Tour Eiffel

Apollinaire, « La Tour Eiffel », Calligrammes (1918) 2. Guillaume Apollinaire, « Le Cœur », Calligrammes (1918) 3. Guillaume Apollinaire, « Le Miroir », Calligrammes (1918) 4. Guillaume Apollinaire, « La Cravate et la montre», Calligrammes (1918) 1. La Tour Eiffel, Guillaume Apollinaire. « Salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche O Paris tire et tirera toujours aux Allemands. » Ce calligramme représente la Tour Eiffel. Elle est le symbole

Introduction C'est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913), mais il parle du centre de Paris, ce qui en fait une ouverture paradoxale. (Titre : Zone, alors qu'il est question de la tour Eiffel,…). On peut donc penser qu'il reprend l'étymologie grecque "ceinture" : il fait à pied le tour de la ville, mais aussi le tour de ses problèmes (interrogations sur lui - même, son enfance, sa religion : réflexion sur les souffrances, sur l'amour). On est frappé par l'apparence du poème : certains vers sont

goûts ? - Y a-t-il une norme qui ne permet pas de discuter des goûts ? - La beauté serait-elle l’expression d’un message ? Partons de l’exemple de la tour Eiffel. Une personne ne va pas porter le même regard sur la tour Eiffel qu’une autre. Elles peuvent avoir des goûts différents, certaines personnes vont penser que la tour Eiffel est une œuvre d’art, que c’est un patrimoine architectural tandis que pour d’autres, elle en sera que des bouts de ferrailles qui ne ressemblent à rien. Des

place Stanislas à Nancy, place des Vosges à Paris...) Jardins à la française (ex : Versailles) Autres (ex : Les salines royales d’Arc-et-Senans en Franche-Comté... Le Grand-Théâtre de Bordeaux…) Architectures industrielles (ex : G. Eiffel La tour Eiffel, grandes gares avec architecture métallique et marquise... l’observatoire de Camille Flammarion…) Plan de ville (ex : Haussmann) Autres (ex : viaduc de Garabit, canal de Suez, pont-canal d’Agen ou de Briare, familistère de Godin, Opéra

être connu, mais il méritait qu'on s'y attarde au moins le temps d'un T.P.E dans le but d'approfondir son fonctionnement et son histoire. Cette œuvre, comme notre titre l'indique, est un des symbole de la France, peut être même le plus connu: La Tour Eiffel: icône de la France . Une fois le sujet choisi, nous avons tout de suite pris conscience qu'ayant sûrement été choisi par d'autres élèves antérieurement, il ne suffisait pas de faire un bon T.P.E mais un qui se démarquerait des autres. C'est dans

développement des grands boulevards & des musées. (Art nouveau), cabarets, salles de concert. La France a un rôle particulier à jouer : Paris= capitale culturelle = phare pour l’Europe & le monde. Grandes réalisations artistiques & techniques : ex : Tour Eiffel (1889). Epoque voit la réalisation de l’idéal des lumières (progrès, bonheur : république). Progrès dans l’humanité, le positivisme, & le scientisme= courants de pensées qui ont foi dans le progrès apporté par la science. La France : la 2ème révolution

la réalité fragmentaire. A partir du vers 16, évocation du rythme hebdomadaire et quotidien de la rue industrielle. Ce matin / Le matin -> Précisaussi dans l'écriture. 1.2) L'écriture V3 : S'adresse-t-il à lui-même ou à la tour Eiffel ? Absence de rimes : Apollinaire se contente d'assonances ou de rimes pauvres. L'auteur use de rythmes qui n'apparaissent pas classiques : vers libres, pas de mètres particuliers, mais aussi vers plus longs (± 15 syllabes) Vocabulaire : de la

Paris et ses constructions métalliques depuis le XIXème siècle. Sommaire 1. Introduction...................................................... 2. La tour Eiffel...................................................... 3. Ses ponts.......................................................... 4. Ses gares.......................................................... 5. Les bouches de métro.......

ceux de l’adaptation au cinéma. Au premier abord ce romain parait réaliste. Les personnages évoluent dans un seul et même endroit qui est Paris. Différents monuments sont cités dans Zazie comme les Invalides, le Panthéon ou encore la Tour Eiffel. Mais tout de même nous ne sommes jamais sûr qu’il s’agisse vraiment du monument cité ce qui est provoqué par la confusion entre Gabriel et Charles (scène du taxi). Nous comprenons alors que Queneau déconstruit l’intrigue traditionnelle en brouillant

suscité par la commémoration de son enfance pieuse. 1) L’errance du poète marquée par la confusion A) L’errance spatiale L’auteur du poème incorpore plusieurs éléments laissant croire qu’il ère dans à Paris (reconnaissable grâce à la tour Eiffel dès le début du poème). Il s’attarde d’ailleurs sur ‘’une rue industrielle’’ (vers 23) où il semble passer toutes ses journées puisqu’il évoque un grand lexique de moments du quotidien des ouvriers auxquels il semble avoir assisté tel que ‘’midi’’