Tissier Desbordes

| | | |Victor Hugo, | | | |Marceline Desbordes-Valmore, | | | |Louise Colet, | | |

tes éclairs... C’est lui ! Sauve qui peut ! Voici venir les larmes !... Ce n’est pas tout d’aimer, l’amour porte des armes. C’est le roi, c’est le maître, et, pour le désarmer, Il faut plaire à l’Amour : ce n’est pas tout d’aimer ! Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) extrait de « poésies inédites » Les femmes sont sur la terre Les femmes sont sur la terrePour tout idéaliser ;L'univers est un mystèreQue commente leur baiser.C'est l'amour qui, pour ceinture,A l'onde et le firmament,Et

parle Au coeur Ô patrie légère Ô maison de fil Mes amis, mes frères Vous connaissent-ils ? Ils parlent d'amour Je n'en ai que faire Je chante à mon tour Et je vis d'eau claire. ~~~~ Mon troisième poème est un poème de Marceline Desbordes-Valmore, née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859, est une poétesse française. Elle fut surnommée « Notre-Dame-Des-Pleurs » en références aux nombreux drames qui jalonnèrent sa vie. Le poème choisit s’appelle : « la voix d’un

Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées, Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir ; La vague en a paru rouge et comme enflammée. Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée... Respires-en sur moi l'odorant souvenir. Marcelline Desbordes-Valmore (1786 – 1859) La ronde autour du monde Si toutes les filles du monde voulaient s’donner la main, Tout autour de la mer elles pourraient faire

p. 7 Parfum Exotique, de Charles Baudelaire p. 8 La fin de l’Automne, de Francis Ponge p. 9 Hiver, de Marceline Desbordes-Valmore p. 10 • L’Hiver, de Jean-Claude Brinette p. 11 Postface

heureux temps J'ai moi-même, à l'aspect des pleurs de l'infortune, Détourné mes regards distraits ; A mon tour aujourd'hui mon malheur importune. Vivez, amis ; vivez en paix. Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) Les séparés (N'écris pas...) (Recueil: Poésies inédites) Marceline Desbordes-Valmore, actrice et poète, écrit pendant toute sa vie, notamment des poésies élégiaques. Ce poème est écrit sous forme épistolaire à l’homme qu’elle aime et dont elle est séparée. N'écris pas

N’écris pas ! N’écris pas ces deux mots que je n’ose plus lire : Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur. N’écris pas ! Marceline Desbordes-Valmore Longues pensées d'amour Longues pensées d’amour, Séparation qui dure, L’absence de l’aimé ressemble à la pluie qui s’arrête. Seule on attend, debout ; On a le cœur serré. On regarde un nuage, qui s’enfuit au loin ; On regarde un

des rameurs qui frappaient en cadence » aux vers 14 et 15. MARCELINE DESBORDES-VALMORE (1786-1859) Les Roses de Saadi, écrit en 1859, est un poème simple et naturel, où l’auteur voulait offrir des roses à une personne qu’elle ne cite pas. Nous pourrions comparer ce poème à l’huile sur toile de John William intitulé « Parfum de la rose ». La femme sentant la rose pourrait être Marceline Desbordes-Valmore qui « voulu ce matin te rapporter des roses » vers 1, et dont sa robe « encore

lèvres timides Ont dit ce qu'il semblait penser, Au temps où nos lèvres humides Se rencontraient sans se presser ; Vous ! qui fûtes son doux Messie, L'avez-vous rendu bien heureux ? Du cœur je vous en remercie : C'était mon petit amoureux ! Marceline DESBORDES-VALMORE Enfance Au jardin des cyprès je filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents, m’arrêtant

toujours dans un style baroque. Le quatrième est le sonnet de Felix Arvers né en 1806 et mort en 1850. C'est un personnage timide qui était amoureux d'une femme marie mystérieuse. Le cinquième est « Qu'en avez-vous fait ? » l'auteur est Marceline Desbordes-Valmore, née en 1786 et morte en 1859, est une poétesse française. Elle écrivait surtout des poème romantique. Et pour finir le sixième est « Le Vase brisé » qui a était écrit en 1865 de Sully Prudhomme né 1839 en et mort en 1907. Il s’était tourné