Théophile De Viau

temps. Recherche du naturel contre les rhétoriqueurs. Le Baroque (courant Européen, le nom vient du portugais baroco qui signifie perle irrégulière, bizarre, manque de gout. France : fin du XVIe-fin XVIIe ; Europe : jusqu’au milieu XVIIIe) (Théophile de Viau, Agrippa d’Aubigné, St Amant) -fascinés par un monde constamment changeant, par l’inconstance, le mouvement, la mort. Goût de l’ornement, décors surabondant (architecture), métaphores, personnification, antithèses… Liberté du théâtre (pas

donc choisit de classer ces poèmes par date pour observer les différentes styles d’écriture à travers le temps. Notre anthologie débutera par le poème Un Corbeau devant moi croasse…, publié en 1626 extrait du recueil Œuvres poétiques de Théophile de Viau est un poème baroque qui à travers une vision d’un monde cauchemardesque, fantastique et infernal il rend compte de l’absurdité du monde et de son désarroi. Nous poursuivrons notre étude avec la fable La Cigale et la Fourmi de Jean de la Fontaine

par sa volonté d’une poésie claire dépourvue de mots rares, la période classique. Le XVII éme siècle * 1ere moitié du siècle La poésie baroque : Refus des règles et pensée libertine qui s’éloigne des doctrines imposées (satire par ex) Théophile de Viau refuse les modèles anciens et il aime évoquer la nature ou l’amour. Saint-Amant a une tendance à la poésie descriptive en chantant les plaisirs de la vie Tristan L’Hermite exprime le rêve intérieur et la fragilité universelle A l’Hôtel de

siècle) : > il cherche à renouveler la vision de la réalité en mettant en scène les métamorphoses du monde et les illusions de l'âme humaine. * Écrivains représentatifs : -Jean de Sponde (1557-1595) -Agrippa d'Aubigné (1552-1630) -Théophile de Viau (1590-1626) -Corneille (1606-1684) [au début de sa carrière littéraire puis classicisme.] -Le classicisme : > il recherche l'équilibre et la mesure dans la représentation de l'être humain ; il se préoccupe de définir son idéal esthétique

l’écriture et la surcharge ornementale, dominée entre autres par l'alambique rhétorique et la multiplication de figures de style comme la métaphore. Les grands auteurs baroques sont : Tristan L'Hermite, Marc-Antoine Girard de Saint-Amant et Théophile de Viau. Mais aussi Corneilles. Les œuvres les plus connus sont Cyrano de Bergerac (___________________) et Don Juan (_______________) 3. Le classicisme (XVIII) C’est un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans

dans leurs œuvres. On distingue d’un côté les écrivains protestants comme Théodore Agrippa d'Aubigné et de l'autre les écrivains catholiques comme Honoré d'Urfé et Pierre Corneille ou encore ceux qui se reconvertissent tels Jean de Sponde et Théophile de Viau. En Espagne, le courant baroque est représenté entre autres par Pedro Calderón de la Barca et Lope de Vega. Andreas Gryphius et Martin Opitz sont ses représentants les plus illustres en Allemagne, comme Giambattista Marino en Italie (son nom

protestant, maitrise de nombreuses langues tot, debute la poesie sous linfluence de la pleiade. Redaction des Tragiques, violent requisitoire contres les persecution subies par les protestants. Viau 1590-1626: poete et dramaturge francais, oublier suite au critique des Classiques puis redecuvert par Theophile gautier. Il est definit comme un baroque et un libertin. Exilé et emprisoner pour ses ecrit obsene et irreligieux.

16e et du 17e siècle) : il cherche à renouveler la vision de la réalité en mettant en scène les métamorphoses du monde et les illusions de l'âme humaine. *Ecrivains représentatifs : Jean de Sponde (1557-1595) Agrippa d'Aubigné (1552-1630) Théophile de Viau (1590-1626) Corneille (1606-1684) [au début de sa carrière littéraire] -Le classicisme : il recherche l'équilibre et la mesure dans la représentation de l'être humain ; il se préoccupe de définir son idéal esthétique à travers des règles

Théophile de Viau, Œuvres poétiques, « Contre l’hiver », 1619 Le poème de De Viau, « contre l’hiver » est un poème qui débute par une imprécation doublée d’une vitupération contre cette saison, et par une progression parfaitement maitrisée le narrateur termine son discours par une louange faite à l’hiver si sa bienaimé ne décède pas de la maladie qu’elle a contractée. Notre étude porte sur les strophes 4 à 10. Il s’agit d’une description des tourments

des « esprits forts » qui, non seulement remettent en question l’ensemble des certitudes établies, mais contestent le système, considéré comme une entrave à la libre pensée religieuse, morale, sociale et politique, comme Cyrano de Bergerac, Théophile de Viau, ou encore Molière, à travers sa plus célèbre pièce, Dom Juan : « Songez que la nature est tout ce qui nous mène Que, malgré la raison, son pouvoir nous entraîne Que le crime n'est pas si grand qu'on nous le fait Que tous ces châtiments