Tir de fusillade

un trou, j’ai bien du mal à m’y blottir. Le combat est terminé, tous mes camarades ont battu en retraite, et nous les blessés, nous restons abandonnés, sans soins, mourant de soif. Quelle affreuse nuit ! Rien que la fusillade, car à chaque bruit que fait un blessé, la fusillade reprend, au beau milieu de la nuit, la mitrailleuse balaye le terrain, les balles me passent par-dessus la tête,, mais elles ne peuvent plus m’atteindre dans mon trou, la soif me torture de plus en plus, j’arrache des poignées

affirment que la violence des médias est au moins en partie responsable des fusillades de Littleton, au Colorado, Taber, en Alberta et Erfurt, en Allemagne. L'ancien psychologue militaire Dave Grossman, un activiste américain, en attribue directement la faute au cinéma et aux jeux vidéo. Selon lui, les films hollywoodiens ont désensibilisé les jeunes aux conséquences de la violence et les jeux vidéo les ont entraînés au tir. D'autres, comme le psychiatre Serge Tisseron, soutiennent que « ce n'est pas

"L’artillerie ennemie a tiré toute la nuit sur le sous-secteur. A 2h30, les allemands ont attaqué sur tout le front du sous-secteur. Le tir de barrage, demandé aussitôt a été déclenché immédiatement. Vers 3 heures, la fusillade a beaucoup diminué d’intensité ; par contre, la canonnade a continué jusqu’à 3h20, heure à laquelle tout est rentré dans un calme relatif. La fusillade a été vive surtout dans le village de Neuville-Saint-Vaast. Le front du sous-secteur est resté intact. Pendant la journée, l’artillerie

mur d'escarpe présente un fruit important jusqu'au cordon à la base du mur de parapet vertical couronné par une tablette réglant la pente du talus engazonné. Les flancs des bastions sont percés de deux embrasures, et parfois pourvus de casemates de tir comme ceux du Dauphin et de Saint-Louis. Des échauguettes6 de plan polygonal, sont construites aux angles d'épaule comme aux saillants de tous les bastions. Couronnées d'une fleurs de lys, elles affirment l'appartenance de la citadelle et de Belle-île

l'enfouissement vivant l'éventration Le feu, soit sur un bûcher, soit sur un grill, soit enfermé dans un four la flagellation, pouvait être mortelle à partir du 40e coup, lorsqu'elle était appliquée à l'aide du knout en Russie tsariste l'écorchement la fusillade par un peloton d'exécution, destinée souvent aux militaires (sédition, désertion, rébellion...) Le gazage l'huile bouillante (faux-monnayeur) la noyade, utilisée pour des exécutions de masse comme pendant la Révolution française (voir : Noyades

Barbusse, nous assistons à un dialogue concernant « les gaz asphyxiants » à la page 156. A la page 157, les soldats évoquent « la fusée du shrapnell » qui tombe « verticalement » vers eux. A la page 160, les soldats se déplacent et entendent « une fusillade intensive, furieuse, inouïe », ils peuvent apercevoir des « formes allongées, inertes, les unes à côté des autres ». Barbusse reçoit, « le souffle d’une explosion » qui lui a tellement « brûlé les mains » qu’il a dû lâcher son « fusil ». Les « souffles

rendue chez la dealeuse, celle-ci se suicide. Stojilkovitch, s’occupant des mamies du quartier et ayant pitié d’elle, l’emmène faire un tour dans son bus. Et il lui fait découvrir la RESISTANCE ACTIVE A L’ETERNITE, où il entraine les veuves au tir à la carabine. Hadouch disait donc vrai. Après l’appel de sa patronne, Benjamin se rend comme bouc émissaire chez l’architecte dont la maquette du bouquin a brulé. Dans la salle d’attente, il entend les aveux de son client expliquant son procédé : celui-ci

Pénalité 9Règlement 20 : Pénalité mineure 8Règlement 21 : Pénalité mineure de banc 10Règlement 22 : Pénalité majeure 10Règlement 23 : Pénalité d’inconduite 10Règlement 24 : Pénalité d’extrême inconduite 11Règlement 25 : Pénalité de match 11Règlement 26 : Tir de pénalité 11Règlement 27 : But accordé 12Règlement 28 : Botter la balle ou but avec une partie du corps 12Règlement 29 : Pénalité pour le gardien de but 12Règlement 30 : Pénalité à retardement 13SECTION 6 : RÈGLEMENT DE JEU 14Règlement 31 : Fermer

plaisanterie. Puis, après la deuxième balle, il entonne un chant dont le premier couplet et les suivants se moquent ouvertement des gardes nationaux. Chaque couplet alterne avec un tir dans ce jeu avec la mort. Le narrateur commente la scène à travers la formule « Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. » Cette phrase illustre la réponse fraîche et insouciante de l’enfant à l’usage de la force mortifère (= qui apporte la mort) et met en valeur la disproportion des forces en présence

… Quand l'attaque commença, nous nous portâmes vers nos premières lignes sans incident fâcheux; nous nous arrêtâmes dans une tranchée à environ 150 mètres du canal de l'Yser, et là, pendant une petite heure, nous supportâmes un tir de barrage assez peu précis. Ce tir de barrage cherchait à nous interdire le passage du canal, mais il était trop maigre. Nos 155 faisaient là-bas un barrage roulant d’une violence inouïe, derrière lequel s’avançaient les attaquants, et l’artillerie boche était aveuglée…