Tirade De Créon

=le passage véhicule constamment une opposition de 2 visions de l'existence, ►l'une fondée sur le respect de la loi des hommes <<mon édit>>, <<mon ordonnace>> <<la loi>> et <<sentiment commun>> chez Créon ►et l'autre fondée sur celui de la loi des dieux <<Zeus>><<la Justice qui siège auprès des dieux>> <<intangibles>>

l’image. Analyse de la mise en scène de Nicolas Briançon au théâtre Marigny en 2003. Objectif : comparer le texte et sa mise en scène ; définir la mise en scène. Séance 4. Correction du contrôle effectué en séance 2. Distribution du choix de tirades : l’une d’entre elles doit être apprise par les élèves. Séance 5. Présentation de l’œuvre, de son auteur et de son époque. Séance 6. Dominante orthographe. L’accord du verbe. Objectif : Ne plus se tromper en accordant le sujet et le verbe

1944, à Paris, un an après Les Mouches de Sartre. Anouilh reprend le cadre général de la pièce de Sophocle, l'histoire de la jeune Antigone qui refuse la loi de Créon, son oncle, et offre à Polynice, son frère, une sépulture. Antigone connait son sort ; elle doit mourir pour son geste. L'extrait étudié prend part à la confrontation entre Créon et Antigone, avant l'exécution de cette dernière. On peut se demander en quoi cette confrontation de la dernière chance, dévoile les prémices d'une nouvelle forme

Le Créon d’Anouilh n’hésite pas à utiliser la violence pour essayer de remettre les gens son chemin et sa vision de la vie. On peut le voir dans la tirade qu’il y a eu lieu entre Antigone et Créon.’ Antigone : lâchez-moi. Vous me faites ma au bras avec votre main. Créon. Moi, je suis le plus fort comme cela, j’en profite aussi. Cela démontre la tyrannie que Créon d’Anouilh utilise par le bien de la violence pour faire comprendre au monde que c’est lui dit dirige et c’est à sa manier. P75 sachant

// "moi je ne veux pas comprendre un peu". Ismène se valorise, elle dit qu'elle a toujours raison : "réfléchir", "raison", "pondérée". C'est elle qui mène le dialogue dans un premier temps : "Écoute". Ses arguments sont réalistes : elle dit que Créon n'a pas totalement tort : "Il est le roi, il faut qu'il donne l'exemple", son attitude s'explique par sa fonction de roi. Ismène est partagée : elle a une attitude réaliste presque adulte et elle essaie de comprendre les uns et les autres. Il n'y a

Il y a un affrontement : Créon/Antigone = scène classique au 20ème siècle, qui s'inscrit dans la longue tradition des luttes théâtrales. -> il y a 2 didascalies intéressantes ( page 64 et 99 ) qui soulignent la solitude des deux personnages. La tirade de Créon survient au deux tiers de cette scène et vient briser cette solitude. => Ce texte est un plaidoyé, une justification, un moment d'éloquence persuasive où Créon tente de faire entendre raison à Antigone. Pb: Quels armes utilise-t-il ?

nous étions alors en train de vivre ».[ Inspirée du mythe antique en rupture avec la tradition de la tragédie grecque, le personnage d’Antigone (interprété par Monelle Valentin) devient l'allégorie de la Résistance s'opposant aux lois édictées par Créon / Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert

dramaturgie du conflit entre Créon qui représente le respect contre Antigone, une jeune adolescente. -Créon est en situation de demandeur bien que hiérarchiquement supérieur, car il veut qu’Antigone renonce à sa révolte, renonce à enterrer son frère. -Les pronoms de la 2ème personne par lesquels Créon désigne Antigone afin d’attirer l’attention, il utilise également l’impératif L45 et L39 « ai pitié de moi » -> fonction conative qui montre la position supérieur de Créon. -Ce qui montre aussi cette

Antigone , l’une de ces tragédies les plus célèbres, dans laquelle Antigone, une jeune fille, s’oppose à son oncle et roi Créon, en enterrant son frère malgré les règles établies par ce dernier. Elle lui avouera son crime sans honte, car elle a suivi les lois divines, et finira enterrée vivante. Dans l’extrait présenté, Antigone et Créon se font face dans une joute verbale, chacun tentant de prendre le dessus sur l’autre. Nous nous demanderons comment la parole

:  «  il  faut  »   et  «  il  faut  bien  que  »  de  Philinte  à  impératif qu’on nous impose {L. 4, 32} . La relation humaine est pour lui basée sur la réciprocité {L. 5, 6} . On retrouve donc ici l’idée d’égalité que refuse Alceste dans la tirade précédente    b) L’argument . Son argument : Toute vérité n’est pas bonne à dire {L. 39 à 46}    c) Les exemples . On retrouve le champ lexical de « franchise » pour montrer sa franchise   Conclusion : Dans cette scène, Molière oppose