Théâtre émotions

en scène) introduit un pose dans l'action, un moment pathétique où Hermione exprime ses émotions (le monologue est un moment de repos). Mais dans ce monologue, Hermione semble vouloir prendre une décision et se venger. Cette décision vas marquer un tournant et semble donc primordiale. Problématique : Dans quelle mesure ce monologue incarne t-il un moment décisif au niveau dramaturgique (qui appartient au théâtre) et philosophique reflétant les ravages de la passion ? Annonce du plan : Nous verrons

Cours sur Caligula de Camus Pièce en quatre actes et en prose d’Albert Camus (1913-1960), Caligula fut publiée à Paris chez Gallimard en 1944, et créée à Paris au théâtre Hébertot le 26 septembre 1945. Camus avait tracé dès janvier 1937, dans ses Carnets, le plan d’une pièce qu’il envisageait d’intituler Caligula ou le Sens de la mort. L’argument s’inspire de l’Histoire des douze Césars de Suétone, mais aussi des préoccupations personnelles de l’écrivain (aggravation de son état de santé, difficulté

transmettre des infos à de nombreuses personnes = divulguer Colporteur : marchant de porte à porte Commisération : sentiment de pitié qui fait prendre part à la misère d’autrui =compassion, miséricorde Commotion : traumatisme corporel. Violente émotion = bouleversement Commutation : substitution, remplacement Complaisance : disposition à s’accommoder aux goûts, aux sentiments d’autrui pour lui plaire Concéder : accorder qqch à qq1 comme une faveur = céder, octroyer, donner Concentrique : cercles

194 • Consensus clairement choisi, 195 © Dunod. La photocopie non autorisée est un délit 157 L’intuition, une nouvelle force, Place à l’émotion intuitive, 169 • Limites de la logique rationnelle, 170 • Folklorisation de l’intuition, 172 • Émotion profonde, 173 • Vers un meilleur équilibre, 174 • Apprivoiser l’émotionnel, 175 9 Gérer la montée de l’émotionnel Déséquilibres émotionnels Crise de l’estime de soi, 163 • Feed-back régulateur, 164 • Peur contagieuse, 164 • Suradaptation

chose même et tend même à l’atomisation vis-à-vis du représenté jusqu’à venir le modifier en retour. Cf les Essais de Montaigne. Représentation à l’infini de lui-même qui modifie de ce fait le moi représenté à chaque représentation. > Artaud : le théâtre et son double. >> mise en scène des « forces derrières les formes ». Il veut la dissolution de la représentation traditionnelle du monde par une nouvelle représentation théâtrale : celle qui, en retenant du monde des traits nécessaires autres

Au XXème siècle, le théâtre se lance dans un tout nouveau genre appelé théâtre de l’absurde. Il se démarque par son antiréalisme et par sa grande liberté, l’auteur peut en effet utiliser son imaginaire sans se limiter et revendique le rejet des conventions classiques du théâtre comme la règle des trois unités. Samuel Beckett, grand auteur irlandais, fait partie de ce mouvement dramatique à part entière et, tout comme Brecht, il ne cherche pas à donner l'illusion de la vraie vie mais de réveiller

par un être divin ou par le destin car il préfère croire qu’il maitrise son avenir et que dans la société actuelle tout le monde à sa chance, qu’il y a un espoir et que son combat n’est pas inutile. Tragédie veut aussi dire théâtre et Le tout premier plaisir au théâtre est de voir des hommes en action, de se laisser prendre au jeu, de croire à l’illusion, de faire comme si c’était vrai . Le spectateur aime voir se battre sur scène les héros tragiques. Il essaye de résoudre l’énigme avec Œdipe

lecture analytique n°10 Théâtre de l'Absurde; Fin de Partie de Beckett Un monde extérieur inquiétant que Clov observe à la longue-vue, un lieu clos ressemble vaguement à l'intérieur d'une maison, deux personnages, le mari et sa femme, immobilisés chacuns dans une poubelle, leur fils Hamm, aveugle et infirme, qui ne peut se déplacer qu'en fauteuil, et Clov, tout à la fois domestique et fils adoptif, qui lui, ne peut plus s'asseoir. Comme souvent chez Beckett, le théâtre de la dérision met en scène

monsieur ? ABRAHAM. - Une querelle, monsieur ? Non, monsieur ! SAMSON. - Si vous en cherchez une, monsieur, je suis votre homme. Je sers un maître aussi bon que le vôtre. ABRAHAM. - Mais pas meilleur. SAMSON. - Soit, monsieur. Entre, au fond du théâtre, Benvolio ; puis, à distance, derrière lui, Tybalt. GRÉGOIRE, à Samson. - Dis meilleur ! Voici un parent de notre maître. SAMSON, à Abraham. - Si fait, monsieur, meilleur ! ABRAHAM. - Vous en avez menti. SAMSON. - Dégainez, si vous êtes hommes 

critique comparée suivante porte sur la comparaison de deux productions de l’opéra Eugène Onéguine à travers trois extraits. Les productions comparées sont celle du Metropolitain Opera House en 2007 dirigé par Valery Gergiev et celle du Bolshois Theatre (à l’opéra national de Paris) en 2008 dirigé par Alexander Verdernikov. Les trois extraits mis en comparaison dans cette étude sont; la scène de la lettre (1e acte), la scène de bal (2e acte) et la dernière scène de l’opéra. Ses extrais sont