Théâtre Engagé

Histoire du théâtre ANTIQUITE L'étymologie du mot fonde le théâtre sur le " regard " (theatron, du verbe grec theomai, "voir"). Ses origines historiques sont complexes. Le théâtre participe à la cérémonie religieuse. Sur une aire séparée du public, un ou plusieurs officiants miment avec leur corps et leur voix une histoire à laquelle, par convention tacite, la collectivité s'associe. Le Dithyrambe était chanté et dansé par un chœur de citoyens. Ils évoluaient sur une aire de terre battue

spectacle la cité du rêve au théâtre de la ville qui est un spectacle en polonais surtitré en français.Présentation de l’œuvre: “La cité du rêve” est adaptée du roman d’Alfred Kubin par Krystian Lupa. Le texte fantastique raconte le voyage d’un artiste vers l’empire du rêve, Krystian Lupa y ajoute des nouvelles idées. En 1985 l’adaptation du texte marquait une étape décisive dans son travail et synthétisait sept années d’expérimentations autour de ce que Lupa a appelé ”le théâtre de la révélation”. Les

.................................................................................................................................................... 1  I.  Le théâtre, lieu politique............................................................................................................................................. 2  1. Le théâtre selon Sartre ............................................................................................................................................... 2 

Lyon le 23 septembre 2010 Les Subsistances - Lyon (69) : les 23, 24, 25, 27, 28, 30 septembre et les 1er et 2 octobre La Manufacture CDN – Nancy (54) : du 6 au 9 octobre L’Hippodrome SN – Douai (59) : les 4 et 5 novembre Théâtre de Saint Quentin en Picardie (02) : le 10 novembre Théâtre municipal – Caen (14) : les 17, 18 et 19 novembre MAC – Créteil (94) : du 24 au 27 novembre Lieu unique – Nantes (44) : du 30 novembre au 3 décembre Scène nationale 61 – Flers (61) : les 8 et 9 décembre La Foudre SN -

Araminte le provoque par sa fausse bienveillance quand elle dit : « Le Comte croira que vous y avez contribué ; je le lui dirai même » (l.3), ce qui est d’une ironie plaisante. Cette cruauté reste comique car c’est pour une bonne cause et tout le théâtre de Marivaux repose sur ces faux-semblants au service de la vérité qui permettent de « corriger » conformément au but de la comédie. L’infériorité de Dorante va de pair avec la supériorité d’Araminte qui mène le jeu comme l’indique cet aparté : « Voyons

MATIERES BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR…………………………….……………………………………………... 03 PARTIE I :SYNTHESE DE L’OUVRAGE…….……………………………………………………… 05 PARTIE II :REFLEXION PERSONNELLE….………………………………………………………… 9 INTRODUCTION……………………………………………………………………………………......... 9 I-Les théâtres d’opérations du futur……………………………………………………………. 9 11- Les guerres totales ……………………………………………………………………………….. 10 12- Conflits de haute intensité ………………………………………………………………………. 11 13- Conflits de basse intensité……………………………………………………………………….. 12 II- Les

devient presque “humain” uniquement lorsqu'il a but, son addiction à l'alcool rythme toute la pièce. Ivre, il devient prodigue, affable, généreux et proche des travailleurs. Sobre, il est méprisant, calculateur. Pour son plus grand malheur il va engager un valet nommé Matti, qui va profiter de chaque moments d'ivresse de son maître. D'ailleurs pendant ces moments de décadences Puntila va demander en mariage quatre jeunes filles rencontrées un matin ivre mort, vêtu de collants multicolores comme

 Chantre de l’amour, Victor Hugo est un romantique assumé. Il est au XIXème siècle un des poètes les plus engagés dans l’expression des sentiments. Ainsi fait-il scandale en représentant Hernani. Les règles tombent sous la tempête de son lyrisme. Le théâtre ne lui suffit pas : ses poèmes confirment sa fièvre. Dans Les Contemplations, ses regrets, ses douleurs, ses passions, tout fait prétexte à libérer son cœur en enchantant le nôtre. Extrait de ce recueil, « Crépuscule » en est une nouvelle preuve

(l’existentialisme), mais il est désigné comme une fin en soi, qui ne prête plus qu’à « rire » (en référence au « risible » du titre). On est plus dans l’acceptation (avec une réelle « tendresse », parfois) que dans le « désespoir engagé » (même « comique », comme on le trouve parfois dans le théâtre de l’absurde). b) dans un mouvement littéraire On peut remarquer tout le procédé de « démythification » à l’œuvre dans Risibles amours (RA) : c’est le propre de l’esthétique postmoderne que de procéder ainsi à

dire que le théâtre était parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu’il refuserait dans la vie réelle. Ouvrages consultés : Diderot, Paradoxe sur le comédien P. Larthomas, Le langage dramatique PUF M.C. Hubert, Le théâtre Armand Collin