s’en vont dans la neige»v11 «feuille de l’automne»v23 et «le fleuve»v19. On retrouve donc dans ce poème une certaine tradition poétique que l’auteur a su reprendre. Ensuite, l’auteur nous

dialogue. Il reprend ses questions et le respecte (« monseigneur »). Il répète la même structure, comme un refrain → ça rappelle le chant des fossoyeurs. Le fossoyeur et les deux nobles ne parlent pas directement ensemble mais ils parlent du même thème, et Hamlet ramasse les crânes que le fossoyeur jette → un jeu. Hamlet a tendance à dialoguer avec les crânes, il leur donne des noms, une profession et leur pose des questions. On imagine qu'il porte le crâne face à lui de façon à créer un “tête à