Tim Burton

AVENTURE  Tim Burton Batman 1989 Michael Curtiz Casablanca 1942  Steven Spielberg Les aventuriers de l'Arche perdue 1980  Akira KUROSAWA Les sept Samourais 1954  Ridley SCOTT Thelma et Louise 1990  BIOGRAPHIE Ron HOWARD Un homme d'excpetion 2001 Comédie  Woody Allen Bananas 1971  Woody ALLEN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander 1972 Woody ALLEN Manhattan 1979  Woody ALLEN La rose pourpre du Caire 1984  Woody Allen Coups de

L’allégorie de la mort, de la brièveté, surmontée de cet effet de stabilité et d’inertie me donnerait presque envie de qualifier cette œuvre de glauque, voir morbide, un style dont je suis très friand. J’apprécie grandement les films et univers de Tim Burton, qui ont souvent (pour ne pas dire tout le temps) un coté glauque, fantastique, mais surtout étrange, et qui bizarrement, me font penser à ce tableau. L’opposition des couleurs sombres du décor à celles des autres tableaux, l’impression de relief

à partir de tissus/boutons/éléments hétéroclites et leur a donné vie grâce a de l’électricité (Elisa) Un nom Allemand (Benjamin), « avec sa langue bizarre » Un monsieur difforme (Amandine) Un scientifique fou (Dinah-Lee) Frankenweenie , film de Tim Burton (Margaux-Benjamin) 2/ À quel univers l’associez-vous ? Au fantastique (être qui n’existe pas réellement) ; Halloween (monstres) ; la nuit ; les ténèbres. 3/ D’où vient le personnage de Frankenstein ? Bref historique : Frankenstein ou le Prométhée

possibles de l’image en mouvement sont célébrées à l’Australian Centre for the Moving Image : cinéma,télévision, jeux vidéo et culture numérique. Des expositions australiennes et internationales sont proposées toute l’année (une sur l’univers de Tim Burton par exemple), avec une attention particulière pour les artistes innovants qui bousculent ce domaine. Au cœur de l’ACMI, une exposition permanente gratuite « Screen Worlds: The Story of the Film, Television and Digital Culture » (« Les Mondes

particuliers et qui va essayer de s’épanouir là-bas. En tout cas la postface de Neil Gaiman, m’a vraiment donné envie de lire ce livre classique. On sent vraiment l’amour et le respect qu’il a pour cette œuvre. La comparaison entre Neil Gaiman et Tim Burton n’aura jamais été aussi vraie. Ils ont un univers très personnel mais qui se ressemble sur de nombreux points. Dans L’étrange vie de Nobody Owens, il y a cette atmosphère gothique, poétique, décalée, légèrement effrayante mais ô combien fascinante

la subjectivité de cet art, celle de l'émotion picturale. Il touche tous les arts : la peinture, l'architecture, la littérature, le théâtre, le cinéma et la musique. ''Nosfératu le vampire'', l'œuvre de Friedrich W. Murnau inspire les films de Tim Burton, notament ''Edward aux mains d'argent'' Les Représentants de l'expressionisme Allemand sont : Peinture : E.L Kirchner, E.Munch, O.Dix, F.Marc, E.Schiele,O.Kokoschka... Cinéma (muet) : Le film ''Le cabinet du docteur Caligari'' de Robert Wiene

sur la pièce, de la voir sous un nouveau jour, plus clair à percevoir. De plus, la mise en scène était bien pensée, avec ces radiographies et cette ambiance sombre voire obscure, ces déguisements et maquillages qui rappelaient assez le style de Tim Burton, afin de nous plonger au cœur du thème de la mort, autre sujet capital de la pièce, le tout étant accompagné de musiciens jouant du Jazz et blues. Mais Michel Dezoteux a préféré forcer sur le coté de l'originalité au niveau des textes

sont pour lui des sources d’inspiration « Requiem for a dream » de Darren Aronofsk : 3 personnages en quête d’un bonheur artificiel / d’après certain, la société actuelle ne nous permettrait plus de rêver d’où la prise de drogue. Le rêve et Tim BURTON « Vincent », premier court métrage > Vincent représente le propre réalisateur Les thèmes favoris : le fantastique, l’horreur, l’étrange, le conte de fées qui tourne au cauchemar

expérimental influencé par la psychanalyse : la vérité est dans l’inconscient qui fonctionne sur le mode du rêve et des association d’idées. Le cinéma est un formidable outil, dès lors. Les surréalistes Les expressionnistes allemands (héritier : Tim Burton) MURNAU FRITZ LANG : “M le Maudit” Robert WIENE : “le Cabinet du Dr Caligari” Perspectives faussées Formes exacerbées Univers dissonant, grinçant, hallucinatoire révélant les troubles mentaux du héros Éclairage très contrasté, entre zones d’ombres

tairais le nom car je n'ai fait que le croiser. l’histoire qui nous est contée dans ce roman. Si j’avais fait mon billet à la fin du chapitre 7 (p. 88), je vous aurais dit que ce livre était "un petit bijou de tendresse", "une œuvre originale à la Tim Burton", "un Magasin des Suicides d’un autre genre", tant j’ai vu se construire devant mes yeux ébahis et séduits ce merveilleux univers. Mais... Malheureusement, dès le 8ème chapitre, le mécanisme se grippe un peu (désolée pour la métaphore douteuse)