Tiers état 1789

exigent d’eux des soldats, lèvent des impôts, imposent la justice du prince… Toutefois, au début du règne de François Ier, le duc Charles de Bourbon (descendant de Saint Louis) était maître d’un territoire grand comme 12 départements. C’est un véritable Etat dans l’Etat, avec une capitale, une administration, une politique propre … L’unité du royaume est donc entravée par les enclaves féodales et les territoires soumis à des puissances étrangères (Calais appartient à Angleterre, Avignon au Pape). Les suzerainetés

médiévale, les caractères qu'elle va acquérir à cette époque vont perdurer jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. La condition des terres, le statut des personnes sont définis dans des termes juridiques précis que l'on gardera jusqu'à la nuit du 4 août 1789.A- Une société chrétienneL'influence de l'église est considérable, elle se manifeste dans le domaine politique. Les clercs (les ecclésiastiques) ont apporté leur soutien aux différents rois en leur fournissant des doctrines pour soutenir leur action

Quelle est la place que la société du XVIIIème siècle apporte sur la Femme ?     A l’époque il y avait deux modèles, la dignité de la fonction et la richesse. La société était divisée en trois classes apparentes : La noblesse, le clergé, et le tiers-état         Au niveau de la noblesse, les femmes étaient considérées comme « précieuse », ce qui veut dire qu’elles s'élevaient au-dessus du vulgaire par la dignité des mœurs, l'élégance de la tenue, la pureté du langage. De plus en France, et contrairement

impôts et du bon fonctionnement de l'assemblée l.19-20 Assemblées siégées par les 3 ordres :Nombre de sujet composant les Assemblées Provinciales est proportionnel à l'effectif de la Province. l.21-22 Noblesse, Clergé et Tiers Etats. Doublement de la voix du Tiers Etat pour plus d'équitabilité l.23-25 Nombre de sujet composant les Al.20-21ssemblées Provinciales est proportionnel à l'effectif de la Province Compétence de l'Assemblée provinciale : gère la répartition des impôts pour qu'elle

conservée au musée Carnavalet, à Paris. A la fin du XVIIIe, le régime politique en France est celui de la société d’ordre (clergé, noblesse, tiers état). Il y a beaucoup de pauvreté et d’injustice sociale à cette époque-là. La scène représente une caricature de la société. Les personnages représentent les trois ordres. Au centre, un paysan avec sa bêche (le tiers état) est écrasé sous une roche (les taxes « taille,impôts,corvée ») où se tiennent un membre du clergé en soutane avec son missel et un noble

honestiores (patriciens) et d’autre part les humiliores (plébéiens), tous ne profitant pas des mêmes droits, et les esclaves, n’ayant aucun statut juridique. Au Moyen-Âge, c’est une société d’ordres qui s’est formée : la noblesse, le clergé et le tiers-état, caractérisée par la place de l’individu au sein du groupe et donc moins par les droits juridiques. Puis au XIXe siècle, cette société d’ordres laisse place au capitalisme, fruit de la révolution industrielle. On distingue donc, grossièrement, l’élite

mouvement se nomme « the enlightenment » : l’illumination). De manière très générale, sur le plan scientifique et philosophique, les Lumières voient le triomphe de la raison sur la foi et la croyance ; sur le plan politique et économique, le triomphe du tiers-état, majoritairement représenté par la bourgeoisie, sur la noblesse et le clergé.

donc la France ne pouvait être unie. Lorsque ces différents ordres on disparus les gens (malgrés des différences de richesse, de croyances, de metiers, ...) se sont sentis plus unis. En plus, le Tiers Etat payait des impôts directs au Clergé et à la Noblesse, ce qui leur faisait probablement penser (au Tier Etat) que les autres ordres leur étaient supérieur. Sans hiérarchie du peuple la Nation est unie. C'est en partie ce qui a créé une unification de la France pour moi. II- Des nouveautés dans

différencie des autres citoyens. Le tiers état est composé des bourgeois souvent fortunés, actifs, influents, ambitieux. Plus bas dans l'échelle, les boutiquiers, artisans ou ouvriers, parfois aisés, parfois misérables et enfin, les paysans dont les conditions de vie et d’existence variaient selon ce qu’ils leur appartenaient c’est à dire : propriétaires fonciers, fermiers, métayers etc. Les revendications que mène le tiers état opposent à celui-ci la noblesse, car le tiers état veut une nouvelle réforme alors

(argent, mets gastronomiques, immobilier), elles rejettent les personne « pauvres » du Tiers-Etat, elles dépensent abondamment l’argent de l’Etat et le produit des impôts de milliers de misérables sujets. La noblesse qui sait danser, manier un cheval et une épée se croit tout permis et en dehors des lois de l’Etat. Le clergé qui a fait vœu de pauvreté, regorge de richesses et ferme sa porte aux pauvres du Tiers-Etat. 3) Parent dénonce les abus fiscaux dont sont victimes les habitants des campagnes