Théophile Gautier Le Chevalier Double

de la Passion ou miracles comme le Miracle de Théophile. Littérature bourgeoise : à partir du XIIIe siècle, avec l'apparition des bourgs et de la bourgeoisie, se développe une littérature plus populaire, dite bourgeoise, d'inspiration comique et satirique ou empreinte de réalisme mêlé de lyrisme personnel. POTELET L'apogée culturel du XIIIe Prospérité économique, échanges (Italie-Pays-Bas), expansion de la Chrétienté (Ordre des Templiers, Chevaliers Teutoniques, Reconquista, Marco Polo), problèmes

prison », « menacer », « harcèlement », « ligoter* »…etc.). Vers la fin du texte, il illustre sa thèse par l’exemple saisissant de la fille Cécily qui est rejetée autant par les noirs que par les blancs à cause de sa métisse*. Cette dernière vit un double drame : elle était marginalisée par la société dans laquelle elle évolue et incomprise par ses proches. C’est une fille qui vit une crise d’identité adoucie par le voyage au Nigeria qui lui permet de retrouver ses « racines ». Malgré les appels

21/01 Les deux oeuvres font référence à la Révolution française. Point historique politique du XIXème. L’ensorcelée paru en 1864, Quatre-vingt-treize 1874, comment ce fait-il que les deux romans parlent de la Révolution ? Frise chronologique du XIXème. Régime politique très instable durant ce siècle, pluralité de régimes : république, empire, monarchie. Restauration : en quoi est-ce différent de la monarchie ? C’est le retour

mais Mmden. de Staël est contre cette idée et elle dit qu’il faut utiliser l’imagination. Dans les livres de Mmden. de Staël il y a 4 thèses : 1. une œuvre doit parler au cœur. 2. une œuvre doit permettre la renaissance du passé (Chevalier, Moyen Âge, etc.) 3. la religion est la base de la poésie. Il y a le mot religare (unir). La poésie doit être religieuse. Entre le gent et Dieu. 4. inspiration (volonté de bonheur) et bonheur doivent de l’enthousiasme. L’enthousiasme

joué par les cordes graves et les cuivres : - - le deuxième, plus léger, est joué dans une nuance piano. Son timbre instrumental est réparti sur les vents (flûte, hautbois, clarinettes) et les cordes (violons). Il présente un rythme en croches et double-croches pour ses huit premières mesures : On remarquera que ce thème, comme le précédent, peut se diviser en deux phrases égales. Une transition en rythmes resserrés, et en crescendo, nous conduit vers le premier thème qui ne sera cette fois pas

[Notices bio-bibliographiques], Pl. I, p. 784. 7. Voir L. Cellier, Baudelaire et Hugo, Corti, 1970; M. Rosenfeld, "Baudelaire lecteur de Hugo (1837-1866)", Études baudelairiennes, IX, Neuchâtel, La Baconnière, 1981, p. 75 à 177. 8. Sur l'influence de Gautier, voir R. Vivier, L'Originalité de Baudelaire, p. 200 et suiv.; J. Pommier, Dans les chemins de Baudelaire, p. 74 et suiv.; le ch. VI du Baudelaire de J. Prévost. (Pour les ouvrages fréquemment cités, les références bibliographiques complètes sont

| |En 1651 |Le fils de Balthazar Gobelin, Antoine, marquis de Brinvilliers, épouse Marie Madeleine d'Aubray. | |En 1659 |La marquise rencontre et devient la maîtresse du chevalier de Sainte-Croix, mauvais sujet qui lui apprend à | | |confectionner des poisons. | |Vers 1665 |la marquise, qui est aussi

Or l’esprit aime les idées sensibles, parce qu’il les saisit facilement, et il aime à penetrer pourveu que ce soit sans effort, soit parce qu’il se plaist à agir jusqu’à un certain point, soit parce qu’un peu de penetration flate sa vanité. Il a le double plaisir, et d’embrasser une idée facile, et de penetrer, lors qu’on luy presente des faits pareils à celuy de Galatée. L’action, et pour ainsi dire, l’ame de l’action, s’offrent tout ensemble à ses yeux ; il ne peut avoir rien de plus, ny plus promptement

Louis Aragon, a consacré un livre, Le Paysan de Paris , à ses pérégrinations pédestres dans la capitale, où il décrit, pour ainsi dire pas à pas, un espace du XIXe siècle qui a aujourd’hui disparu, le passage de l’Opéra (double passage : du Baromètre et du Thermomètre), avec ses cafés, ses hôtels, ses commerces, ses artisans, ses passants et ses passantes et même sa maison de passe ; et un jardin de Paris qui demeure, celui des Buttes-Chaumont, qu’il arpente la nuit ; livre

hiérarchiquement parlant parce qu’ils assurent la communication avec l’au-delà, ils assurent la vie éternelle, la survie, ils obtiennent par la prière l’aide divine) - Les bellatores (bellum = la guerre): « ceux qui combattent ». Ce sont les chevaliers, les guerriers, qui dès le 11ème siècle tendent à se confondre avec les nobles, maîtres des terres et détenteurs du pouvoir ; groupe disparate, mais uni par une certaine cohésion idéologique, et qui domine la société de l’époque. C’est à l’intérieur