Tonnerre

D’où la terre n’est que boule Dans le grand ciel incertain. Ne parlez pas : c’est ici Qu’on égorge le soleil. Douze bouchers sont en ligne, Douze coutelas pareils. Ici l’on saigne la lune Pour lui donner sa pâleur, L’on travaille sur l’enclume 1 Du tonnerre et de l’horreur. « Enfant cache ton visage Car tu cours de grands dangers. - Ne vois-tu pas, étranger, Que j’ai un bon attelage. » Garçons des autres planètes N’oubliez pas cet enfant Dont nous sommes sans nouvelles Depuis déjà très longtemps. Jules

spatial mais d'une intention : il « grossit sa voix », « rit », « crie », « éclate ». Un comique burlesque naît de la gradation des verbes, de la gestuelle outrancière qu'ils suggèrent, et de l'hyperbole finale (« on bouche ses oreilles, c'est un tonnerre »). L'analogie avec l'entrée en scène d'un acteur constitue à elle seule une analyse et un jugement moraux : si Théodecte se met en scène, c'est qu'il est un fat ; s'il cherche à s'imposer à tous, c'est par égocentrisme forcené. La suite du

le châtiment : « l’endurcissement au péché entraine une mort funeste et les grâces du ciel que l’on renvoie ouvrent un chemin à sa foudre » (Ligne 25) - Le châtiment tombe enfin : le tonnerre, la chute dans les entrailles de la terre, le feu (lignes 29 et 30): tout l’imaginaire issu de la mythologie antique (le tonnerre de Zeus) et religieuse (le feu de l’enfer) est présent. Le Ph. Campet / Lycée Victor Hugo / Marseille / 2012-2013 châtiment est donc exemplaire. Notons qu’il est mis en scène et

|sonne |sonne |sonna | |Or les hommes échappés à l’hécatombe ne céssèrent ni leurs débauches ni leurs sorcelleries. Un nouvel ange descend du ciel, sept tonnerres retentissent, puis l’ange dit « Plus de délai ! Quand |Des voix proclament la royauté | |sonnera la septième trompette sera consommé le mystère de Dieu». On donne à Jean un livre à manger, amertume et miel,

adéquats (2 pts) • 3 mots ou expressions adéquats (1 pt) 2b 3 3 4 Les mots et expressions suivants par exemple :   • [...] qui a anéanti ses semblables (L. 49-50).   • [...] de le flatter timidement de la main / il l’a baptisé « Tonnerre »… (L. 58-59).   • [...] leur robustesse destinait à évoluer au cœur des espaces sauvages, loin des zones habitées… (L. 63-64).   • [...] le spécimen qu’avait découvert Ramon… (L. 69).   • […] de maîtriser la puissance brute de celui qu’il considérait

moitié du stage avec son papa pour être sûre d’y aller Eric a le vertige, pourtant il aime l’escalade. Stéphane est un ami d’Eric. Ils sont restés tous les 3 ensembles toute la semaine et sont devenus les meilleurs amis du monde !(une équipe du tonnerre). Chapitre 2 7 ans plus tôt. Après le stage, le père de Stéphane avait transformé le mur sud de son chalet en paroi d’escalade pour que les enfants puissent s’entraîner. Le père d’Eric, lui est mort, c’est p être pour ça qu’il a peur de grimper

dans son œuvre : c’est sa vie qu’il décrit. La première strophe est composée de quatre vers décrivant un été chamboulé. En effet, l’auteur subit un « ténébreux orage », et « le tonnerre et la pluie [, qui] ont fait un tel ravage ». Il y eut en effet tellement d’évènements douloureux ou difficiles représentés par le « tonnerre » et la « pluie » qu’il n’est plus possible pour lui de vivre dans un monde beau comme il l’aurait voulu. On sait que c’était une volonté puisqu’il emploie les mots « bien peu »

plus vite possible de ce qui chemin qui l’amène à sa chambre. le thèmes de cette partie est la peur : champ lexical : ténèbres, nuit, mine, grandes ombres, profils effrayants, colonnes écroulés, bêtes accroupies, voleur à l’affût, silence lourd, tonnerre, effroi nocturne des églises, croix renversées, terreur, oeil clignotant, manœuvre étrange, la clé qui grinçait, bruit de massacre. On observe un deuxième champ lexical qui s’oppose au premier, celui de la lumière : lampes, clarté, taches jaunes

pompeuse M'ôte déjà la terre et me donne les mers, Je ne vois que le ciel uni aux sillons pers : C'est le premier état de mon âme amoureuse. Puis je vois s'élever une vapeur confuse, Ombrageant tout le ciel qui se fend en éclairs, Le tonnerre grondant s'anime par les airs C'est le second état dont elle est langoureuse. Le troisième est le flot hideusement frisé, Le mât rompu des vents et le timon brisé, Le navire enfondrant, la perte de courage. Le quatrième est la mort entre

discours de Martin Luther King resté emblématique après son assassinat en 1968. Question 2 : Texte 2. Qu’est-ce qui dans la façon de parler d’Etienne Lantier fait que la foule des grévistes passe du « tonnerre » et des « cris » au « silence profond » ? (4 points) La foule des grévistes est d’abord un « tonnerre », car la révolte gronde et que les premiers mots de Lantier les exhortent à la lutte : il s’adresse à eux (« Camarades ! ») et sa prise de parole redouble de points d’exclamation. Les « cris »