Thérèse Raquin Hérédité

librairie Hachette le 31 janvier 1866. Le scandale de la publication de certains de ses articles sous le titre Mes Haines et le soutien qu’il apporte à un peintre comme Manet, le font connaître.       Emile Zola commence à publier des romans, dont Thérèse Raquin, qui est sa première réussite. Après la guerre de 1870, à laquelle il ne participe pas puisque sa mère est veuve et que lui même est myope, il devient journaliste parlementaire. En 1871, il écrit le premier volume des «Rougon-Macquart» qui s’intitule

juillet, il s’exile à Londres. Evénements en relation avec l’œuvre : Le personnage de Nana a été notamment inspiré à Zola par Blanche Dantigny. b. Bibliographie 1864 : Les contes a Ninon 1865 : Les confession de Claude 1867 : Thérèse Raquin 1868 : Madeleine Férat 1870 : La fortune des Rougon 1871 : La curée 1874 : La conquête de Plassans 1875 : La Faute de l’abbé Mouret 1876 : Son excellence Eugène Rougon 1877 : L’assommoir 1878 : Une page d’amour 1880 : Nana 1882 :

| Activités | Romancier | Naissance | 2 avril 1840 à Paris  France | Décès | 29 septembre 1902 (62 ans) à Paris  France | Langue d'écriture | Français | Mouvement | Naturalisme | Genres | Roman, essai | Œuvres principales * Thérèse Raquin (Roman, 1867) * Les Rougon-Macquart (fresque romanesque) dont : * L'Assommoir (1876), * Nana (1879), * Germinal (1885) * Le Roman expérimental (Essai, 1880) Compléments * Engagement en faveur d'Alfred Dreyfus avec J'accuse

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse,

intérêt à la peinture. - soucis financiers qui le poussent à écrire publie un roman-feuilleton 1867 : Les Mystères de Marseille ; publication de Thérèse Raquin : crée un écho. - Madeleine Férat : non-succès, mais reflète l’opinion de Zola selon laquelle un romancier doit s’appuyer sur un système ou sur une philosophie -1869 : parle de son projet de réaliser un roman en dix volumes : Histoire d’une

choisit définitivement la carrière littéraire. Sa première œuvre, publiée en 1864, les Contes de Ninon, est un recueil de nouvelles d'un outrant sentimentalisme. L' écrivain s'intéresse également à la politique et publie deux romans réalistes : Thérése Raquin (1867) et Madeleine Férat (1868). Puis, à partir de 1869, Zola commence à rédiger sa fresque : Les Rougon-Macquart, Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. C'est ainsi que qu'elle commence en 1871 avec La fortune

amant. Elle se laisse envahir par une paresse et accumule les dettes sans jamais pouvoir les rembourser. Elle devient victime de l’alcool comme son mari. Gervaise est prise dans un engrenage auquel elle ne peut pas échapper à cause de son hérédité. Elle a eu un père brutal et une mère qui l'a très tôt initiée aux plaisirs de l'anisette. La déchéance de Gervaise se voit aussi à travers ses déménagements, elle part de l’hôtel Boncœur, à la rue Neuve de la Goutte-d'Or où elle voisine

- Faire des brouillons - Montrer la réalité exacte et triste - Montrer que le déterminisme est partout - Etudier rationnellement et sans préjugés sociaux ou moraux la société - Montrer la relation milieu social/ individu et comportement/ hérédité - être " les anatomistes del'âme et de la chair" (Zola) - Etre " des romanciers de la psychologie scientifique" ( zola) • Ce que ne doit pas faire le romancier naturaliste : - Des héros surhumains - Des personnages stylisés, réduits

premier roman autobiographique, 'La Confession de Claude' (1865). Au cours de ces années de formation, en 1866, il fit scandale en défendant avec vigueur Manet dans "Mon salon", un recueil d'articles sur l'art. Son premier roman important, 'Thérèse Raquin' (1867), révèle non seulement son intérêt pour la peinture mais aussi l'influence du réalisme balzacien sur sa technique romanesque et l'impact des idées scientifiques, contemporaines et antérieures, sur son développement intellectuel, ses principes

Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l'écriture de fines satires anti-impériales. Mais c'est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second Empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse