Tibere

prétend être le « princeps senatus », celui inscrit en premier sur la liste des sénateurs et donc parle en premier). En réalité, il s'accapare petit à petit les pouvoirs civils et militaires et ne laissent place qu'à des proches (Agrippa, Mécène, Tibère son beau_fils,...) ---efforts de légitimation (approche critique) : exploitation de la religion (divinisation, célébration de l'ascendance vénusienne des Iulii), l'art assure la propagande, mise en scène du pouvoir et des premiers fondements du

l’histoire : Époque contemporaine Personnages : Paloma : 12 ans, studieuse, suicidaire, collégienne,petite, blonde Renée : 54 ans, autodidacte, laide, concierge, petite, ronde, brune Colombe : Grande, blonde, s’habille comme une clocharde, fiancée avec Tibère Mr Ozu : Nouveau propriétaire del’immeuble Qui parle : Les narrateurs changent d’un passage à un autre, c’est soit Paloma soit Renée qui parle Résumé : Renée, 54 ans, concierge dans un immeuble bourgeois, est une femme très instruite quise cache

transformations des humains et des dieux en animal, en objet ou en végétal) b. Les Fastes ( Commentaires poétiques du calendrier religieux romain, interrompu par l’exil) - Poème en Sarmate en l’honneur d’Auguste et de Tibère durant mon exil. - Poésie suite à son désarroi : a. Les Tristes b. Les Pontiques c. Contre Ibis - Poème didactique : Les Halieutiques(dernier

pontifes et Auguste. Expression d’un consensus autour d’Auguste, qui est représenté côté sud (côté soleil, référence à Apollon, son dieu protecteur). Viennent ensuite les magistrats, puis les membres de la famille par ordre de succession : Caïus César, Tibère, Drusus, Germanicus. Cet ordre de succession a été décidé par Auguste. Agrippa est représenté aussi mais il est mort en 12 av. JC. B. Un complexe familial Le mausolée est destiné à l’ensemble de la famille d’Auguste. Les reliefs au dessus des

manipulable. Néanmoins, son œuvre est orientée car il a fait une thèse, qu’il illustre. -Les Annales est une œuvre bien informée qui a les mêmes sources que les Histoires. Elles sont consacrées à la branche Julio-claudienne c’est-à-dire du règne de Tibère à la mort de Néron (- 68). Suétone se concentre donc plus sur la personnalité de ses personnages, que sur les faits historiques proprement dits. Conclusion Pour conclure notre sujet, on peut dire que l’historiographie romaine est engagée

communs avec le texte-source : a/ contexte : orient, voile l3, Hérodias, le Tétrarque, les hommes présents au banquet l 29 à 31, les promesses d’Antipas l 36 (L’action, empruntée à l’histoire romaine et biblique, se déroule sous le règne de l’empereur Tibère (14 à 37 apr. J.C) en Judée. Cette province romaine est divisée en quatre régions, chacune ayant à sa tête un gouverneur appelé « tétrarque ». Hérode Antipas est tétrarque de Galilée) b/danse : chant lexical de la danse l10, l11, l21… c/séduction

trois affranchis célèbrent trois fetes en l’honneur d’Auguste Le mois qui s’appelait sextilis est rebaptisé Augustus en l’honneur de l’empereur. Certains collèges de prêtres s’appellent les « Augustales » Après sa mort, Auguste est divinisé et Tibère, son successeur, développe le culte d’Auguste, il créé une nouvelle classe de prêtres, les «sodales augustales » pour rendre les honneurs divins à Auguste et à la famille des Jules. * Les représentations dans l’art et la littérature Auguste

probablement commencé pendant la campagne de Vespasien en Galilée (67-68), à laquelle Agrippa II participe à la tête de troupes auxiliaires34. Titus est alors veuf et âgé de 29 ans, tandis que Bérénice en a 4034. Le 1er juillet 69, le préfet d'Égypte Tibère Alexandre — ex beau-frère de Bérénice, qui avait été procurateur de Judée de 46 à 48 — fait jurer fidélité à Vespasien par ses légions. Selon Tacite, Bérénice fait alors de riches cadeaux à Vespasien34. Le vieil empereur aurait lui-même succombé au

individuelle A. Le privilège d’être citoyen |« Comme Auguste jugeait important de maintenir le peuple romain sans mélange et intact de toute intrusion de sang étranger […], il ne | |distribua que chichement le droit de cité romaine […]. A Tibère qui demandait la citoyenneté en faveur d’un Grec de ses clients, il | |écrivit : “Je ne la lui attribuerai que si vous me démontrez de vive voix à quel point votre demande est justifiée” ; de même, il le | |refusa à Livie qui sollicitait

quarante-sept pièces seraient directement empruntées à son prédécesseur Esope. L'auteur latin met d'abord en scène des histoires d'animaux (qui inspireront Jean de la Fontaine), des personnages humains, lui-même, avant de s'en prendre à l'empereur Tibère et à son favori Séjan, ce qui lui valut l'exil . En dépit des qualités formelles de ses fables, Phèdre n'a pas atteint la gloire littéraire à laquelle il espérait. Il n'est même pas reconnu par ses contemporains qui l'ignorent, ce dont il se plaint