Théodore De Banville

préface de Mademoiselle de Maupin '' Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid.''. Ce principe va être accentué par le concept de l'art pour l'art. Les précurseurs: - Théophile GAUTIER - Théodore de BANVILLE Les parnassiens les plus célèbres: Leconte de Lisle ( considéré comme le chef de file du mouvement) Catulle Mendès Sully Prudhomme José-Marie de Heredia François Coppée Léon Dierx

complètes’’. En 1850, Charles Asselineau, un ami de Baudelaire, publia un pantoum dans un obscur magazine belge. En 1856, Théodore de Banville produisit un pantoum comique, ‘’Monselet d’automne’’, qui faisait partie de ses ‘’Odes funambulesques’’. En 1865, Louisa Pène-Siefert écrivit un pantoum remarquable. En 1872, dans son ‘’Petit traité de poésie française’’, Théodore de Banville définit le pantoum français. Il consiste en une suite de quatrains (d'octosyllabes ou de décasyllabes, le même mètre étant

soumet aux contraintes (métriques, sonores, etc.), plus elle est de qualité. Les grandes figures du Parnasse : Gautier, Théophile (1811-1872) : Émaux et Camées. Leconte de Lisle, Charles (1818-1894) : Poèmes antiques, Poèmes barbares. Banville, Théodore (1823-1891) : Les Stalactites, Les Princesses.

II-Reliez le titre de chaque poème à son auteur en associant un chiffre et une lettre, écrire ci-dessous les combinaisons trouvées : 1- JACQUES PREVERT A- L' Enfant sage 2- LA FONTAINE B- Il pleut. 3- ARTHUR RIMBAUD C- Querelle 4- THEODORE DE BANVILLE D- Chanson pour l'Auvergnat 5- GEORGES BRASSENS E- Le Cancre 6- VICTOR HUGO F- Les Effarés 7- CLAUDE ROY G- Le loup et l'Agneau 8- APOLLINAIRE H- Aux Feuuillantines Réponses : ____________________________________________________________________

excès lyrique du romantisme et contre sa tendance au discours, le symbolisme est contre l'impasse du parnasse mais aussi contre la conception naturaliste Le parnasse : En 1866 un groupe de poète se constitue dont le compte de Lisle et Théodore de Banville ce constitue autours de la revue le parnasse contemporain. Théophile Gauthier est l'un des inspirateurs. Ce mouvement emprunte sont nom à une montagne de Grèce qui était dans l'antiquité consacré à la poésie. Leurs argument contre le romantisme :

l'art vit de contraintes et meurt de liberté », comme le dira au siècle suivant Paul Valéry, défendront les règles traditionnelles (vers syllabique, rimes, poèmes à forme fixes comme le sonnet) avec Théophile Gautier ou les Parnassiens comme Théodore de Banville, Leconte de Lisle ou José-Maria de Heredia. Cette conception esthétique ira même avec Mallarmé jusqu’à un certain hermétisme en cherchant à « donner un sens plus pur aux mots de la tribu » et à relever des défis formels (comme le sonnet en

tous les autres. En vous appuyant sur des références précises aux recueils de Verlaine (ainsi qu'à d'autres poésies qui vous sont connues, vous vous demanderez dans quelle mesure cette définition de la poésie, formulée par le poète parnassien Théodore de Banville, s'applique à l'art poétique. Quel choix de question? La poésie de Verlaine est là pour nous suggérer la nuance des couleurs et nous évoquer des émotions. Toutefois sa poésie n’exprime pas son intérieur profond mais suscite la sensibilité

grands mythes et de l'archéologie antiques. Leurs poèmes sont à forme fixe et régulière (sonnets, ballade, rondeaux...) et ils recherchent le terme juste, proche de la perfection. Les grands parnassiens sont Théophile Gautier, Leconte de Lisle, Théodore de Banville et Sully Prudhomme. Les deux dernières strohes du poème "Vénus de Milo" tiré des Poèmes Antiques de Leconte de Lisle montrent bien toutes les facettes du Parnasse : "Si mon berceau flottant sur la Thétis antique, Ne fut point caressé de

« Sensation » de Rimbaud ou bien encore « Tristesse d’été » de Mallarmé qui est d'une inspiration incontestablement pessimiste. L’auteur en appelle au Néant et au sommeil éternel. Et enfin, le parnasse où nous trouverons « Le printemps » de Théodore de Banville, « Le merle » de Théophile Gautier et « Le sommeil du condor » de Leconte de Lisle où ce noble oiseau, qui est décrit dans sa beauté parnassienne, nous transporte dans un décor exotique. En conclusion, je peux vous assurer que ce travail

Devenu français, le valet bouffon (Morgan Thibaut le bizu)s’est montré dévoué, et s’il gronde, c’est pour corriger son maître. Dorimon utilise le personnage de Scapin en 1659 dans L’Inconstance punie, puis dans L’Amant de sa femme, en 1660. Théodore de Banville a mis en scène le Scapin de Molière dans une comédie en vers, Les Fourberies de Nérine (Vaudeville, 1864), et l’a représenté dupe à son tour d’une maligne soubrette. Dans Les Misérables de Victor Hugo, quelqu’un traite Napoléon de Scapin.