Torpille

le code secret Japonais qui ne fait aucune référence d’une attaque précise. Le matin du 7 décembre 1941, les avions Japonais attaquent par surprise la Base de Pearl Harbor situé dans l’archipel d’Hawaï. Bombes incendiaires, sous marin de poche, torpilles et obus détruisent la flotte américaine du pacifique a ce moment la au repos (8 navires de combats sont détruit, plus de 2400 soldats sont tués) seul 3 portes avions échappent a ce désastre, l’attaque est considéré par les américains comme une traitrise

belligérants. Ce n’est que suite au début de la guerre sous-marine à outrance de l’Allemagne que les Etats-Unis rompent leurs relations diplomatiques avec celle-ci le 1er février 1917. Déjà, le 7 mai 1915, un paquebot transatlantique, le Lusitania, est torpillé par la marine allemande. Dans le naufrage, 128 américains trouvent la mort et par la suite, les relations entre les Etats-Unis et l’Allemagne se crispent. Elles entrent en guerre le 6 avril 1917 contre l’Allemagne et le 7 décembre 1917 contre l’Autriche-Hongrie

entre l’escalade ou la négociation. Mais Kennedy utilise la plus grande fermeté, afin de forcer Khrouchtchev à reculer. Le 24 octobre, les premiers cargos soviétiques font demi-tour. Moscou ne peut contacter immédiatement les sous-marins armés de torpilles à tête nucléaire (opération Kama) qui accompagnent le convoi avec mission de le protéger (fait qui ne sera révélé qu’en 2001). Entre-temps, un arrangement permettant à Khrouchtchev de sauver la face est négocié en coulisse entre émissaires officieux

la monotonie de la prospérité. Cependant le malheur qui arrive de cette manière ne semble pas un réveil, mais seulement un songe. Pour celui qui a toujours été heureux, le désespoir commence par la stupeur. L’adversité imprévue ressemble à la torpille ; elle secoue, mais engourdit ; et l’effrayante lumière qu’elle jette soudainement devant nos yeux n’est point le jour. Les hommes, les choses, les faits, passent alors devant nous avec une physionomie en quelque sorte fantastique ; et se meuvent

emballé : violence, aggravation de la misère, dégradation de l’économie. L’ouverture forcée des marchés en 1994, contrepartie du retour du président élu et légitime, Jean-Bertrand Aristide, retour à l’ombre de la bannière étoilée, a définitivement torpillé l’économie haïtienne. Le libéralisme des marchés a particulièrement touché l’agriculture qui s’est retrouvée en situation concurrentielle avec l’agro-industrie subventionnée des Etats-Unis. L’instabilité politique a accompagné la décomposition de

les autorités militaires, qui tentent par la suite d'améliorer les conditions de vie des soldats. La mise au point d'armes nouvelles (canons de tranchées, grenade, lance-flammes, gaz asphyxiants ou gaz moutarde, chars d'assaut, sous-marins et torpilles, avions, etc...) augmente par ailleurs les pertes et le nombre de blessés de guerre (prénommés après-guerre les « gueules cassées »). Ainsi, la bataille de Verdun (fevrier 1916) engendre plus de 200 000 morts de chaque côté. La guerre a fait au

électriques négatives et positives ({ l’intérieur même du nuage), mais aussi entre la base négative du nuage et le sol naturellement positif. l’accumulation des charges amorce une décharge électrique : c’est l’éclair et l’orage qui éclatent. La torpille, Torpedo ou raie électrique est un poisson cartilagineux "de fond" qui a la capacité de produire de l'électricité comme moyen de défense ou de prédation. L'espèce la plus grande est Torpedo nobiliana, la raie électrique de l'Atlantique, qui peut

était clairement de décourager les alternatives à leurs produits pétroliers. On peut prendre l’exemple de General Motors qui avait pris dans les années soixante d’importantes parts dans tous les programmes de tramway aux Etats-Unis pour finalement torpiller cette alternative à la voiture individuelle. Les constructeurs automobiles : La voiture électrique modifie largement la place des constructeurs automobiles dans la chaîne de valeur du véhicule individuel. Pour la voiture thermique, le moteur a

permanence sceptique. Ne pas se contenter de l'évidence première. Socrate: Agora: Art du questionnement. Socrate: Taon: recidiviste remue les esprits empèches les athéniens de s'engourdir. Morsure du serpent : douloureux mais montre la vérité. Poisson torpille. Socrate: Présence de raison chez tout être humain. Réminiscence: dualité âme corps. Corps: Siège des appétits sensibles soumis à la mort, temporalité donc a la variabilité. Âme: immortelle monde des idées Âme: bien, beau, vrais en soi= monde

des anges, des fées, des gobelins… Toutes sortes de créatures mythologiques sont inventées et idolâtrées à leur tour. Ainsi l’on retombe dans une sorte de polythéisme, au sein même de la perspective monothéiste. Le monothéisme est alors constamment torpillé de l’intérieur. C’est là l’expression d’une lutte perpétuelle entre nature humaine mal dégrossie et raffinement historique de la civilisation. Nos ancêtres d’Europe, avant la renaissance des lettres, croyaient, comme nous le faisons actuellement