Tirade Argumentative Sur Une Révolte

presseur ! », scène 5). Un second temps commence alors et à nouveau les scènes se succèdent en suivant les différents moments de la journée (« avant midi », scène 6 ; « après-midi », scène 7 ; « soir d’été », scène 9). Ce temps est inauguré par la grande tirade de Léon sur les temps qui changent (« Fini !… La guerre est terminée depuis longtemps », scène 6). La scène 10, quant à elle, est à part : c’est la scène de l’avenir, où Simone laisse sa place à ses enfants. • Destins croisés Dans sa pièce, Jean-Claude

la faiblesse, il dit d’ailleurs : « La frivolité est dure comme de l’acier. », ou encore : « je souffre des hommes qui m’indignent ». La ressemblance est assez frappante chez tous ces personnages : Alvaro et Cisnéros sont révoltés par la bassesse des hommes, le premier se révolte contre le matérialisme et la corruption de la société de son temps, lui n’a soif que « d’un immense retirement ». Comme Ferrante, Carrion a une forte personnalité, ils détestent tous les deux la médiocrité, la mollesse et

certain nombre de valeurs nouvelles plus conformes à l’épanouissement de l’homme et à son désir de liberté. Les textes s’efforcent d’illustrer le choix des philosophes des Lumières de s’exprimer à travers des genres très variés et dans une forme argumentative qui peut aller de l’explicite à l’implicite. Zadig en œuvre intégrale permettra aux élèves d’entrer dans l’œuvre de Voltaire par le conte et de voir que celui-ci porte les idées des Lumières en proposant une réflexion sur le bien et le mal, sur

moderne ? • Les mythes appartiennent-ils seulement au passé ? • Comment la lecture d’œuvres littéraires permet-elle de s’interroger sur le rapport de l’homme au monde ? Champ littéraire • Période : xxe siècle • L’expression du doute ou de la révolte face au monde moderne • L’influence de nouvelles sciences humaines (psychanalyse, ethnographie, sociologie) sur les arts • Mythes et figures mythiques Champ linguistique • Lexique : nature/culture/société • Lexique des arts et de la pensée

principales questions qui tourmente toute la génération romantique. Comment donner un sens à cette succession d’évènements ? La mélancolie devient le trait distinctif de cette nouvelle vision du monde et y associe une aspiration à l’idéal. La grande tirade d’Hernani adressée à dona Sol (acte III, scène4) « je suis la force qui va », symbolise l’énergie du héros romantique, son rapport à l’Histoire et son sentiment de frustration face à l’avenir. De la même façon qu’il s’appuie sur une vision du

« honnête » x2 Hamlet parle comme un serment « adjurer » « droit », tournure anaphorique « par » « Monseigneur, on nous a fait venir » = aveu qui contredit «  Nous y sommes pour vous voir sans autre motif » Conclusion : La conversation est une stratégie argumentative, un art rhétorique pour faire avouer les deux amis. Il y a un contexte de mensonge, Hamlet de méfie de ses deux amis, il veut obtenir une vérité. Monde de mensonges/ d’illusions. Hamlet est un héro tragique qui se sent trahie, qui a un mauvais

connaît un franc succès. Un thème fréquent est celui de la découverte par un être jeune et plein d'élan de la difficulté à s'accomplir pleinement dans un monde répressif et des accommodements et tricheries dont il faut payer son insertion sociale. La révolte se résout en rêverie, en libertinage, ou se fait marginalisation sociale. La lettre est une forme dominante de l’écriture au XVIIIe siècle, non seulement du fait de la multiplication des correspondances, mais encore parce que la lettre triomphe

voyez maintenant quel oubli ! Il fut pur, et s'en lave ; il fut sain, et l'ignore ; Il ne s'aperçoit pas même qu'il déshonore Par l'œuvre d'aujourd'hui son ouvrage d'hier ; Il devient lâche et vil, lui qu'on a vu si fier ; Et, sans que rien en lui se révolte et proteste, Barbouille une taverne immonde avec le reste De la chaux dont il vient de blanchir un tombeau. Son piédestal souillé se change en escabeau ; L'honneur lui semble lourd, rouillé, gothique ; il raille Cette armure sévère, et dit : Vieille

d’autrui. Dans cette perspective, l’année de 3e : • met l’accent sur la lecture de textes autobiographiques et de poèmes lyriques ; • ouvre davantage à la lecture d’œuvres étrangères ; • accorde une place accrue à la lecture de textes à visée argumentative. Dans le prolongement des années précédentes, les lectures portent sur des œuvres des XIXe et XXe siècles, sans exclure d’autres périodes. Elles doivent être nombreuses et diversifiées, incluant la littérature pour la jeunesse, les textes documentaires

voyez maintenant quel oubli ! Il fut pur, et s'en lave ; il fut sain, et l'ignore ; Il ne s'aperçoit pas même qu'il déshonore Par l'œuvre d'aujourd'hui son ouvrage d'hier ; Il devient lâche et vil, lui qu'on a vu si fier ; Et, sans que rien en lui se révolte et proteste, Barbouille une taverne immonde avec le reste De la chaux dont il vient de blanchir un tombeau. Son piédestal souillé se change en escabeau ; L'honneur lui semble lourd, rouillé, gothique ; il raille Cette armure sévère, et dit : Vieille