Timidité

différents types et de différentes tailles. Je peux parler devant 1000 personnes comme si je parle à un auditoire de deux personnes. D'ailleurs, une des premières choses que je vais vous apprendre dans ce livre est de faire la part entre le trac et la timidité. Je vais vous aider aussi à comprendre d'où vient votre trac et je vais vous donner des techniques 19 Faysal Hafidi Comment Vaincre le Trac ? puissantes pour qu'il ne vous sape plus vos présentations. Ce sont des techniques qui marchent

rencontre et la description de Mme de Warens n’est qu’un prétexte à un autoportrait 2) Autoportrait moral - Autoportrait moral mélioratif « Ainsi j’avais la timidité de mon âge celle d’un naturel très aimant, très troublé par la crainte de déplaire. » à Rousseau était mal à l’aise en société et timide, pour lui la timidité est une grande qualité (mythe du bon sauvage). Opposition avec Voltaire - « J’arrive enfin ; je vois Madame de Warens » puis rupture avec le « je » narrant « Cette époque

plonge dans une somnolence permanente. Puis il est d’une grande timidité, ce qui nuit beaucoup à sa capacité d’aise en société. Puis il est pauvre, où dans ce chapitre l’argent a une telle importance que l’on peut être exclu si l’on n’en possède pas (ou pas assez), comme le confirme les négations suivantes : « il n’occupe point de lieu ». C’est en conclusion, l’argent qui fait exister les individus. Enfin il est d’une grande timidité, ce qui nuit beaucoup à sa capacité d’expression et d’aisance en

3/L'ambiguïté ;de ;la ;figure ;masculine Elle tient au mélange de la séduction et de la timidité. Il appartient à la longue lignée des Don Juan par son âge, qui lui fait aborder une jeune fille adolescente, par sa richesse attestée, par des signes extérieurs typiques de l'époque : « L'homme élégant est descendu de la limousine, il fume une cigarette anglaise ». En réalité, le trait dominant est la timidité, le malaise même. Un réseau de vocabulaire autour de la peur le montre, comme : « C'est

noire de maître d’école, pan- talons et souliers noirs, faux col blanc, cravate noire. Excessivement poli, très timide 21 , voix assourdie 22 par la timidité, très correct, très professeur. Il se frotte 23 tout le temps les mains; de temps à autre, une lueur 24 lubrique 25 dans les yeux, vite réprimée 26 . Au cours du drame, sa timidité disparaîtra progressivement, insensiblement; les lueurs lubriques de ses yeux finiront par devenir une flamme dévorante 27 , ininterrompue; le Pro-

début de la pièce, c'est un homme poli, très timide, il a une voix assourdie, il est très correct. Il se frotte tout le temps les mains ( tic du professeur) c'est une personnage innofensif. Tout au long du drame, l'attitude du professeur change, sa timidité disparait petit à petit, insensiblement, son apparence innofensive disparait et laisse place à un professeur de plus en plus sûr de lui, il est nerveux, agressif, et dominateur. Sa voix, qui était maigre, et fluette, devient de plus en plus forte

pas entendre évidemment ici la timidité ordinaire, l'appréhension qui apparaît quand on doit faire face pour la première fois à un problème nouveau. Bafouiller en public quand on n'en a pas l'habitude, être médusé lors d'un examen, perdre ses capacités dans la conduite d'un engin en présence d'un tiers sont des comportements fréquents. Cette appréhension sociale de la première fois cesse avec la répétition. Mais quand l'anxiété ou la paralysie se prolongent, la timidité fait perdre une partie de leurs

Nous savons que les apprenants sont souvent incapables de communiquer ou de s’exprimer correctement. Ceci est dû à plusieurs raisons. Certains d’entre eux rencontrent un blocage lorsqu’on leur pose une question, d’autre sont confrontés à la timidité, la frustration et une peur de se faire ridiculiser en donnant une mauvaise réponse. C’est ce qui nous a poussé à poser les questions suivantes : Pourquoi les étudiants ont peur de prendre la parole ou de s’exprimer librement ? Pourquoi en fin

« retenue » ou plus encore « timidité ». La pudeur repose ici donc, moins sur une éducation sociale que sur un vécu personnel. En dehors de règles quasi universelles qui ont cours dans toutes les sociétés (dissimulation des fonctions intimes, etc.), chaque individu a effectué un parcours différent qui le rend plus ou moins pudique sous certains aspects. Chez l’un se développent alors des « sujets tabous », chez l’autre une crainte de montrer une certaine partie du corps. La timidité prend des formes variées

les milieux rencontrés composent la courbe de son destin – l’affrontement lucide avec l’existence. Fils d’un charpentier, Julien Sorel est hanté par sa pauvreté, „par le sentiment continu de son infériorité”. Il est tiraillé entre l’orgueil et la timidité et n’a que de la méfiance à l’égard „du destin et des hommes” et un sentiment constant de haine contre les riches. Julien a joui d’une bonne instruction et il a vécu surtout dans le culte de Napoléon – véritable auto-éducation et expression d’une