Titien

dort, Comme Philippe de Bourgogne Vous trouveriez la toison d’or, Et la brune est toujours certaine D’amener autour de son doigt Pour le diable de La Fontaine Le cheveu que rien ne rend droit. Aussi j’aime tes courtisanes Et tes nymphes, ô Titien, Roi des tons chauds et diaphanes, Soleil du ciel Vénitien. Sous une courtine pourprée Elles étalent bravement, Dans sa pâleur mate et dorée Un corps superbe où rien ne ment. Une touffe d’ombre soyeuse Veloute, sur leur flanc poli Cette envergure

portrait. Des sentiments de plus en plus évident notamment dans les visages ou dans les corps. -Dans la peinture Peinture à l'huile, sur de la toile. De très grand artiste marque cette période( ex: M.Angelo, Veronese, Léonard de vinci, le Titien, Van Eyck...) Les innovations militaires sont: -Le pistolet ou arquebuse courte. -Nouvelle fortifications: invention du bastion en Italie à la fin du Xve siècle. Les fortifications de type italien apparaissent à Troyes et à Saint-Paul de

et paysage se rompt : soit le paysage disparaît (Michel-Ange : l’homme est la seule valeur), soit la figure humaine rétrécit (Patinir) ou disparaît (Piero di Cosimo). La nature continue d’apparaître dans la peinture religieuse ou mythologique (Titien) mais c’est une nature lisible, dont les figures ont pris possession et dont tout vertige a été banni. C’est en s’appuyant sur les personnages tournés vers nous que le tableau fonctionne : entrer dans le paysage signifie passer par l’histoire de la

architecte et poète; Raphaël (1483 – 1520), peintre et architecte -le style vénitien se démarque avec une originalité dans les couleurs et les matières, utilisation du contraste coloré; de grands artistes peintres tels que Bellini (1425 - 1516) et Titien (1488 – 1576) Le maniérisme : -perte de clarté et de cohérence de l'image -multiplication des éléments et des plans -déformation et torsion des corps -recherche du mouvement -quelques représentants du maniérisme: Pontormo (1494 – 1557); Bronzino

(1596-1631), peintres de natures mortes réalistes, mêlaient influence hollandaise et caravagisme. À Valence, le style baroque naturaliste apparaît dans l'oeuvre de Francisco Ribalta (1565-1628), encore inspiré par la haute Renaissance italienne et Titien et par José de Ribera. Séville et Madrid devinrent les deux plus grands centres de l'art baroque espagnol avec, au début du XVIIe siècle Juan de las Roelas (!?- 1625), Francisco Pacheco (1564-1654), et Francisco de Herrera le Vieux. Installé

prétendant que la Terre est ronde et plate et que le Soleil tourne autour de ce plateau comme un cheval de manège. Il dénigra aussi les arts, appelant les statues des poupées de marbre. Il aurait voulu supprimer jusqu’au nom des Raphaël, des Corrège, des Titien, dont les œuvres, prétendait-il, avaient été si pernicieuses pour les mœurs. Il attaqua, pour comble de paradoxe, le rossignol, à qui il dit : « Tais-toi, vilaine bête » et exalta la grenouille. Il sе mêla aussi de physiognomonie, et comme jaloux

1925 Tatin rencontre les compagnons Charpentier du Devoir et de la Liberté à Tours,et crée à Laval un cours de dessin et de peinture. 1933 Voyage en Italie, il visite les musées (Milan,Venise,Florence...) admire Léonard de Vinci, Giotto et le Titien. 1938 Départ pour New-York. 1940 La guerre le ramène en France. Tatin est mobilisé, part sur le front, en Alsace, s'échappe en zone libre et s'installe à Albi. 1941 Tatin est à Laval, et rejoint le maquis.Il s'enfuit à nouveau, part pour Paris

sensation en pratiquant des dissections de cadavres humains. En 1538, il fait paraître à Venise Tabulae anatomicae sex, un recueil de six grandes planches anatomiques dessinées par son ami et compatriote Jan Stefan van Calcar (v. 1500-1546), élève de Titien. Le père de l'anatomie moderne En 1540, invité à Bologne pour des démonstrations d'anatomie, Vésale montre la nécessité, en anatomie humaine, de disséquer et d'observer le corps humain lui-même : en comparant le squelette de l'homme et celui du singe

centre d’une dispute opposant les défenseurs de l’art académique aux artistes « refusés ». En 1864, le Salon officiel accepta deux de ses tableaux, et, en 1865, Manet y exposa Olympia (1863, musée d’Orsay, Paris), un nu inspiré de la Vénus d’Urbin de Titien et dont le réalisme peu orthodoxe souleva des vagues de protestations au sein des cercles académiques. En 1866, Émile Zola, qui avait pris fait et cause pour l’art de Manet dans le Figaro, devint son ami. Tel fut également le cas des peintres impressionnistes

lorsqu'il arrive à Paris pour s'inscrire à la faculté de droit. Le jeune homme se détourne bien vite de cette voie et préfère fréquenter les ateliers de Steuben et du père Suisse. Il copie les maîtres du Louvre comme Rembrandt, Hals, Rubens, Caravage ou Titien. Dans la "galerie espagnole" de Louis-Philippe, il découvre Vélasquez ou Zurbaran qu'affectionnera également Manet. Parmi ses concitoyens, Courbet admire Géricault et Delacroix, deux maîtres romantiques qui utilisèrent les grands formats pour peindre