Toponymie

intérieure de l'auteur face à un phénomène de société qui, révélé sans détour dans les proportions de sa totalité, présenté dans le cru de son appellation, porte inéluctablement dans son étrange nature le danger de choquer les consciences. Une toponymie qui dit le danger "Le Divorce ?" Tout part de là, de ce bar populaire au nom à la fois évocateur et provocant. Evocateur en ce qu'il suggère l'idée de rupture, de scission, de séparation. On ne divorce que d'avec un intime, un proche. Le bar semble

de vue lexical, on note la présence de mots berbères tels que aïreuj («passoire»), aghhtal («escargot»), asselwan («suie»), khemmal («nettoyer»), etc., et un grand nombre d'autres mots puisés dans le vocabulaire de l'agriculture, l'élevage et la toponymie. Des mots comme tebsi («assiette»), ma'adnous («persil»), braniya («aubergine»), boukraj («bouilloire»), etc., témoignent de l'influence du turc dans l'arabe algérien. Avant l'arrivée des Français, des mots espagnols sont entrés dans la langue, par

domination wisigothe plutôt qu'aux Francs. Les variétés d'oc, plus proches du latin, étaient donc florissantes (provençal, languedocien, gascon, limousin, etc.), surtout que l'influence linguistique wisigothe avait été quasiment nulle, sauf dans la toponymie. Dès le Xe siècle, le catalan se différencia de l'occitan par des traits particuliers; en même temps, le basque était parlé dans les hautes vallées des Pyrénées. Quant aux langues franco-provençales (voir le texte de Manuel Meune а ce sujet) du

JIJEL TAHER SETIF BOUGAA SAIDA SAIDA SKIKDA SKIKDA Code Géo 101 121 402 416 525 551 901 907 914 924 925 927 1301 1351 Voir consi Stan ce 1642 1643 1805 1806 1943 1950 2001 2004 2101 2137 2306 Toponymie ADRAR OULED BRAHIM+ Ouled Ahmed AIN BEIDA Ain Oum Djamel Ouled Gueboudj RAS EL AIOUN BLIDA OULED YAICH SOUMAA + Cherifia BOUARFA + R'mel BENI MERED GUERROUAOU +Sidi Aissa Cherifia TLEMCEN MANSOURAH ACL des communes 01 à 33 +39+40+44+45+50

Du côté de la population il ne reste rien de ce syncrétisme. Il ne reste que l’influence religieuse qui perdure jusqu’à aujourd’hui. Palais Alhambra à Grenade qui est construit d’un style arabesque. Il ne reste également de ce syncrétisme que la toponymie : • Le Guadalquivir fleuve qui traverse l’Andalousie signifie en Arabe « le grand fleuve » • Gibraltar vient de Djabel Al Tariq qui signifie en arabe « la pierre de Tariq » en référence à un gros rocher qui a prit le nom de leur colonel

rendez-vous incontournable du samedi matin, les halles centrales, les devantures, la préservation de certaines d’entre elles mais aussi des marchés à thème (livres, cartes postales, antiquités…). D’autres points méritent d’être signalés : * La toponymie des rues qui rappelle les anciens métiers de la ville et les lieux dits symboliques, * La ville comme lieu de mise en scène avec la mise en valeur du patrimoine dans ses lieux historiques ou symboliques (Parlement, Thabor …). L’évènementiel est un

Chapelle-d’Angillon dans le roman La Ferté-d’Angillon Vierzon Bourges Meaulne, village en lisière de la forêt de Tronçais Epineuil-le-Fleuriel dans le roman Sainte-Agathe Il existe une chapelle Ste Agathe, lieu de pèlerinage à proximité. Toponymie du Grand Meaulnes 13 Cette création est mise à disposition selon le Contrat Paternité-NonCommercial-NoDerivs 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/ ou par courrier postal à Creative Commons, 559

du Sahel qui s’étale des portes de la médina jusqu’aux abords de la plaine de la Mitidja. Les atouts du Fahs sont nombreux : en premier chef l’abondance de l’eau qui se manifeste par les sources, les ruisseaux, les oueds, et les puits d’où la toponymie des lieux qui persiste de nos jours, en plus des fontaines édifiées le long des chemins des passants. Les jardins du Fahs sont très nombreux (Belhamissi M. 2003). A partir du XVIème siècle la ville commerçait déjà à s’étendre sur le territoire

des axes de coordonnées, l’axe des abscisses mesurant les températures mensuelles, l’axe des ordonnées les précipitations mensuelles CLUSE • • C’est un passage assez resserré entre deux reliefs ou à travers un relief, fréquent dans la toponymie « Cluses, La Clusaz » Clue en Provence avec des formes en gorges. Sens restreint : ouverture transversale dans un mont au sens spécial, c’est à dire un relief associé à un pli anticlinal, et frayée par un cours d’eau épigénique ; certaines sont

différents dépôts qui caractérisent la zone. Le circuit pédestre, urbain et périurbain, est décrit pas à pas. Chaque étape est abondamment illustrée de cartes, schémas, photographies, et encadrés sur l’origine des matériaux, leur particularité, la toponymie…Une balade originale ou s’entremêlent deux histoires très différentes, celles des hommes et celles des roches, histoires de toute une vie. Brochure en vente à l’office de tourisme : 4.00 € TTC Quelques brochures disponibles à l’Office de Tourisme