Tibere

semble dont Suétone seul mentionne le nom, Domus Transitoria Sur le Palatin on n'en connaissait qu'un beau nymphee (voir article de M de Vos pp 56-57) Les travaux récents en ont révèle d'autres composantes la Domus Tibenana n'est pas la maison de Tibère, maîs une construction néromenne dont le chantier ouvre avant 64 ap J Ç (voir article de Ç Krause pp 8083), sur la Vigne Barbcnni, une domus est embellie Sur l'Esquilm, les jardins de Mecene représentent I archetype des « luxueuses demeures des dieux

tâches, au moins aussi importantes. Ils sont notamment chargés de la lutte contre les ennemis intérieurs - autrement dit, la garde prétorienne est utilisée comme force de répression face aux contestataires et au cours des guerres civiles.  C’est sous Tibère, sous l'impulsion de Séjan( son prefet du prétoire), que la garde prétorienne à été cantonnée dans un seul camp, aux abords de Rome, et c’est dans ce camp que se joue l’achat de l’empire. Ligne 2 « sur le rempart » du camp donc ou encore « dans le

dédié au consul de l’année 30 Vinicius. Cet ouvrage couvre la période qui va de la destruction de Troie à l'année 30. Historien latin, originaire de Campanie, Velleius Paterculus est nommé à vingt ans préfet de la cavalerie par Auguste. Il sert sous Tibère en qualité de questeur et prend part, sous le règne de cet empereur, à toutes les campagnes militaires en Gaule et en Germanie. La guerre sociale tire son nom du latin socii, qui signifie allié : La Guerre sociale, oppose le Sénat de la République

car il représentait une alliance sacrée très ancienne : La religion et les jeux. Il était également sous la protection de Vénus. Pompée put donc agir en toute impunité. Par après détruit par un incendie, il fut reconstruit en majeure partie par Tibère, dont les travaux furent achevés par Caligula, qui lui laissa le nom de « Théâtre de Pompée ». Photo : Maquette d’A. Caron. (Impossibilité de trouver une photo car il ne reste rien du Théâtre.) http://www.roma-quadrata.com/pompee.html. Le stade :

Le Temple de Castor et Pollux fit l’objet de nombreuses restaurations, dont à la fin du IIe siècle av. J.-C. celle de Lucius Caecilius Metellus Delmaticus, qui le décora également de tableaux et de statues, puis sous Auguste en l’an 6 celle de Tibère et de son frère Drusus, qui correspond à l'ultime bâtiment dont on peut voir les vestiges. Ce temple s'élevait sur un soubassement de 50m par 30m, avec sur chaque côté des escaliers étroits recouverts de marbre. Il (était octostyle et périptère,

développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine dans sa pièce Caligula. Celle-ci est caractérisée d’existentialiste par de nombreux critiques. Caligula fut le troisième empereur romain après Auguste et Tibère, membres de sa famille. Nous allons ici, étudier l’adaptation de Caligula par Albert Camus. Pour cela nous essayerions de voir si Camus a été fidèle à la véritable histoire de Caligula. Puis par la suite nous observerons les différentes philosophies

passés dans l'entourage de l'empereur, l'accès aux secrets d'État de l'ancien temps permirent à l'archiviste secrétaire de rassembler les matériaux des Vitae Caesarum, les Vies des douze Césars, qui comprennent les biographies de Jules César, Auguste, Tibère, Caius (Caligula), Claude, Néron, Galba, Othon, Vitellius, Vespasien, Titus et Domitien, c'est-à-dire tous les empereurs qui avaient précédé l'établissement de la dynastie antonine, à laquelle se rattachait Adrien. On ignore ce que fut la vieillesse

l’objet d’un culte impérial que tous les habitants de l’Empire doivent lui rendre pour lui témoigné leur fidélité. Le culte impérial est le ciment de l’empire. Le sénat divinise l’empereur. Le pouvoir impérial devient héréditaire lorsqu’Auguste choisit Tibère comme son successeur. Auguste ne veut pas apparaitre comme un monarque, alors il conserve les institutions civiques de la république tout en les vidant de leur contenu républicain. Ainsi le sénat qui été l’organe législatif suprême de la République

Caracalla en 212 après J.-C. fait de tout homme libre de l’Empire un citoyen romain.  Discours sur l’entrée des Gaulois au sénat romain « C’était vraiment une coutume nouvelle lorsque le Divin Auguste (1), mon grand oncle maternel et mon oncle maternel Tibère(2), voulurent que toute l’élite des colonies et des municipes, d’où qu’ils fussent, c’est-à-dire l’élite des hommes de bien et des hommes riches, entrât dans cette assemblée… Regardez la très remarquable et très puissante colonie des Viennois(3),

|Commentaires du conquérant des Gaules. Elle se borne malheureusement aux six mots suivants : | |Bibracte oppido Æduorum longè maximo ac copiosissimo[ii][2]. | |La seconde est ce texte de Strabon, qui écrivait sous Tibère, successeur immédiat d’Auguste : | |Or, entre le Doubs et la Saône, habite la nation des Edues, qui possède une ville de commerce, | |Chalon-sur-Saône, et une place forte, Bibracte[iii][3]. | |Après Strabon