Tirade De Done Elvire

A savoir: l La scène s’ouvre sur une tirade de Sganarelle, qui fait l’éloge ironique du tabac. Cet éloge donne le ton à la pièce et place la scène dans un registre comique. l Début « in médias res » => au milieu des choses Introduction : Molière est un dramaturge et comédien français du 17ème siècle qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Molière s’inscrit dans le classicisme qui rejette toute forme d'excès. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre telles que

analytique 1 De « Je n’ai pas grand peine à le comprendre, moi…. » jusqu’à « je dirais hautement que tu aurais menti » Présentation-situation de l’extrait Sganarelle, valet de Dom Juan, s’entretient avec Gusman qui est l’écuyer (serviteur) de Done Elvire, la femme que Dom Juan a enlevée d’un couvent et épousée. La pièce commence par un éloge burlesque du tabac (qui annonce l’éloge de l’inconstance, par Dom Juan, à la scène suivante) : on a l’impression de prendre le dialogue en cours de route. Cet

raconte comment le personnage principal, Dom Juan, accompagné de son valet Sganarelle, se joue de toutes les femmes qu’il se met en tête de conquérir. Il est dans la scène d'exposition présenté par son valet lors d'un échange avec Gusman, le valet de Done Elvire, l'actuelle femme de Dom Juan, comme étant un libertin, s'opposant aux contraintes et aux règles sociales morales ou encore religieuses, les libertins ne se basent que sur du concret, comme la science. Ici nous nous demanderons quelle est l'originalité

l'on court au-devant du souhait des gens: tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent. Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours. Si bien donc, cher Gusman, que Done Elvire, ta maîtresse, surprise de notre départ, s'est mise en campagne après nous, et son cœur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici. Veux-tu qu'entre nous je te dise ma pensée? J'ai peur qu'elle

que puisse dire Aristote […] et de vertus à tous ceux qui en prennent ». Gusman reste dans l'ombre à l'arrière de la scène. Quand Sganarelle s'adresse a Gusman « Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours », le valet de Done Elvire vient s'asseoir en face de Sganarelle , nous pouvons donc découvrir son visage. Tout autour d'eux , on découvre un décor italien , une toile de fond qui nous fait comprendre que nous sommes dans le palais de Dom Juan , puisque nous apercevons

annonce que Pontagnac est amoureux de Lucienne mais qui elle, ne trompera jamais son mari (à part si lui la trompe) ; « je ne désire rien de plus, et tant qu’il n’ira pas porter ses qualités artistiques à l’extérieur… ». Pontagnac insiste avec des tirades ; « Qu’est-ce que ça prouve, le mari ? […] C’est l’artiste de l’amour. Le mari n’en est que le rond-de-cuir » alors que Lucienne ne fait que de petites répliques, on trouve aussi une personnification . Puis dans Amphitryon 38 ; Alcmène est l’épouse

méchant homme -E scène expo. Ns renseigne sur intrigue &présente principaux perso : Sganarelle (valet DJ) s’entretient ac Gusman (écuyer Done Elvire, F de DJ). -On apprend que DE, aps avoir éT enlevée d’un couvent  F de DJ. -Sga ôte à Gusman tt espoirs q DJ revienne. A cette occasion il dresse le portrait du gd seigneur. -Ns ns demanderons si cette tirade remplie bien sa fonction d’expo. 1) Portrait du maître par son valet. (Sga met en valeur 3 aspects) a) un impie (ne respecte pas)

écrire cette pièce. Celle-ci compte les aventures et les conquêtes d’un grand aristocrate. Cet extrait se situe à la fin de la scène d’exposition et correspond au moment où Sganarelle se lance dans une longue réplique (tirade) lors de sa discussion avec Gusman (valet de Done Elvire) dans laquelle il émet le portrait de Dom Juan. Nous démontrerons quel portrait Sganarelle fait de son maitre. Dans un premier temps nous évoquerons le portrait de Dom Juan et dans un second temps Dom Juan qui est un homme

époque et son auteur, malgré qu’elle comporte beaucoup d’aspects propres à la tragédie présents dans ces pièces à cette époque. En effet, Dom Juan comporte des allusions fantastiques (telles que la statue du commandeur), des tirades pathétiques (par exemple celui de Done Elvire dans la scène VI), et bien-sûr trait caractéristique de la tragédie, le destin fatal du personnage principal, ainsi qu’une intervention divine, ici, celle de Dieu. Cette pièce à engendré beaucoup de critiques après sa sortie

plus que ces femmes peuvent être « Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui ». C'est ainsi qu'il a fait avec Done Elvire, il a sortis cette dernière du couvent afin de l'épouser et la quitte aussitôt. Plus tard, dans la seconde scène, Don Juan confirme lui-même dans sa tirade ce que disait Sganarelle plus tôt et fait l'éloge de l'inconstance. Il critique la fidélité et affirme que « la constance n'est bonne que pour les ridicules » cette inversion