Théme De Bérénice

Etroitement lié à l’art théâtral, le monologue représente souvent un moment unique de joie, de tristesse, d’horreur… pour le spectateur, selon la nature et les circonstances du thème traité. Monologuer c’est faire partager au public, des pensées, des émotions et des réflexions. Est-ce que le monologue permet la construction du personnage tragique ? Construire ici est pris dans le sens de comprendre du point de vue du spectateur. Celui-ci peut-il à travers une tirade saisir le problématique de

Racine connaît avec Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec son Andromaque, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. Face à ces drames complexes s’oppose la simplicité racinienne qui séduit le public. Corneille n'écrira plus dès 1674. Le théâtre de Corneille présente des héros d'une

devient dramaturge : après La Thébaïde (représentée en 1664 par la troupe de Molière) et Alexandre le Grand à la fin de l’année suivante, il connaît son premier grand succès avec Andromaque en 1667. Les années suivantes, les succès s’enchaînent avec Bérénice en 1670, Bajazet en 1672, Mithridate en 1673 et Iphigénie en 1674. Il est reçu à l’Académie française en 1673. En 1677, alors qu’il n’a que 37 ans, Racine rompt avec le monde théâtral et devient, avec Boileau, historiographe du roi Louis XIV.

palais-royal que dirige Molière. 1664 : échec de Britannicus, malgré la protection déclarée du Roi. La tragédie a eu pour interprète la nouvelle maitresse de Racine « la champselé ». 1670 : racine entre en lutte ouverte avec corneille, a propos de Bérénice, ca sujet étant également proposé à corneille, sans dire ni à l’un ni à l’autre qu’elle engageait une compétition. Depuis, racine mena alors une vie agitée. Les ennemis ne lui manquaient pas, les deux Corneilles, Fontenelle, la comtesse de Soisson

monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une fin attendue ? Documents complémentaires - une œuvre picturale choisie personnellement par les élèves sur le thème de la vanité. - une œuvre picturale sur Sardanapale – Eugène de Lacroix - une œuvre picturale sur la tradition du Pierrot de la Lune, en relation avec la mise en scène de D. Mesguish - les élèves ont vu en classe une mise en scène moderne de Dom

mondiale sont légion, aucun n'atteint l'intensité du Journal d'Anne Franck, une jeune juive hollandaise, qui mourra déportée, d'où provient l'extrait que nous étudierons. -Pierre Corneille (1606-1684), surtout connu pour ses tragédies (Le Cid, Bérénice...), était en réalité un dramaturge complet, qui pratiquait tous les styles de son époque. Le meilleur exemple en est L'Illusion comique, pièce à la rencontre de plusieurs genre théâtraux écrite en 1636. Ainsi le pittoresque personnage de Matamore

Nous pouvons citer par exemple la tragédie Bérénice de Racine, il s’agit de l’affrontement de deux impératifs incompatibles, la passion et la raison. Bérénice et Titus sont amants de longue date, un jour, le père de Titus meurt et lui laisse le trône d’empereur. L’intrigue est qu’un empereur romain ne peut épouser une reine étrangère. Titus doit choisir entre son amour pour Bérénice, et son rôle d’empereur. Le dénouement est ici un coup de théâtre, Bérénice laisse de côté son intérêt personnel pour

Justement ces conflits amoureux peuvent permettre au dramaturge d’explorer toutes les facettes du comportement humain: jalousie colère.... Nous pouvons prendre comme exemple la pièce de théâtre Bérénice (1670) de Racine qui aborde le thème de la séparation, l’empereur romain Titus est amoureux de Bérénice reine de Palestine par conséquent Rome s oppose a leur mariage il y a donc conflit entre amour et raison d’état. Titus est contrains a la renvoyer chez elle. Il y a affrontement entre deux impératif

Intérêt documentaire ‘’L’avalée des avalés’’ est riche de toute une mémoire livresque. Réjean Ducharme, fouillant dans le désordre d’une bibliothèque, s'appuya sur une très vaste culture, montra même une ambition encyclopédique. Bérénice affirme d’ailleurs : «Le seul moyen de s'appartenir est de comprendre» (page 191). Elle découvre les livres : «Je me mets dans tous les livres qui me tombent sous la main et ne m’en retire que lorsque le rideau tombe. Un livre est un monde, un monde

connaît avec Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence frontale lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec sa Bérénice, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. 1672 Pulchérie, comédie héroïque : Echec 1674 L'échec de Surena, tragédie, ainsi que celui de Pulchérie, deux ans avant, poussent Corneille à cesser son activité d'auteur