Toponymie

une grande étendue, offrait une couche de vestiges archéologiques d'époque gauloise. Nous reprîmes l'étude du réseau routier antique du département de l'Eure en nous basant sur les restes d'encaissement repérés, sur les indications fournies par la toponymie, sur la disposition cadastrale des chemins (2) ; nous avons pu de la sorte déterminer six voies antiques qui convergent vers Le Vieil-Évreux : voies du Vieil-Évreux à Rouen, à Amiens, à la capitale des Bellovaques (3), à Mérey, à Dreux et Chartres

l'anglais et 12,5 % était de culture et de langue anglaise, faisant de Montréal une ville interculturelle. Le nom de Montréal se prononce [mɒ̃ʁeal] écouter en français québécois et [mɔ̃ʁeal] écouter en français de France. Toponymie Le nom Montréal provient de Mons realis, c'est-à-dire mont Royal en latin. C’est l’explorateur français Jacques Cartier, lors de son second voyage en Amérique, qui baptise la montagne qui surplombe aujourd'hui la ville. Dans son récit de voyage

s'inspirant de la Rome antique; on voulait ainsi marquer l'égalité de tous les citoyens entrer eux, mais le décret sera aboli dès juin 1795. Puis il fallut changer le calendrier romain, trop religieux, et le système des poids et mesures, sans oublier la toponymie et les prénoms associés à l'Ancien Régime. Cependant, le «tutoiement révolutionnaire» et le titre égalitariste de citoyen/citoyenne à la place de monsieur/madame ne persistèrent pas. Quant au vocabulaire, il subit un certain remue-ménage en raison

Système expert Perspective sémantique & représentationnelle Une étude étymologique passe par un essai de redéfinition et de compréhension de la plupart du vocabulaire concernant l’architecture balnéaire et les thermes. Nous définissons la toponymie des lieux tels que : « thermes », « bains », « frigidarium », « tepidarium », etc… Objectif Figure 1 : Programme et objectif de la recherche sur les thermes (Dhouib 2004) 142 Modélisation architecturologique des thermes impériaux romains

trouvent souvent des quartiers d'artisans qui n'ont pas trouvé leur place en ville souvent à cause du caractère de leurs activités (polluantes, bruyantes ou taxées d'un tabou). La ville est dotée d'équipements dont parfois la fouille ou simplement la toponymie rappelle les thermes, le stade, l'amphithéâtre, les arènes... Parfois, le site lui-même contraint à l'abandon du plan régulier comme à Angers. Cette trame urbaine de fond reste souvent encore lisible deux millénaires après comme Toulouse. Souvent

planète. Peuplement humain ETHNIES POUR LES IRANIENS, PEUPLE DES STEPPES, CETTE RÉGION N’EST PAS DU TOUT ACCUEILLANTE : UNE MONTAGNE, UNE FORÊT DIFFICILE À ATTEINDRE, UN FROID SENSIBLE ET DES LOUPS (ON RETOUVE LA TRACE DES LOUPS DANS LA TOPONYMIE LOCALE). AU FINAL, IL S’AGIT D’UN ESPACE EN MARGE. CE N’EST QU’AU XX ÈME SIÈCLE QUE LA ZONE EST RÉELLEMENT INTÉGRÉ À L’IRAN (AUPARAVANT, BIEN QU’ÉTANT OFFICIELLEMENT TERRITOIRE IRANIEN, LES POTENTATS LOCAUX JOUISSAIENT D’UNE TRÈS GRANDE LIBERTÉ D’ACTION)

été les motifs de l’administration : 1/ l'association AZEMZ doit rénover son bureau et cela même si c'est une affaire interne à l'association ; 2/ aucune association ne célèbre cette fête dans toute la région sauf l’association AZEMZ. La toponymie aussi n'est pas à l'abri de cette politique d'arabisation. Ainsi plusieurs toponymes berbères ont subi des déformations leur donnant des formes arabes quand ce n'est pas une arabisation complète. A titre d'exemple, “Ifni” devient “Sidi Ifni”, “Askourene”

majora canamus (Bucoliques , IV, 1) en l'hugolienne paulo minora canamus (I, II, 1) complète donc l'éternelle réponse du poète à l'acte d'accusation qu'on dresse contre lui depuis la Préface de Cromwell. C'est le bonnet rouge mis sur l'ancienne toponymie bucolique. S'il est vrai que vache et génisse sont poétiquement "libres" et "égaux"[30], alors Pontoise vaut Haliarte, Palaiseau vaut Coronée, Sèvres vaut l'Hybla, Montfermeil vaut Banduse[31], et Fantine Vénus. Sarlabot Michel-Ange En reconnaissant

du IIIe siиcle, des Germains vinrent s'installer dans le nord-est de la Gaule, avec l'accord des Romains. Ces Germains furent soumis а l'influence de la langue latine. Le grec, l'ibиre, le ligure et le germanique n'ont laissй de traces rйelles que dans la toponymie locale, mais au dйbut de la Gaule romaine ces langues йtaient employйes par les populations locales.  Toutes ces langues avaient pratiquement disparu а la fin de l'Empire romain. Les Grecs, les Ibиres et les Germains furent entiиrement romanisйs

deux cartes sont deux planisphères. Ils sont centrés sur des espaces proches puisque tous deux mettent le Pacifique au milieu de la carte. En revanche, si le Nord est en haut du doc. 1, il est en bas sur le doc. 2. Une autre différence tient à la toponymie, mais aussi à la calligraphie du doc. 1 : noms de mers et d’îles portant des noms différents de ceux donnés par la communauté internationale. Aucune de ces deux cartes n’est « plus juste » que l’autre : si le fait de mettre le Nord en haut est habituel