Tirade Du Donjuanisme

sans fin des personnages. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire de la scène 4 de l’acte IV On peut déterminer la composition de la tirade en observant les moments où Titus emploie la troisième personne pour parler de lui (ce qui marque une distanciation) et ceux où il emploie la première personne. Le premier passage, à la troisième personne, va donc du vers 987 au vers 992 : Titus,

signifierait un retournement définitif. Cette structure d'ensemble, à la fois répétitive et décousue, tend enfin à faire de la parole le lieu même de l'action : et de fait, c'est en paroles que Dom Juan est le plus actif si l'on en croit sa première tirade, la scène de séduction de Charlotte, voire le jeu de l'hypocrite. C'est dans sa parole qu'il expérimente sa puissance : capacité à séduire et à tenter (Charlotte, le Pauvre), virtuosité de l'esquive (M. Dimanche), puissance d'humiliation (Done Elvire

« traitées en mineures pour nos biens, punies en majeures pour nos fautes » s’exclame Marceline. Les injustes privilèges de la société féodale sont dénoncés : «vous vous êtes donné la peine de naître, rien de plus » remarque à juste titre Figaro (tirade - acte V scène 3). Beaumarchais remet donc en cause le principe de la naissance. Ainsi la rivalité entre le comte et Figaro semble un conflit historique ou politique entre un Ancien Régime moribond, s’accrochant à ses privilèges iniques, et un monde

pas ce que dit Iintresse. Pleine dun juste effroi, elle ne vient pas rvler linnocence dHippolyte, mais seulement rclamer la clmence, parce quelle craint pour elle-mme les consquences de sa mort (vers 1171-1174). Cest seulement a posteriori, dans une tirade destine la mettre en valeur ses propres yeux, quelle parle de remords (vers 1198), mais elle nest toujours pas affirmative sur ses intentions Peut-tre maccuser jaurais pu consentir. Peut-tre ... Laffreuse

I'intéressée. «Pleine d'un juste effroi», elle ne vient pas révéler l'innocence d'Hippolyte, mais seulement réclamer la clémence, parce qu'elle craint pour elle-même les conséquences de sa mort (vers 1171-1174). C'est seulement a posteriori, dans une tirade destinée à la mettre en valeur à ses propres yeux, qu'elle parle de «remords» (vers 1198), mais elle n'est toujours pas affirmative sur ses intentions : «Peut-être à m'accuser j'aurais pu consentir. Peut-être

le religieux, avec le pauvre, venu de l’ermite de Dorimon et Villiers le merveilleux, qui surgit au cinquième acte lors des apparitions qui précèdent le Commandeur. - De plus, à la variété des registres il convient d’ajouter le recours à la tirade philosophique, qui tend vers le monologue où le personnage commente en donnant sa vision du monde. Dom Juan s’explique volontiers (I, 2) : Sganarelle - Vertu de ma vie, comme vous débitez ! Il semble que vous ayez appris cela par cœur, et vous parlez

Donnez une défnition du théâtre. Quelles sont les particularités du texte théâtral ? En quoi le théâtre se diférencie-t-il des autres genres littéraires ? Qu’est-ce que la double énonciation* au théâtre ? Défnissez les termes suivants : réplique, tirade, stichomythie, monologue, aparté... A quoi servent les didascalies ? Défnissez un genre théâtral : comédie, tragédie, drame... Défnissez ces registres : comique, tragique, dramatique, lyrique... Quelles sont les diférentes formes de comique au théâtre

l'âme afin de transmettre sa volonté aux ancêtres bienveillants. Sous ce rapport, il est remarquable qu'Iyaloja ait mis en lumière « la mort spirituelle »229 qui naît du désir du Blanc de subvertir les croyances traditionnelles. On comprend que la tirade de cette gardienne de la mémoire collective yorouba s'ouvre sur une apostrophe injurieuse qui témoigne de son courroux à l'endroit des ennemis de sa race: Enfant, je ne suis pas venue ici pour t'aider à comprendre (Désigne Elesin). Voici l'homme

sensibilité propre aux intellectuels russes de ce temps-là. Il est neurasthénique, non point fou mais atteint de ce déséquilibre que Tchékhov a évoqué dans des nouvelles comme ‘’La salle no 6’’ et ‘’Le moine noir’’. On peut voir aussi, dans son donjuanisme de pacotille, dans ce mélange d'exaspération nerveuse et de protestation, une caricature de l'attitude romantique. Cette première grande pièce de Tchékhov fut un échec. En janvier 1889, elle fut représentée à Saint-Pétersbourg. ____________________________________________________________

c'est la confrontation de cet irrationnel et de ce désir éperdu de clarté dont l'appel résonne au plus profond de l'homme » (Sisyphe). Les réponses à l'absurde énumérées dans le Mythe se retrouvent à des degrés divers illustrées dans la pièce : « donjuanisme » (dont le goût de la débauche de l'empereur offre une désespérante caricature), « révolte grâce à l'art » (réduite elle aussi à des manifestations dérisoires) ; mais c'est plus encore le « nihilisme » qu'incarne Caligula, en se fondant « sur un