Tibre

Longue et dépossédé du trône par son frère Amulius. Celui-ci, craignant que ses petits-neveux ne réclament leur dû en grandissant, prend prétexte qu'ils sont les fils d'une vestale, qui avait fait vœu de chasteté, et ordonne qu'on les jette dans le Tibre. Ce choix arrange également Rhéa Silvia. En effet, les vestales avait pour ordre de rester chastes durant trente ans (de leurs début en temps que vestales à 30ans après.). Si ces accords n'étaient pas accomplit, les vestales étaient soit emmurées ou

de Louise Labé et rendent compte d'une certaine évolution des sentiments de Louise Labé. Du Bellay, quant à lui, utilise le paradoxe pour rendre compte d'un changement d'idées. « A fait un beau voyage » au vers 1 et « Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin » au vers 12 contribuent à ce paradoxe. En effet, Du Bellay met en parallèle le plaisir du voyage et le plaisir du retour.Dans son deuxième quatrain, Louise Labé développe un chiasme syntaxique entre « je ris et larmoie » au vers 5 et « je sèche

plus grande échelle, avec des colonies ….) Le déclin de l'Empire I) La fondation de Rome Fondation de Rome Selon la légende,Rome fut fondée par Romulus(et par son frère Rémus en quelque sorte). Ils avaient projeté de fonder Rome près du Tibre à l'endroit où, bébés, ils avaient été abandonnés puis recueillis par la louve. Les deux frères ne furent pas d'accord sur le site exact où ils devaient bâtir Rome. Une dispute éclata entre eux ; ils combattirent et Rémus fut tué. Romulus fonda alors

face aux Troyens et les aventures d’Ulysse. -VIIIe siècle av. JC : La fondation de Rome Avant de dominer le bassin méditerranéen et une partie de l’Europe, Rome n’était à l’origine qu’une petite ville d’Italie, près du Tibre. Une légende raconte que les fondateurs de Rome, Romulus et son frère jumeau Remus, ont été sauvés, après leur naissance, par une louve qui les a allaités. - VIIIe siècle av. JC : Début de l’écriture de la Bible C’est le

Fulvie et se sent pendant un instant perturbée. Mais sa haine contre l'empereur est plus forte. Acte IV Scène 1 : Euphorbe, l'affranchi de Maxime, informe l'empereur du complot qui se trame contre lui. Mais Maxime rongé de remords se jette dans le Tibre (Fleuve). Mais Emilie est épargné par l'information. Scène 2 : Auguste est désemparé par la nouvelle. Il ressent une immense solitude. Il dresse le bilan de sa vie. Auguste hésite sur ce qu'il doit faire : laisser faire ou punir les conjurés ?

l’empereur en décider autrement. III. Les Naumachies Les naumachies sont des combats entre plusieurs bateaux Pour cela l’arène est inondée. Peu d‘amphithéâtres peuvent pratiquer ce genre de jeux. Le Colisée à Rome le permettait  grâce a l’eau du Tibre importée par des canalisations.  Les combattants qui figuraient dans les naumachies étaient des prisonniers de guerre ou des criminels condamnés à mort. Les navires formaient deux escadres, et l'on désignait chacune d'elles par le nom de quelque nation

la fille de Numitor, roi de la légendaire ville latine d’Alba Longa (fondée par Ascagne, fils d’Enée) et dépossédé du trône par son frère Amulius. Celui-ci, craignant que ses petits-neveux ne réclament leur dû en grandissant, les fait jeter dans le Tibre en crue. Mais l’ordre est mal exécuté, les nouveaux-nés sont abandonnés dans une fondrière du fleuve et survivent miraculeusement. Ils sont nourris par une louve et par un pivert, l’oiseau de Mars (Ovide, Fasti III), puis découverts par le berger

E R U G I A --- Fontana Maggiore Introduction Pérouse, la capitale de l'Ombrie, est situé au SE de Florence et de Rome N à environ une distance de 60 miles et 70 respectivement. La ville est située sur une colline surplombant la vallée du Tibre. Pérouse a été fondée par les Ombriens, puis habitée par les Etrusques jusqu'à ce qu'elle passe sous le contrôle de Rome en c. 310 avant Jésus-Christ Puis, dans le 6ème siècle après JC, il est devenu un duché lombard. Au 12ème siècle, il a gagné le

simplicité à la richesse et à la grandeur. De même, au vers 11 Du Bellay dit qu’il préfère l’ardoise fine qui est un matériau fin et fragile plutôt que le marbre qui est un matériau lourd, froid et dur. Après il compare la Loire, fleuve de France au Tibre qui est un fleuve de Rome. Encore une fois Du Bellay souligne sa préférence pour la France en opposant un simple fleuve romain au plus important fleuve de France à cette époque. Puis il fait l’opposition entre gaulois et latin (v.12) en valorisant

de l’Antiquité mais de la Rome du XVIe siècle. b) La comparaison entre Rome et Liré La Rome du XVIe siècle n’est jamais citée dans le texte. Est- elle indigne d’être citée ? ⇨ Rome apparait à travers ses parties, par des synecdoques : « Tibre latin », « Mont Palatin ». Ici, Rome est comparé à Liré en opposition constante. ⇨ L’antithèse (modestie/ orgueil) 1. Pour Liré, il y a un lexique qui connote la modestie « petit village », « petit Liré », « pauvre maison ».