Théophile Gautier

ce courant noir. L'essentiel est de noter qu'un nombre important de romantiques frénétiques tremperont par la suite leur plume dans l'encrier sombre du romantisme :Charles Robert Mathurin et son Melmoth ou l'homme errant, Gérard de Nerval, Théophile Gautier, Victor Hugo...  A la genése, des caractéristiques de ce roman gothique : C'est une narration ambivalante à la fois extrémement raffinée, labyrinthique comme le milieu qu'elle decrit mais d'une autre part extremement brute (car si l'on regarde

que Alphonse Allais à décidé d'utiliser : au lieu d'utiliser de l'imparfait ou de présent (les temps les plus courants), il utilise le passé simple ce qui donne une sonorité plutôt étrange, qui peut surprendre à la lecture. Dernier Vœu – Théophile Gautier C'est un poème rédigé en quatre quatrain d'alexandrins de rimes croisées en octosyllabes. Ce poème est un aveu : il avoue à une femme qu'il l'aime depuis longtemps avant de mourir (d'où le titre « dernier vœu ») A une dame Créole – Charles

collectifs intituler le « Parnasse contemporain » en 1866, 1871 et 1876 ; une œuvre réalisée par une quarantaine de poètes de l’époque. Ces ouvrages on permit la structuration d’un groupe et d’une esthétique s’opposant aux principes du romantisme. Théophile Gauthier (1811-1872) en est le précurseur, c’est un poète, peintre, romancier et célèbre critique d’Art Français, il a notamment écrit en 1835 « Mademoiselle de Maupin », « Emaux et Carmées » en 1852 (poèmes parnassiens) ainsi que « La nature chez

– ont le regard tourné vers les sommets de la perfection. L’origine : Le Parnasse a voulu se situer par rapport à son grand prédécesseur, le Romantisme, qu’il poursuit et conteste à la fois. Un des principaux inspirateurs du Parnasse est Théophile Gautier (1811-1872), dont le nom est associé à une doctrine appelée « l’Art pour l’Art », et qui souhaitait fonder une poésie qui n’ait pour finalité qu ‘elle-même, sans épanchement lyrique, et se caractérisait par le simple culte de la beauté et de

Gautier e i Parnassiani  L'arte Sì, l'opera esce più bella da una forma al lavoro ribelle, verso, marmo, onice, smalto. Niente falsi accomodamenti! Ma che per camminare diritto tu calzi, Musa, un coturno stretto. Diffida dal ritmo comodo, come una scarpa troppo grande, di modo che prenda e lasci ogni piede. Scultore, respingi l'argilla che sporca il pollice quando lo spirito alita altrove. Lotta col marmo di Carrara, col Paros duro e raro, guardiani del contorno puro. Prendi

des 4 poèmes (Titre, Date, Auteur, Recueil) Nous étudierons les points communs des quatre textes présents au sein de ce corpus, L'albatros de Charles Baudelaire écrit en 1857, tiré du second receuil des Fleurs du Mal, Le pin des Landes de Théophile Gautier écrit en 1845, provenant de Espana, Le crapaud de Tristan Corbière, daté de 1873 et tiré de Les Amour jaunes, et enfin Le lombric, de Jacques Roubaud, publié en 1990 dans Les Animaux de tout le monde. Ces textes présentent comme thème commun

spécialistes voient des rapprochements possibles entre des vers de ‘’La Beauté’’ et des phrases trouvées chez Edgar Poe. De ce fait, ils situent la composition du sonnet après 1852, à une époque où Baudelaire répondait aussi à l’influence de Théophile Gautier, insistait sur la sérénité harmonieuse de I'art, adhérait quelque peu à la doctrine de «l’art pour l’art», dont le poème serait d’ailleurs la meilleure illustration. Et, parce que, de toutes les formes de la beauté, celle de la statuaire lui

l'art » par Théophile Gautier par opposition au Romantisme. Cette théorie apparaît dans un poème « l'Art » paru dans la revue Artiste en septembre 1857 (comme Mme Bovary). Il faut noté que Gautier fut l'un des premiers partisans du mouvement romantique et que c'est par lui qu'arrive la contestation du mouvement. D'abord groupés autour de Théophile Gautier, les parnassiens se réunissent le samedi soir chez Leconte de Lisle ou José-Maria de Hérédia. Principaux poètes (les parnassiens) : Gautier, Théodore

Théodore de Banville ou Théophile Gautier et continue d’écrire. Ses passions amoureuses, marquées par son voyage, sont aussi éphémères qu’exaltées. La « Vénus noire », alias, Jeanne Duval, en est une parfaite représentante. L’héritage est rapidement dilapidé et Charles Baudelaire est placé sous tutelle. Ce désarroi financier le pousse à vivre de sa plume. Il devient donc critique d’art et littéraire, publie poèmes et essais dans diverses revues. Il écrira notamment sur Théophile Gautier, Gustave Flaubert

–, avec des fonds qu’il ne possède pas. Gustave Planche se chargera de la critique littéraire, Théophile Gautier, dont Balzac apprécie le jeune talent, fera partie de la rédaction. Le jeune romancier, très impressionné par Balzac, promet des articles. Quand enfin la Chronique de Paris paraît le (1er janvier 1836), l’équipe comprend des plumes importantes : Victor Hugo, Gustave Planche, Théophile Gautier. Balzac se réserve la politique (puisque le journal est un outil de pouvoir) et fournira aussi