Théorie De La Rente De Ricardo

Économie Dossier 3 la répartition des revenus chez Ricardo La rente: ne nécessite aucun travail, c'est la nature qui travail à la différence du profit. « La rente est la portion du produit de la terre que l'on paye aux propriétaires pour avoirs le droit d'exploiter des facultés productives et impérissable du sol». Il s'agit donc du prix a payer pour pouvoir exploiter le sol. La question de la rente est un des aspect de la détermination des lois qui règle la distribution du produit de la terre

Chapitre 3 : Les classiques (fin 18ème-19ème) On va regrouper ici différents auteurs, avec des points communs mais aussi des divergences. (RICARDO, SMITH, MALTHUS) I. Introduction : le contexte de la révolution industrielle 1. L’évolution générale du leadership : Le 16ème siècle : l’Espagne est la puissance dominante. A la fin de ce siècle, cette puissance va décliner. L’arriver d’or est de moins en moins importante. Les espagnols n’ont pas réussi à développer suffisamment leur propre

différentes théories de la valeur et leur répartition, dans le courant classique. Puis nous poursuivrons notre réflexion en nous intéressant aux dynamiques du capitalisme selon les auteurs classiques. I) Valeur et répartition chez les économistes classiques Tous les économistes classiques s’accorde sur le fait que, la valeur d’un bien résulte du coût des facteurs de production nécessaire à la production de ce bien, en majeur partie le travail. A) La valeur chez Adam SMITH et David RICARDO

1758 avec François QUESNAY et son « Tableau économique », on dit de lui qu’il est un physiocrate car on dit que le courant classique né véritablement avec Adam SMITH et son œuvre « La richesse des nations ». Vint ensuite son disciple David RICARDO puis Robert Thomas MALTUS, enfin J .B SAY. Les classiques s’inscrivent dans un contexte historique et économique de la première révolution industrielle, l’exode rural, augmentation de l’industrie de la production, et des richesses. Ils sont

d’échange des biens. Paradoxe de la valeur : le prix d’un bien n’est pas déterminée par sa valeur d’usage( eau est un bien vital et prix faible, au contraire l’art a un prix très élevé) Ce qui détermine le fondement de la valeur, c’est le travail. Théorie de la valeur-travail Bien -valeur d’échange(ou réelle) déterminée par coût de production(temps de travail *immédiat *incorporé(temps de travail nécessaire pour produire les machines)) -prix « normal » ou « naturel »valeur d’échange+ taux de profit

DAVID RICARDO (1772 - 1823) Courant libéral classique La théorie de la valeur travail et des prix La valeur des biens est déterminée par le travail incorporé, soit la quantité de travail direct nécessaire pour produire un bien et la quantité de travail nécessaire pour produire les outils qui entrent dans la fabrication de ce bien. Théorie de la répartition = vision pessimiste de la croissance Il distingue 3 classes sociales qui perçoivent différents revenus. Les salaires perçus

Macroéconomie Introduction : 1800-1850 Adam Smith : « La richesse des nations » Ricardo (1772-1823) : « Les principes de l’économie politique et de l’impôt » David Ricardo était spéculateur a pris sa retraite et est devenu député au parlement: il a découvert l’économie en lisant Adam Smith. Malthus (1766-1834) Premier professeur titulaire d’une share d’économie politique. Jean Baptiste Say 1870 : Théorie néoclassique L’événement macroéconomique de toute l’histoire humaine : Pour la première

CHAPITRE 1 : LES THEORIES DE BASE DE L’ECONOMIE INTERNATIONALE. Ces théories s’opposent aux théories du 16ème siècle. A cette époque apparait le concept d’« Etat Nation » crée par Jean Bodin (économiste français (1530 – 1596)). Il invente la conception de l’Etat moderne c'est-à-dire c’est l’Etat qui fait l’unité d’un royaume et l’unité est l’application de la même loi sur l’ensemble du territoire. Avec ceci va se poser la question de la richesse de l’Etat-Nation. Durant les 16 ème et 17 ème

l’on appelle le courant classique. Il existe entre ces auteurs une communauté de pensée qui, pendant environ un siècle, sera le fondement même de l’enseignement économique. Distinguons parmi ces auteurs les 4 plus marquants : Adam Smith, Malthus, Ricardo et Jean-Baptiste Say. Les auteurs anglais ne feront pas l’erreur de Quesnay. La Grande Bretagne est en avance sur la France : c’est le passage de l’artisanat à la grande manufacture, la naissance de l’industrie, le début du capitalisme. A partir

ont-ils envisagé la répartition des richesses ? Et de saisir, quel est le rôle, apparemment principal, du profit dans ce mode de production ? Nous évoluerons chronologiquement, en effet nous interrogerons la pensée classique, en commençant par Smith, Ricardo, Say et nous finirons par Marx pour connaître la place du profit dans leur vision de la répartition. Enfin, nous développerons ce qu’implique, socialement et économiquement, le fait de favoriser le profit dans la répartition des richesses. Commençons