Théophile De Viau

retrouve pas ? Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d’accueil, Ou qu’elle eût moins senti la poussière funeste Et les vers du cercueil ? Quatrième Texte : La Frayeur De La Mort Ébranle Le Plus Ferme , de Théophile de Viau (1590-1626) La frayeur de la mort ébranle le plus ferme :Il est bien malaisé,Que dans le désespoir, et proche de son terme L'esprit soit apaisé.L'âme la plus robuste, et la mieux préparée Aux accidents du sort,Voyant auprès de soi sa fin toute

travail Une dramaturgie à contre-courant dans la mesure où elle tourne le dos au naturalisme et au symbolisme. Influence certes massive du drame romantique, mais relation complexe avec la comédie héroïque. Dans son étude des Grotesques (1844), Théophile Gautier commente une gravure de l’édition des Oeuvres de Cyrano de Bergerac (Sercy, Paris, 1681) Ce nez invraisemblable se prélasse dans une figure de trois-quarts dont il couvre entièrement le petit côté ; il forme sur le milieu une montagne

réalisme burlesque et libertin. Les caractéristiques et principes dominants sont le goût pour le spectaculaire et le romanesque. Et les thèmes abordés sont la passion et l'amour. Les œuvres clés sont Satire de Régnier, Les Tragiques d'Aubigné, Œuvres de Viau, L'Autre Monde ou Les Etats et Empire de la Lune de Cyrano de Bergerac. Le classicisme 1660-1680 Le classicisme est un courant littéraire qui se développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Il se

règles claires, le goût grandissant de la société pour la modération et la raison expliquent l’évolution du théâtre baroque (ou théâtre irrégulier) au théâtre classique (ou théâtre régulier). Après une première génération baroque autour de Théophile de Viau (Pyrame et Thisbée 1621), une génération de transition apparaît avec Mairet ou Corneille qui pratiquent à la fois le théâtre régulier et irrégulier. Le mouvement est progressif. La répartition des genres témoigne de l’évolution du théâtre

création est un combat », on peut encore citer Louise Labé « Là si mes volontés ne manquent de pouvoir » mais c’est un « combat » dur et pour lequel il n’ont pas assez de force pour lutter et gagner. On peut d’ailleurs parler d’Elégie à une dame de Théophile Viau, poème tout au long duquel le poète proclame sa liberté mais dont l’ « œuvre de dix ans » qui lui « tienne à la contrainte » sonne un peu comme une défaite, finalement, face aux règles contre qui il revendiquait le loisir et la liberté. Les

En poésie, on assiste au développement du sonnet et des odes pindariques ou anacréontiques, avec des poètes extrêmement originaux qui s’illustrent grâce à leur esprit libertin comme Tristan L'Hermite, Marc-Antoine Girard de Saint-Amant et Théophile de Viau considérés comme des libres penseurs refusant les dogmes et les principes. De fait, certains de ces poètes, à l'instar de Paul Scarron, s'illustrent dans un registre dit « burlesque » à savoir un répertoire irrévérencieux et parodique qui ridiculise

centre de tout. Exemples d'auteurs : Erasme, Montaigne, Rabelais. Baroque (fin XVIe - début XVIIe siècle) : Caractérisé par une expressivité exubérante, une complexité formelle et souvent un sens du tragique. Exemples d'auteurs : Théophile de Viau, Pierre Corneille. Classicisme (XVIIe siècle) : Recherche de l'harmonie, de l'équilibre, de la simplicité et du respect des règles. Exemples d'auteurs : Molière, Racine, La Fontaine, Madame de La Fayette. Lumières (XVIIIe siècle) : Période

ou mélancolique (une "ode à la solitude"), et le monde normal présenté était parfois la côte sauvage ou un autre environnement raboteux -- par les poèts qui ont été groupés par de plus défunts critiques avec l'étiquette "baroque" (notamment Théophile de Viau et Antoine Gérard de Saint-Amant-Amant). La poésie est venue pour être une partie des jeux sociaux dans les salons nobles (voir des "salons" ci-dessus), là où épigrammes, vers satirique, et les descriptions poétiques étaient toutes communes

Dom Juan et L’école des femmes ). Le Libertinage (liberté de pensée en matière religieuse, proche de l’athéisme : Gassendi, philosophe, Cyrano de Bergerac, romancier, Théophile de Viau, poète) est réprimé.Impôts augmentent, mauvaises récoltes, épidémies…La gaieté qui s’exprimait lorsque le Roi était jeune disparaît.Baroque et Classicisme : ces deux courants littéraires cohabitent en 1688, l’un, le Baroque

monde et des êtres  les déguisements, les masques et les miroirs, les jeux sur l’identité les incertitudes du bonheur toujours menacé D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) LES LUMIÈRES Env. 1715- 1789 Les écrivains des Lumières s’engagent afin