Théme De Bérénice

Cléopâtre captive. Il aborde le thème de la guerre, de la mort et de la lâcheté. Non, cela ne donne pas une image positive de l'homme, mais une image de lamentation et de la misère de la condition humaine. Corneille, Cinna. Il pardonne Cinna et Emilie parce qu'il dit a Cinna qu'il lui a «donné la vie», et malgré son «destin lâche», il lui la donne «encore comme à son assassin». Il accorde aussi le droit d'aimer Cinna à Emilie. Corneille, Tite et Bérénice Elle ne veut pas épouser Tite parce

l’acte IV de la pièce de théâtre Bérénice écrit en 1670 par Racine, le troisième texte est encore un extrait correspondant à la scène 4 de l’acte I de la pièce de théâtre Un chapeau de paille d’Italie écrit en 1851 par Labiche. Et enfin le dernier extrait représente la scène 1 de la pièce de théâtre La cantatrice chauve écrite en 950 par Ionesco. Tous ces textes présente un thème commun, celui de la condition des

une scène capital dans le roman : la rencontre amoureuse. Texte A : L’abbé Prévost, Manon Lescault, 1731 Texte B : Alain-Fournier, Le grand Meaulnes, 1913 Texte C : Louis Aragon, Aurélien, 1945 Le corpus propose trois variations autour du thème littéraire de la rencontre amoureuse à travers 3 extrait de roman : Manon Lescault, Le grand Meaulnes et Aurélien. La question du point de vue implique l’indentification du statu du narrateur, elle diffère dans chacun des extraits. L’abbé Prévost

l'Académie Française Dès les années 1660, il voit apparaître un terrible rival, Racine. En 1670, les deux auteurs se retrouvent en concurrence lorsqu'ils créent chacun une pièce de théâtre sur le même thème. Racine triomphe avec Bérénice, mais Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé avec Tite et Bérénice. Corneille prendra donc sa retraite en 1674. Il meurt 10 ans plus tard à Paris. Le Cid : Le Cid est une tragi-comédie écrite par Pierre Corneille en alexandrins essentiellement, dont la première

par l.16-17 «  représentait deux dîners.. sans dîners «  ) Ironie narrateur l.22 («  c'était là … grande dépense «  ) Approche dans 1er partie + détermination = laisse entrevoir volonté de se projeter dans société où seul les déterminés gagnent ( thème de l’arrivisme ) C) Détermination associé à attitude révélant image d'un prédateur chez GD. Souligne portée naturaliste du roman. L.7 comparaison «  comme des coups d'épervier « assimile GD à oiseau de proie recherchant plaisir chez femmes. L.38-39

connaît avec Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence frontale lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec sa Bérénice, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. 5. Médée est publiée quatre ans après sa première représentation, en 1639. La tragédie romaine permet au public romain le spectacle de la transformation d'un homme en

*2ème composante: Production finale. *3ème composante: Présentation orale du projet -Au cour de l’heure les professeurs encadrants commence la présentation du thème: La consommation. 1

et durant la période de la Fronde, la crise d’identité que traverse la France se retrouve dans l’œuvre de Corneille : il règle ses comptes avec Richelieu dans la Mort de Pompée, donne une tragédie de la guerre civile avec Rodogune et développe le thème du roi caché dans Héraclius, Don Sanche et Andromède, s’interrogeant sur la nature même du roi, subordonné aux vicissitudes de l’histoire, en lui faisant ainsi gagner en humanité. À partir de 1650, ses pièces connaissent un succès moindre, et il cesse

connaît avec Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence frontale lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec sa Bérénice, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. Enfin, en 1684, Corneille meurt le 1er octobre et son frère Thomas lui succède à l’académie et, comme pour oublier sa rivalité avec Pierre, Racine prononce une superbe

… qui suscitant pitié et crainte, opère la purgation propre à pareilles émotions … »Ici Aristote s’intéresse à l’effet, à l’impact qu’une tragédie produit sur ses spectateurs.Pour lui c’est aussi important que les autres critères qu’il a énumérés (thème, style, modalité, etc.)Pour qu’une tragédie en soit une, il faut qu’elle produise un double effet quelque peu contradictoire = TERREUR + PITIÉExemple: l’histoire d’ŒdipeL’effet produit par l’alliance de terreur et de pitié : la CATHARSISUne purgation