Toilette D Un Patient Bmr

désinfectant· soins d’hygiène (toilette, douche + autres) des résidents qui veulent avoir leur toilette avant le petit déjeuner· Aide à l’habillage et déshabillage et instalation pour le petit déjeunerDe 8h00 à 8h45 · distribution des traitements (préparés par la pharmacie et controlés pas les infirmières)· Stimulation et aide ceux qui ne peuvent pas s’alimenter et s'hydrater seul De 8h45 à 10h30 · poursuite des soins d’hygiène: aide à l'habillage; aide a la toilette ou toilette complete au lit.· Effectue

était absente à l’entrée du patient. Pour les infections de site opératoire, on considère nosocomiale les infections survenue dans les 30 jours suivant l’intervention ou s’il y a mise en place d’une protège, un support, d’un implant dans l’année qui suit l’intervention. Mode de transmission • Endogène : Le patient est infecté par ses propre germes lors des actes chirurgicaux, de soins, d’examens évasif, d’acte invasif, de respiration artificielle. Le patient peut s’infecter lui même

INTRODUCTION Dans les termes même « d’infection nosocomiale » réside déjà le problème de la relation entre l’hôpital et l’infection acquise par les patients qui y séjournent. En effet, si le mot latin « nosoconium » veut bien dire « hôpital », le mot « nosos » signifie « maladie ». C’est parce que les patients sont malades qu’ils se trouvent à l’hôpital. En France, 6% à 7% des hospitalisations sont compliquées par une infection nosocomiale plus ou moins grave, soit environ 750 000 cas sur 15

Ecologie microbienne  AIR Poussière Microgouttelettes de salive Pellicule du cuir chevelu Peaux mortes La manipulation des draps, le dépoussiérage, le déplacement d’une personne … augmentent la concentration microbienne de l’air EAU Siphons, toilettes Supports creux, coupelles de savon Vase, pots de fleur Carafes d’eau, verres L’eau stagnante est très appréciée des bactéries (Pseudomonacés…) CORPS Mains, ongles, espaces interdigitaux Cocci gram+ et bacilles gram+ Aisselles, plis (sous mammaires…)

pseudo-membraneuse (C. difficile). BACTERIES A RECHERCHER Dans tous les cas Demande spécifique/tableau clinique particulier Clostridium difficile toxinogènes Vibrio spp. Escherichia coli producteur de vérotoxine Bactéries multi résistantes (BMR) Salmonella spp. Shigella spp. Campylobacter spp. Yersinia spp. Aeromonas spp. PRELEVEMENT Echantillon Conteneur Transport Conservation Commentaires Selles Poudrier stérile ≤ 1 heure température ambiante ≤ 24 heures

des 4 grands domaines 27 1. Promotion de l’autonomie, de la qualité de vie, de la santé et de la participation sociale 27 A. démarche globale 27 B. soutenir l’autonomie dans les deplacements 27 C. Soutenir l’autonomie dans les toilettes, apporter des soins de qualité 28 D. Soins Bucco Dentaires 28 E. Soutenir l’autonomie dans l’alimentation 29 F. Soutenir l’autonomie dans la continence 29 2. Personnalisation de l’accompagnement 30 A. Processus d’évaluation

ma ire Maîtrise du risque infectieux en eHPad ficHes tecHniques / Pratiques LiSte deS abréviationS AES : Accident avec Exposition au Sang ARLIN : Antenne Régionale de Lutte contre les Infections Nosocomiales ARS : Agence Régionale de Santé BMR : Bactérie Multi Résistante aux antibiotiques CAT : Conduite A Tenir CCP : Critical Control Point. Procédure où il est nécessaire et possible de contrôler les risques. En buanderie la méthode est dénommée RABC CHSCT : Comité d’Hygiène de Sécurité et

doivent être réévalués. L’abandon de l’idée de régime ne signifie pas l’abandon de la surveillance nutritionnelle. LES RÉGIMES SPÉCIFIQUES Le régime du diabétique L’alimentation doit être équilibrée et régulière et répondre au besoin énergétique du patient et par conséquent ne doit pas être restrictif. Chaque repas doit comporter un féculent, des légumes et des fruits. Le sucre (saccharose) doit être supprimé en dehors des repas. Le régime peut correspondre à l’alimentation proposée pour l’ensemble

L’organisation, page 20 3.6.5.8.2- Les moyens, page 21 3.6.5.9- Application à la réalisation d’un pansement dans une situation d’hygiène déficitaire, page 21 4- HYGIENE DU DOMICILE ET DU PATIENT, page 23 4.1-DEFINITIONS, page 23 4.2-LES REGLES D’HYGIENE CORPORELLE, page 23 4.3-LES BENEFICES DE LA TOILETTE, page 24 4.3.1-Physique, page 24 4.3.2-Psychique, page 24 6 , 4.4- UN CONCEPT EVOLUTIF, page 24 4.4.1-l’approche anthropologique, page 24 4.4.2-l’histoire, page 25 4.4.3-propreté

Education Thérapeutique du Patient aux Autosondages (ETP-AS) Guide méthodologique Version Finale du 10/10/2009 Fiche descriptive TITRE Méthode de Travail Objectifs Education Thérapeutique du Patient aux Autosondages (ETP-AS) Guide méthodologique • Définir lʼETP-AS, ses finalités, son organisation • Décrire la démarche dʼETP-AS, le contenu de ses étapes • Proposer une structuration de programme dʼETP-AS • Proposer une évaluation du processus dʼETP-AS • Proposer une réflexion pour