Tous Les Moyens Sont Ils Bons Pour être Heureux

Le Gorgias de Platon 1) Qui ? Ecrit par Platon au IVème siècle av. J-C, on ne sait pas exactement en quelle année car il y a de nombreux anachronismes dans l’œuvre, mais on suppose que cela pourrait être peu de temps après la création de l’Académie par cet ancien disciple de Socrate ou quelques temps avant la mort de celui-ci, condamné à boire la cigüe car accusé de corrompre la jeunesse athénienne. 2) A propos de ? Le discours traite avant tout de la rhétorique, de son inutilité et du mauvais

Thèse : * On devrait choisir le travail le plus payant possible car, avec une masse de l'argent, on peut faire tout ce qu'on veut (ex : acheter tout ce qu’on désirait) et cela nous rend heureux et satisfait. L3 : Thèse opposé : * On devrait choisir le travail qui nous apporte le plus de bonheur car on va être plus inspiré, motivé et enthousiaste à travailler, ce qui nous rend plus efficace. L4 : Problématique : * Travail, est-il une question d’argent ou de passion? L5 : Concepts :

avec son "De Servo Arbitrio". Auteur prolixe, préférant toujours le texte, et rien que le texte, à l'allégorie chère au néo-platonisme florentin, son influence est immense sur tous les penseurs du XVIème siècle. Il meurt sans avoir réussi à maintenir l'unité de l'Eglise pour laquelle il luttait. C’est être dieu que de faire du bien aux hommes. Qu’est-ce que la vie, si vous en retranchez les plaisirs ? Mérite-t-elle le nom de vie ? « La vie la plus agréable

propriétaire, mais dont la taille diminue à mesure que les vœux sont désirés et exaucés. Le roman fantastique de Balzac met donc en lumière le difficile prix à payer par celui qui cherche le bonheur durable : la richesse, la gloire et la réalisation de tous ses désirs conduiront le protagoniste à sa perte. Néanmoins, le plus surprenant dans toute cette histoire, c'est que chaque action réalisée par le personnage principal n'avait pas d'autre but que celui d'atteindre le bonheur. Est-ce dire que ce dernier

La Peste, Albert Camus Partie 4, chapitre 3 : Dans le texte nous pouvons lire « tous attendaient » qui sous entends que l’enfant va mourir. Le pronom « tous » représente Rieux (le médecin), Tarrou (assistant), Rambert (journaliste), Castel (médecin chef), Paneloux (prêtre). On a la preuve que l’enfant va mourir car il est entouré de deux médecins qui attendent car ils ne peuvent rien faire. « Mon dieu, sauvez cet enfant » est dit par le prêtre qui demande un miracle se qui est encore une

seulement une volonté de s’ouvrir aux autres, de découvrir d’autres terre, d’autres cultures. Le voyage n’est pas seulement qu’un déplacement physique, il est aussi abstrait avec les rêves, la musique, la cuisine, la culture ou encore l’art. Il peut être sentimental, mélancolique ou sans retour avec la mort. C'est un sujet qui me touche, et qui me tiens à cœur car celon le roman de Candide on dit qu'il faut “cultiver notre jardin” ,lui ,qui fait des nombreux voyages. A travers ces nombreuses aventures

…et, trois fois merci pour votre compréhension. Nous ne pouvons pas éviter la mort. C’est la règle qu’on a imposé à tout être vivant. La fin est écrite dès le commencement dans chacune de nos cellules. La mort est la symétrie de la vie ; une naissance correspond à une mort. Quelque soit la civilisation, cette règle est vérifiée : la mort nous attend tous. Nous connaissons tous ce que dit la Bible à ce propos, mais si on prend l’exemple de l’Islam, dans le Coran, il est dit : « La mort ne fait aucune

étudiées, notamment le Comte, le Marquis, le Chevalier et Fabrice dans La Locandiera de Goldoni, Tellheim dans Minna von Barnhelm de Lessing, et Léontine, Hermocrate et Agis dans Le Triomphe de l'Amour de Marivaux. Mais le dénouement se devant d'être heureux dans une comédie, la souffrance de toute la pièce ne peut persister. Il s'agit donc de comprendre que « la comédie n'évite pas les souffrances également infligées et reçues par les personnages ; mais [que] le dénouement vient traditionnellement y

cette image. Il tente ainsi de faire comprendre aux croyants réunis pour la messe que la peste qui s’abat sur la ville est le «fléau de Dieu». Par cette habile métaphore, l’homme d’église cherche à faire comprendre aux citoyens que Dieu sépare les bons hommes des mauvais, comme le fléau sépare la paille inutile du grain qui sert à se nourrir. La peste a donc la «même» fonction que le fléau. D’un point de vu personnel, cette image me choque un peu. L’église a souvent tendance à tout justifier d’un

Les philosophes de l’Antiquité grecque et romaine considéraient que le bonheur était la principale finalité de l’homme : tous les hommes désirent être heureux. Conçu comme béatitude, ou félicité, le bonheur est défini comme « Souverain bien » (summum bonum, diront les philosophes latins) – auquel tous les hommes s’efforcent d’accéder. Envisagé comme bien suprême, le bonheur se distingue donc de la joie, du plaisir, ou de la jouissance. Il constitue un bien difficile à obtenir, qu’il est rare de posséder