Tolstoi

luttant qu’on parviendra à surmonter les vicissitudes de la vie. Il est inutile de penser la vie comme une chimère au point de préférer la mort, qu’on ne sait pas et ne saura peut-être jamais ce qu’elle est, à la vie. Sur ce point c’est peut-être Tolstoï qui a raison lorsqu’il affirme dans Résurrection : « L’utilité de la vie, le but suprême en vue duquel nous sommes de ce monde, je ne puis le comprendre. Mais accomplir sa volonté telle qu’elle est écrite dans mon cœur, cela est dans ma puissance

Un autre personnage dans le livre est le Binoclard. Il possède une valise avec des livres interdits qui est plus tard volée par Luo est le narrateur. Les deux sont très intéressé au ces livres occidentaux (livres de Balzac, Rousseau, Flaubert, Tolstoï, Dickens etc.). Un thème général du livre est l’influence de la littérature. Luo veut rendre la petite tailleuse plus cultivée, il veut la transformer avec les livres du Binoclard et on voit que ça marche très bien. La petite tailleuse aussi aime

Balzac. Ensuite les deux jeunes décident de voler une valise remplie de livres appartenant au Binoclard contenant des œuvres de Balzac (Le Père Goriot, Eugénie Grandet), de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, Dickens, Kipling, Brontë, Melville évoqués à la page 125. 2) Quel est le rôle des livres pour le narrateur et Luo ? Ces livres permettent d’occuper le narrateur et Luo, de leur apporter des informations sur différentes

délivre la princesse Marie. Cette rencontre romanesque leur laisse à tous deux une profonde impression. André revoit Koutouzov, il y comprend l'imminence d'une bataille. À Moscou, la ville s'exalte du patriotisme du gouverneur Fédor Rostoptchine. Tolstoï expose le plan de la bataille de Borodino, qu'il soutient être une victoire conforme à la guerre d'attrition menée par les russes Troisième partie Pierre décide de se rendre à Borodino, pour « voir la guerre ». On lui explique les positions des

intelligentes pour satisfaire les besoins des humains. D’où développement de mouvements de protection animale, de bien-être animal ou prônant le végétarisme, Réflexion ancienne : soutenue par Pythagore, Léonard de Vinci, Lamartine, Schopenhauer, Tolstoï, Einstein, ou Gandhi... Arguments : majeure partie des aliments d'origine animale pas nécessaire à la santé humaine, nombreuses constatations des ravages écologiques de l’élevage...Dans l’économie et la finance : Echanges financiers dans le contexte

Bleslaw Prus (1847-1912, Pologne), l'Orgue de barbarie (1880), le Gilet (1882). Catulle Mendès, Monstres parisiens (1882). Anton Tchékov (1860-1904), Nouvelles (1882-1903), la Steppe (1888). Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels (1883). Léon Tolstoï, la Mort d'Ivan Illitch (1886), Maîtres et serviteurs et autres nouvelles (1886-1904). Jules Laforgue, Moralités légendaires (1887). Robert Louis Stevenson (1850-1894), les Gais Lurons (1887). Rudyard Kipling (1865-1936), Simples Contes des montagnes

prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au xixe siècle, le bonapartisme, se revendiquant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon

puis fonde "Notre Théâtre" avec laquelle il tourne à travers la Russie. Entre 1916 et 1925, il est en activité à Genève avec la Compagnie Pitoeff, et il monte : Hedda Gabler, Les revenants, Le canards sauvage d'Ibsen, La puissance des ténèbres de Tolstoi, l'Echange de Paul Claudel, La Locandiera de Goldoni, Mlle Julie de Strindberg, Oncle Vania et La Mouette de Tchékhov. Entre 1919 et 1939 il part en tournée puis s'installe en 1924 la compagnie Georges Pitoeff à Paris, où il monte 26 pièces, entre

ont été traités par quatre siècles de romans européens. Il cite entre autre les exemples de Cervantes et la question de l'aventure, Boileau et l'enracinement de l'homme dans l'Histoire, Flaubert et l'exploration de la terre jusqu'alors inconnue, Tolstoï et la part d'irrationnel dans les décisions humaines, Proust et l'insaisissable moment présent, Joyce et l'insaisissable moment présent, Thomas Mann et le rôle des mythes...

- Walter Scott : Ivanhoe (1819) Quentin Durward (1823) - Dostoïevski : Les Frères Karamazov Crime et Châtiment (1866) L’Idiot (1668) - Tolstoï : Guerre et Paix (1869) Anna Karénine (1877) XX°siècle - Jean de la Ville de Mirmont, Les Dimanches de Jean Dézert (1914) - Alain Fournier : Le Grand Meaulnes (1913) - Colette : Les « Claudine » (1900-03) - R. Radiguet :